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Cristale
19/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un joli poème, je dirais même qu'il est gracieux, d'une écriture fluide et harmonieuse qui s'exprime de façon aussi visuelle qu'onirique.
Je connaissais un certain front contre la vitre, aujourd'hui je découvre un nez rougi écrasé sur une vitre glacée. Premier vers, dernier vers. Des songes à la réalité, la forme me plaît bien avec sa mélodie de rimes ici et là. Bonne chance pour le concours. Cristale |
wancyrs
21/4/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Salut,
Le thème est bien respecté, et il y a un quelque chose d'innocent dans ce texte qui séduit, malgré quelques clichés comme "Gai comme un pinson" et une expression comme "cueillent l'enfantillage" que je trouve tiré par les cheveux. Je trouve qu'il ne se passe pas vraiment grand chose, ni rien de consistant à se mettre sous la dent. Le décor est mis, mais après ? Je termine ma lecture avec un arrière-goût d'inachevé sur la langue. Au final, le thème est bien effleuré, mais traité trop en surface pour m'éblouir vraiment. Une autre fois ! Bonne chance pour le concours ! |
Donaldo75
22/4/2022
a aimé ce texte
Un peu
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C’est un gentil poème plein de bonnes intentions. Le thème est bien traité et c’est ce qui compte en premier dans ce concours je crois. Pour ce qui est de la forme, je n’en suis pas adepte car elle me semble tendre mais naïve et saupoudrée de barbe à papa. C’est trop sucre et miel à mon goût, surtout pour du libre dont j’aurais attendu de plus oser, de mieux utiliser la surface de la page pour déblayer le terrain et construire un édifice plus remarquable. Ici, la narration reste la majeure de ce poème et cela ne va pas plus loin. Dommage.
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Cyrill
22/4/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Retrouver ses dix ans le temps d’un rêve puis se réveiller papi, ah là là comme le temps passe ! Je me suis posé des questions torturées : cette Rachel du passé serait-elle devenue la mamie de Déborah ? Rien ne le dit et puis ça n’a pas d’importance.
J’ai trouvé l’écriture un peu maniérée, limite précieuse, et souvent encombrée d’épithètes se succédant et qui obligent à des virgules en pagaille et rendent la lecture peu fluide. J’ai bien aimé « cueillent l'enfantillage ». L’ensemble du poème me semble manquer de sobriété, à l’image de ces points de suspension surnuméraires. |
Anonyme
4/5/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour
Une écriture déliée, même si pas originale, pour évoquer cet enfant au nez rougi. C'est très bien. Et vous êtes parfaitement dans le thème du concours. Le problème, c'est que ces souvenirs d'enfance, source inépuisable, ne sont pas narrés avec le souffle épique qu'il aurait fallu, ça reste trop au-dedans de l'auteur et livré comme un édulcorant au lecteur. Vous n'y mettez mettez pas assez d'ardeur, de vouloir, vous restez trop en surface pour qu'on puisse ouvrir l'album photo avec vous et prendre un chocolat chaud devant la cheminée avec vos protagonistes. Dommage... Bonne chance ! Anna |
Anonyme
4/5/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Outre le thème du concours parfaitement respecté, j'ai bien aimé cet écrit nostalgique de l'enfant dont le temps a ridé le front et blanchi les cheveux. C'est beau de rêver, de se souvenir des instants heureux de l'enfance, même si, au final, la mélancolie l'emporte. La forme libre n'est pas ma préférée, c'est vrai, mais la lecture est fluide et ma foi, agréable. Bonne chance pour le concours. Edit: modifs apportées entre temps. |
pieralun
4/5/2022
a aimé ce texte
Bien
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Un petit retour en enfance avec ses quelques poncifs, le froid, les flaques, les chemins, les rires, l’aurore, l’automne, les premiers emois, puis la vie, puis l’oubli…..
Un gentil petit texte |
papipoete
4/5/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour
Le bonheur d'avoir connu et vécu une enfance dorée, de cet or de cheveux bouclés d'une Rachel, amie que nos doigts liés avaient scellé pour l'éternité... et un peu... plus tard, se réaliser papi que Déborah hèle pour jouer. NB le nez rougi collé contre la vitre glacé, comme le temps a passé depuis cette image que l'on a tous connu, mais qui ne nous dissuadait pas de sortir, pour aller " semer les rires de nos enfantillages " Un petit poème charmant que l'on souhaiterait à tous les enfants de la Terre, plutôt que la rréalité d'avec des adultes vivre dans une cave à Mariupol... Toute une vie condensée en quelques vers, jusqu'aux cheveux gris, le nez contre la vitre, et rêver... le thème du concours est bien tenu. |
LeopoldPartisan
4/5/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Personnellement, je lis rarement les poèmes d'un concours, je n'aime guère le principe d'écrire sous quelques contrainte que ce soit (vieux réflexe soixante-huitard), mais là j'ai été subjugué par ce très beau texte qui hormis qu'il semble respecter les consignes, n'en est pas moins un cri du cœur. Une jolie introspection sur l'âge béni de nos 10 ans, âge où l'on devine que bientôt le changement va se produire tout en gardant cette innocence dont tout le reste de notre vie nous garderons la nostalgie, oserai-je la mélancolie.
L'auteur par des mots simple m'a touché profondément par les prénoms utilisés où l'on sent une bien belle âme de son auteur. bravo, j'adhère complétement tant à la forme qu'à l'idée exprimée. |
BlaseSaintLuc
5/5/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je viens de capter qui est Déborah, mais aussi je crois l'auteur, ( et c'est gênant pour la partialité du commentaire)
Bon il y à donc un papy qui se souvient d'une façon très poétique de ses 10 ans . C'est raccord avec le thème choisi aussi. |
Anonyme
26/5/2022
a aimé ce texte
Bien
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Ayant cru à tort identifier l'auteur de ce poème, je n'ai pas commenté avant la levée de l'anonymat.
Un poème qui m'a touchée mais pas bouleversée, peut-être parce que certaines manières de dire les choses m'ont paru… ben, maniérées, ainsi Le temps de rêver se balance ourlé des cœurs dans l'oubli. Utiliser des cœurs pour ourler le temps de rêver, je me dis que ça ne doit pas être bien pratique. Je n'arrive pas à me représenter l'idée. Mais j'ai aimé le panier à l'ombre de Rachel et le narrateur soudain arraché à sa rêverie, précipité dans l'ici et maintenant, par la voix de sa petite-fille. |