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BlaseSaintLuc
31/5/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'aime beaucoup l'histoire de cet arbre , mais gourmand j'en aurais voulu plus de détails ,qu'importe , on susurre l'esquisse d'une évocation de quelque chose , on frôle l'histoire , on caresse la métaphore , le feuillage bruissent un léger message , le texte me va tel-que.
:j'aime se rappelle en fin de chaque strophe. "Alors je dis, loin de vos écriteaux Oyez la voix de l’arbre millénaire." "Je suis le roi des êtres végétaux, Oyez la voix de l’arbre millénaire." La branche étrange au fond des boqueteaux, Oyez la voix de l’arbre millénaire. Ecoutez-moi, loin des romans-photos, Oyez la voix de l’arbre millénaire. |
papipoete
2/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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néo-classique
je lis aussitôt votre poème, dès lors que vous faites parler " qui n'est pas humain " ! Animaux, flore et même porte-manteau ! et là, c'est un arbre millénaire qui s'épanche, et raconte tout ce que nous apprenons des livres, puisqu'il était là, pour chaque pan de notre ère ! Parmi ses témoignages, il reste de son temps des ouvrages encore debout, donjon de château-fort ; outils rouillés et armes remisées en leur fourreau ; mais aussi des objets faits de son bois ! " oyez la voix de l'arbre millénaire ", ce refrain sied à ravir à ce récit, dont les images foisonnent ! " j'ai supporté les feuillages rustauds/souvent aussi les branchages courtauds " ces 2 vers me semblent de trop, car c'est la fonction primaire de l'arbre , Mais c'est une paille dans l'appareil de ce grand témoin, et je me suis régalé, tout au long de vos décasyllabes sans faute ! papipoète |
leni
16/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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salut Queribus
Oyez oyez est une façon de s'exprimer de francis Leclec l'écriture est très soignée comme dab J’étais debout bien avant les châteaux Déjà présent à l’âge des métaux, Prisant les jours de ce temps débonnaire Alors je dis, loin de vos écriteaux : Oyez la voix de l’arbre millénaire. et puis J'ai pu servir à des tas de choses j'aime beaucoup ce vers qui prépare la finals Princes brillant dedans vos blancs manteaux J'ai une pesée pour le plus vieil arbre du monde à TEULE au MEXIQUE Merci d'avoir traité ce sujet très original Amitiés LENI |
Anonyme
16/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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" J’étais debout bien avant les châteaux "
Belle idée que cet arbre millénaire qui voit défiler le temps et les humains s'activer aux choses de l'existence ; et tout ce que son tronc peut leur apporter. " J’ai pu servir à faire des bateaux Peut-être aussi, qui sait, des hôpitaux ;" " J’ai pu donner parfois l’essence rare Aux grands savants, tous les preux physiciens "... " Écoutez-moi, loin des romans-photos " J'ai bien aimé cet hommage rendu . |
Anonyme
16/6/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Une "Ballade de l'arbre millénaire", lucrative, pittoresque et passionnante.
Par cette parole "Oyez la voix de l'arbre millénaire", ainsi répétée, nous voilà interpelés pour écouter attentivement l'Histoire de siècle en siècle avec des anecdotes. C'est un arbre au don de conteur indéniable, il captive et il nous propose des images variées et instructives. |
Donaldo75
17/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ballade de l’arbre
Bonjour Queribus, Dès les premiers vers, j’ai aimé ce poème épique. « J’ai bien connu la peuplade barbare Et la maison de ces rois très anciens, » Ton arbre millénaire nous raconte l’Histoire dans toute sa splendeur, avec le recul propre au sage qui en a vu passer des fous, des sanguinaires, des révoltés et des illuminés. Comme on dit dans les émissions scientifiques, mon expérience de lecture a été positive. 😉 Merci, Donaldo |
Vincendix
17/6/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Très bel hommage à l'arbre, un végétal que j'aime et que je respecte, il a comblé ma vie professionnelle et je l'admire tous les jours, qu'il soit érable, hêtre, sapin, bouleau et autres.
Une excellente idée de le faire parler, qu'il soit teck ou balsa, chêne ou peuplier, il en a vu et entendu, parfois souffert par la folie de l'homme. Bravo et merci Vincent |
Cristale
17/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une très belle prosopopée sous forme de ballade que j'aurais aimé retrouver en catégorie classique. Mais telle qu'elle nous est présentée cette poésie ne peut que charmer l'adoratrice fervente de nos amis branchus souvent plus que centenaires. Revenant d'une ...balade...dans le parc arboré d'un vieux château où j'ai rencontré des cèdres majestueux, des chênes d'âges plus que respectables, j'ai d'autant plus entendu votre narrateur feuillu me murmurer à l'oreille de si jolis vers :
"L’homme au rabot des romans balzaciens. J’ai supporté les feuillages rustauds, Souvent aussi, les branchages courtauds, Même parfois, dans un décor lunaire, La branche étrange au fond des boqueteaux, Oyez la voix de l’arbre millénaire." Plaisir de lecture, connaissant l'énorme travail de fond concernant la "grande ballade", je m'incline et vous dis bravo Queribus. Cristale |