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Lebarde
17/10/2022
a aimé ce texte
Un peu
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L'expression est confuse, le propos maladroit et difficile à cerner:
" Les pas ont dégagé une forme sculptée au regard étonné" (un exemple) La syntaxe, parfois fautive ne permet pas d'identifier le "qui fait quoi"; à la relecture j'ai compris que "Le château" serait au centre du sujet? Une versification manquant de rigueur avec une métrique approximative tant dans les vers courts de 6 ou 7 syllabes, que les vers longs dont certains sont surnuméraires, Une prosodie ne respectant pas les règles habituelles, sur les rimes, la ponctuation ou les majuscules qui requière le néo-classique! Mon commentaire est sans doute un peu sévère , je le regrette mais je n'ai pas trop adhéré, dans l'état, à ce poème qui mériterait quelques retouches et une remise en forme car il y a là matières à faire mieux. Désolé, à très bientôt je suis sûr. En EL Lebarde |
papipoete
17/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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néo-classique
Une pierre au milieu du chemin, l'air d'un chien j'en suis sûr, retient mon attention ; chaque fois que je passe ici, il semble m'attendre et répond en silence à mes questions... Pressentant peut-être un jour son réveil, je le caresse des yeux et du revers de ma main " alors mon gentil chien ! " NB un texte qui me rappelle l'histoire du facteur Cheval, quand une pierre en travers de la sente qui le fit choir, lui donna le top départ, pour construire son palais dont il rêvait depuis toujours. Ici, l'auteur voit un chien ( quand d'autres verraient un lion, ou rien du tout... ) un peu comme les nuages blancs du ciel, où nous voyons toute sorte de créature ! L'endroit semble mystérieux, mais sans montre pouvant effrayer, au contraire ! je verrais bien un bambin contempler cette pierre, et lui demander " et toi, que vois-tu ? " Ce récit donne envie de prendre la direction de ce bois, cette clairière enchantée... Techniquement, non point de forme néo-classique, mais contemporaine " libérée " avec ses assonances. papipoète |
Queribus
18/10/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Je suis un peu surpris que votre poème ait été classé en catégorie néo-classique, je l'aurais plutôt mis en catégorie libre. En effet, on compte beaucoup d'irrégularités au niveau des rimes et des vers en contradiction avec la poésie"néo-classique" qui impose quand même un certain nombre de règles. J'ai par ailleurs trouvé votre texte plutôt intéressant sur le fonds avec cette méditation sur le temps au travers d'un vieux château en ruines, notamment les deux dernières lignes qui sont une sorte de résumé et de conclusion. Bien à vous. |
Mokhtar
19/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'aime bien le thème de ce texte. L'âme que l'on prête à cette pierre est en soi une démarche poétique. (objets inanimés...). Le choix du chien permet de belles déclinaisons
J'ai quelques réserves sur le style. Bien qu'étant amateur de versification régulière, ce sont les vers libres que je préfère ici, où l'auteur semble plus à l'aise. Les rimes en "é", masculines ou féminines, font "mitraillette". J'aurais mieux vu ce texte "couler" naturellement en libre. Mais je confirme avoir bine apprécié cette lecture Mokhtar en EL |
Anonyme
25/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Puzzle,
Il y a une idée assez plaisante dans ce poème, celle de la permanence du souvenir par le minéral. J’ai maintes fois entendu dire que certaines pierres, notamment dans des lieux d’habituations avaient le pouvoir de retenir des souvenirs, des impressions, des sensations ; et que certaines personnes étaient capable de ressentir quelque chose à leur contact. Croyons-le, croyons-le pas, aucune importance, ce qu’il faut retenir, c’est la poésie que vous avez voulu nous retransmettre à travers cette roche solitaire, peut-être dernière gardienne d’un passé oublié, prestigieux, douloureux, ou autre, par l’intermédiaire du narrateur qui lui apporte autant d’attention qu’il le ferait pour un chien ou un arbre aimé, et ça j’aime bien. Je passerai sur la forme, elle ne me déplait pas non plus. Merci pour cette lecture gratuite et pour vous soucier de choses peut-être pas si inanimées qu’il n’y paraît. Anna Dolmen |
Robot
25/10/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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L'image même de cette pierre gardienne assimilée à la fidélité d'un chien est originale. L'introduction toute simple nous prépare au développement de l'imagination interrogative de la passante qui questionne le passé de ce témoin silencieux. Jusqu'à la caresse qu'elle lui offre avec l'espoir de lei redonner sa mémoire, donc de lui redonner sa vie.
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Lotier
25/10/2022
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Combien de lions, de tigres, de chiens sculptés de par le monde, ont été érigés à l'entrée des riches demeures et châteaux ? Je connais même un lieu où ce sont des lièvres (Largoët)…
Pour ce qui est de l'âme des sculptures, laissons chanter le fou chantant : On y voit aussi des statues Qui se tiennent tranquilles tout le jour dit-on Mais moi je sais que dès la nuit venue Elles s'en vont danser sur le gazon C'est un thème éminemment poétique. « chaque fois le salue » = « chaque fois je le salue » ? « Son appel silencieux reste pris dans sa gangue. » o parle de gangue pour un fossile, mais là je ne vois pas trop… « regard étonné » ou « expression attentive » ? Bon pour conclure, je trouve le texte un peu brouillon, approximatif, qui souffre sans doute aussi d'une idée de base pas assez aboutie (« Témoin des temps passés, qu'a-t-il à raconter ? »). |