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Lulu
24/6/2018
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Provencao,
Désolée pour cette fois, mais je suis là un peu négative à la lecture de ce poème que j'ai trouvé lourd du fait de son jeu de rimes. Elles pèsent au point de m'éloigner du sens du texte que je n'ai pas saisi à la première, voire à la seconde lecture. J'ai pensé que ces rimes avaient été choisies pour faire "écho" au premier vers "Là-haut le silence se fait écho" … ainsi qu'à tout ce qui s'entend ici, tels les "corbeaux qui croassent à l'infini", par exemple. Mais je n'ai pas été séduite par les sonorités, ni par le rythme. Je me suis demandée pourquoi certaines virgules avaient été omises là où on aurait pu les trouver, comme : - après "Là-haut", dans le premier vers - après "la montagne", dans le second vers - après "nos interrogations", dans le 7ème vers En outre, la seconde strophe m'a paru confuse. Peut-être est-elle trop abstraite ? Entre "percevoir l'inconnu" ; un "ciel libertin" dont l'expression est présentée via un verbe lui-même peu clair "édulcore" ; des "gazouillis spirituels" et des "espoirs assouvis", je me suis un peu perdue... Enfin, le dernier vers ne m'a guère éclairée. Je le comprends, mais le verbe "humer" m'a semblé ici étrange. J'ai essayé de relire ce texte avec encore plus d'attention en m'appuyant sur le titre, mais ce que j'ai relevé plus haut me semble être un frein. Pour moi, la strophe la plus complexe et peut-être à revoir, si vous le vouliez, serait la seconde. Bien cordialement. |
Anonyme
24/6/2018
a aimé ce texte
Pas
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Malgré des lectures renouvelées, je ne suis pas parvenu à rejoindre ce " recueillement ".
J'ai trouvé les images - au style un peu ampoulé - sans trop de relation avec l'idée à exprimer. " l'indiscrète invitation Des corbeaux noirs " (?) " Le firmament de nos pourquoi hume nos représentations "(?) " Que l'orangé du ciel édulcore libertin " (?) Désolé pour cette fois. |
papipoete
24/6/2018
a aimé ce texte
Bien
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bonsoir Provençao
Là-haut, le silence se fait écho et la méditation tournoie en tête, tel le vol des corbeaux que leurs coassements troublent à l'infini . Et le poète songe à cette invitation au recueillement ; la plénitude s'installe ... |
Jocelyn
29/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'adore l'image, vraiment. C'est clair, simple et beau à mon gout et le simple fait de le lire, je me représente un paysage propice à la méditation. Merci beaucoup !
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Gabrielle
2/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème qui est espace de liberté...
Quel bonheur ! Le lecteur est happé par cette invitation au recueillement qui permet une libération ("où les songes s'étirent librement"). "Le firmament de nos pourquoi hume nos représentations" : très belle chute de ce texte qui réalise la prouesse d'emmener le lecteur dans ce voyage méditatif. Au plaisir de vous lire. Bien à vous. G. Michel |