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Poésie en prose
Pyrodelis : Supériorité du marin
 Publié le 04/07/09  -  9 commentaires  -  495 caractères  -  213 lectures    Autres textes du même auteur

Écume théorique.


Supériorité du marin



Il titube, s'avilit, ponce ou frotte.

Syndrome du pêcheur qui lève l'ancre, s'éloigne ou s'isole au creux des vagues anonymes.

Syndrome du matelot qui s'engage je ne sais où, se soumet pour mieux se commander.

Face aux effluves routinières, à l'immédiateté duale – la complétude fendillant les Egos, rendant toute découverte mutuelle caduque – s'érige la supériorité du marin.

Partir au large pour mieux se retrouver, et regagner la chair ferme.


 
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   Marquisard   
4/7/2009
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Ah ben non, avec le titre pourtant... mais non, pas du tout aimé, le propos comme sa forme, tout ça m'a paru très limité, enfin peut-être me trompe-je. mais là, c'est niet.

   colibam   
4/7/2009
 a aimé ce texte 
Pas ↑
Euh... C'est tout ?

Une image plutôt réductrice du marin en général.

"Face aux effluves routinières, à l'immédiateté duale – la complétude fendillant les Egos, rendant toute découverte mutuelle caduque – s'érige la supériorité du marin."
Alors là, je n'ai rien compris. Ce n'est pas faute d'avoir relu pourtant.

J'ai bien aimé "s'isole au creux des vagues anonymes". Par contre, le jeu de mots "regagner la chair ferme" m'a laissé une sensation de dégoût plutôt désagréable.

Il faudrait développer car j'ai vraiment l'impression qu'il s'agit d'un simple paragraphe, comme si mes yeux étaient tombés au hasard sur ce passage, au détour d'une page.

   Anonyme   
4/7/2009
 a aimé ce texte 
Pas
Supériorité sur qui ou par rapport à qui? Franchement je ne vois pas! Et ton texte le prouve encore moins.

C'est une succession très courte (trop surement) de mots sans réelle ambition poétique, associée à une préciosité qui agace.

Bref, c'est à revoir entièrement pour être convaincant.

   FredericBruls   
4/7/2009
Homme libre, toujours tu chériras la mer !

Oui, certes, le marin est grand dans sa volonté de vivre au-delà des éléments, au-delà de lui-même, dans l'affrontement perpétuel des forces intimes et naturelles. Mais j'ai trouvé ton poème terne, et des formules comme "syndrome de" me paraissent vraiment maladroites dans un poème. Il eût fallu développer, étayer tes images, trouver un ton plus juste. On ne voit pas bien où tu veux en venir, Pyrodelis. Dommage, car ce thème m'est cher et j'aime la mer et l'homme qui ose l'affronter. Ton traitement ressemble à du cabotage ; on reste au bord des côtes, rêvant aux hauts-fonds...

Edit : suite à la remarque de Tinuviel, je perçois en effet la possibilité d'une autre lecture. Le marin, symbole du mâle infidèle ? (pêcheur (jeu sur l'homonymie ?) qui lève l'ancre, s'éloigne ou s'isole au creux des vagues anonymes)

Volonté de s'isoler de temps en temps pour mieux recouvrer les sensations de la passion ? Possible, mais le fait est que ce n'est pas évident à deviner. Dans le doute, je suspendrai ma cote.

   Anonyme   
4/7/2009
Une image. Celle du marin qui largue les amarres et qui quitte tout. Isolé et confronté à lui même dans l'immensité, menant un combat contre la mer ( qui représenterait ici peut-être l'ego ?).
Une vague idée de perdition menant à la rédemption ?
Ce serait trop simple. (Et peut-être que ça l'est).

Il y a sans doute autre chose derrière ce texte que je ne saisit pas. Il manque quelque chose.

   Anonyme   
4/7/2009
Il me semble percevoir dans ce texte une parabole... des relations hommes-femmes (complétude, découverte mutuelle, la chair ferme, se soumettre pour mieux se commander...) mais n'étant pas du tout certaine de comprendre correctement, je m'abstiendrai de commenter plus avant. Je suis peut-être totalement à côté de l'intention de l'auteur !

Je serais quand même curieuse d'avoir l'interprétation correcte.

Cela dit, sur la forme, j'ai un sacré goût de trop peu quand même.
Mais ce qui est présenté ici ne me déplaît pas ; j'aimerais quand même en lire plus pour me faire une meilleure idée.

Je m'abstiendrai de noter, je manque d'éléments.

   Anonyme   
4/7/2009
Ouais... Il y a certainement quelque chose qui m'échappe mais n'étant pas une référence en la matière, que l'auteur ne s'inquiète pas. Si je rejoins Tinuviel dans la parabole ou la métaphore (au choix), ça devient un peu plus clair. Quoi qu'il en soit, c'est trop court et un peu tordu pour que je puisse y porter une appréciation quelconque ; ce n'est, bien entendu, qu'un avis qui n'engage que moi...

   brabant   
3/8/2009
 a aimé ce texte 
Un peu
"S'avilit" qui renvoie à la morale ne s'accorde pas avec les autres verbes de l'énumération qui renvoie à des actions.
Le mer comme ressourcement,qui oblige à se débarrasser de l'Ego, que ce soit le pêcheur anonyme parmi les vagues ou le matelot anonyme parmi les autres matelots. Ressourcement par avilissement et physique et moral, par l'isolement qui renforce en l'acceptant l'humiliation. L'abaissement serait la condition de l'élévation, de la renaissance. Il faut se faire zéro pour redevenir héros! Mais n'y a-t-il que la mer pour cela? Il y a de nombreuses autres voies qui mènent à la rédemption. Le marin est-il le seul héros? Et pourquoi partir se régénérer si c'est pour revenir se dégénérer? Le mérite de ce texte est d'ouvrir le débat.

   Anonyme   
7/7/2009
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
J'ai pas capté le "concept" de "supériorité" du marin. J'aime pas trop ce terme en règle générale, de plus je conçois plutôt le "marin" dans l'humilité, la "crainte respectueuse" de l'homme face aux éléments... Le marin, je le vois simple et direct, sans artifice, loin de la "supériorité" (que je trouve ici péjoratif) mais bon...
Sinon il y a quelques bon passages.
Je n'aime pas "lève l'ancre", trop "évident".
La "complétude" j'aime pas non plus. Un hommage à Ségolène?
J'aime bien la fin et "au creux des vagues anonymes".
Le fond, je ne le comprends pas vraiment.
Mais les commentaires me paraissent bien sévères, ce poème n'a rien d'infamant.
Une certaine originalité.


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