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papipoete
12/3/2021
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Provençao
L'île de la cité est, de Paris l'endroit le plus cosmopolite où jamais l'on ne dort complétement ; l'un se couche, l'autre se lève ! l'un rentre chez lui quand point la Lune, l'autre traîne jusqu'à ce que Phoebus s'étire à l'Est... NB en gros, ne venez pas sur l'île pour jouer Robinson, mais plutôt butiner le miel de la vie, jour et nuit ! Nul doute que Vous feriez un bon guide, mais dans ce quartier, bien vite je perdrais pied, supplierais que l'on me jetât une bouée ! Après Sainte-Geneviève, j'aurais plutôt ponctué de points de suspension ? Un texte à la composition pour " public averti ", tant les images m'obligent à consulter l'encyclopédie... |
Robot
12/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Pour avoir parcouru la "cité" à pied de long en large et en travers, j'ai reconnu à la fois les lieux et les allusions dont vous avez parsemé le poème.
Vous avez donné au texte un aspect érudit et énigmatique qui ne m'a pas déplu. |
Capry
12/3/2021
a aimé ce texte
Pas
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Il m'est difficile d'entrer dans votre poème tant je ne maîtrise pas votre lexique. J'aurais pu être portée par la musicalité, mais là encore je ne suis pas transportée. C'est dommage car je pense que vos descriptions auraient gagnées à être plus accessibles, je regrette ce manque de sonorité.
J'apprécie le choix du thème et celui d'un narrateur omniscient. J'aurais aimé survoler Paris grâce à votre poème. Merci pour cette lecture. |
Corto
12/3/2021
a aimé ce texte
Un peu
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Connaissant assez intimement l'île de la Cité votre poème m'a surpris.
Vous avez semble-t-il voulu faire une escapade dans l'ancien temps à partir de l'île, en la quittant rapidement pour le quartier latin. Pourquoi pas ? mais le propos aurait mérité d'être plus recherché, plus construit pour emmener le lecteur dans cette aventure spatio-temporelle sympathique. A vous relire. |
Edgard
13/3/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Provencao
« Accoudée au pont des Arts Une belle aux douces hanches Regardait couler l'Histoire. Et l'Histoire dure et blanche Au milieu de ses fontaines Regardait couler la Seine. » Fin de nuit, aube un peu grise, de l’Ile de la cité au Quartier latin. Une atmosphère. Je suis tout de même un peu désorienté par la syntaxe que vous avez adoptée. « Quand le jour bigorné au balcon Fidélise les intimes du latin de Pline. » Vous ne laissez guère de points de repère, volontairement j’imagine. Les allusions sont parfois malaisées à décrypter. Votre caméra va un peu trop vite d’un point à l’autre. Mais pour qui connaît ces lieux, la balade (ballade) ne manque pas d’originalité. Bien cordialement |
Zeste
15/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
J’ai beaucoup aimé cette écriture parce qu’il s’y dégage un souffle puissant de vie et de sensibilité. Le temps se déroule sous nos yeux, et le présent que l’on perçoit n’appartient qu’à soi , c’est un peu de l’intimité du poète qui se révèle sous cette plume qui décrit si bien les circonvolutions du temps et met en exergue des scènes de la vie quotidienne soulignant le caractère ordinaire d'une quotidienneté dont la beauté n'est pas dans la chose regardée mais est essentiellement en nous! Et, en même temps, néanmoins spectatrice privilégiée, il y a cette impression peut être inconsciente, que la narratrice se place en étrangère aux scènes décrites. NB: je partage aussi le point de vue de Corto et je trouve le commentaire des plus judicieux! |
BlaseSaintLuc
20/3/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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c'est cruel , vous nous lancer dans la découverte de l'ile et vlan tel un thriller qui nous laisse en plein suspend...
"ses noceurs au bourdon grisâtre" et ... le début m'enthousiasme , mais vous me laissez dans une ruelle ou j'ai peur de prendre froid . |
Lulu
21/3/2021
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Provencao,
Je ne connais pas suffisamment Paris pour me représenter les lignes de ce poème, bien que certains lieux soient pour moi évocateurs pour y être passée. Cependant, ce que je ressens en lisant ce poème, c'est la sensibilité de la narratrice qui parcourt "L'île de la Cité" et vraisemblablement les alentours. "se guinde"... bof... Je n'aime pas trop ce verbe, mais c'est tellement subjectif. Je trouve la sonorité de ce terme peu poétique, mais j'ai beaucoup aimé certaines images telles que ces "rives / Crayonnant les faubourgs". Je crois que j'ai trouvé les mots de ce poème un poil trop soutenu pour être absolument emportée, mais la sensibilité qui court entre les lignes ne m'appartient pas, et j'aime la lire, la percevoir et la deviner. Enfin, je crois que ce poème est peut-être trop court, mais ce n'est pas tant la longueur du texte que son côté restreint du fait de son vocabulaire qui me laisse un peu en dehors. Ainsi, "Lénifiant le Latium"... : cette expression ne me dit rien. De même, "le jour bigorné" me laisse sans impression, n'ayant pu comprendre, semble-t-il ce que ces mots recouvrent en première lecture. J'aurai sans doute à coeur de vous relire sur ce thème, mais peut-être dans un registre plus simple, je crois... Bonne continuation. |