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Gemini
13/9/2018
a aimé ce texte
Bien
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Comme je m’intéresse aux rimes, je dirais que votre choix de celles en « gers » dans les quatrains vous coûte deux mots : « passagers », dans une moindre mesure, mais surtout « usagers » qui, à mon avis, ne se fondent pas dans le texte. Ils s’y rattachent, et le dernier difficilement.
Par contre, les autres rimes sont parfaites. Notamment comédie/étudie. La trouvaille (découverte pour moi) « courir la prétentaine » m’a laissé sur le c.. Surtout lorsqu’on sait que le Bonhomme était un libertin de chez libertin. Il y a un hiatus vers 12 « Hommes et animaux ». Pour le fond, comme amateur du fabuliste, je trouve l’hommage propre et bien comme il faut. Mais je trouve que les choses sont dites sans que rien ne déborde, sans relief ni aspérités. On pourrait dire, un peu platement… ou alors, avec bonhomie. |
Miguel
14/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Eh bien c'est simple et sans prétention, mais non sans charme. De la fraîcheur, des références au monde du fabuliste, et sa présence aussi dans ce regard en coin. On est heureux qu'un si joli hommage lui soit rendu.
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izabouille
17/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un bien bel hommage. Il résume bien l'homme et son oeuvre, j'ai vraiment bien aimé.
Je ne connaissais pas le terme "prétentaine", merci de me l'avoir appris. Pour le dernier vers, je mettrais plutôt "fables" au lieu de "récits", ne fut-ce que pour placer le mot comme un rappel mais aussi parce que c'est surtout ce qu'il a écrit... mais ce n'est là que mon humble avis. Bravo pour votre poésie et merci de l'avoir partagée |
Vincendix
5/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Queribus,
Un hommage à Jean de la Fontaine, je veux bien mais il s’agit tout de même d’un maitre du plagiat, il a pompé l’œuvre d’Esope. Ceci dit c’est bien écrit et j’apprécie. Vincent |
Anonyme
5/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour
Dommage qu'un petit hiatus vienne empêcher la catégorie classique. Et oui, les fables de La Fontaine sont éternelles : Du paradis, Monsieur, voyez ce jeune lion, Bien qu’il ne porte plus le même patronyme, Qu’il subisse lazzis, flèches et rebellions, Ressemble étrangement à votre illustrissime. Les luttes ouvrières ont beau naître à tous les siècles, les révolutions de ceci de cela donner de grandes espérances, rien n'y fait. La Fontaine par l'intermédiaire d'Ésope était un grand visionnaire, bien plus qu'un Nostradamus quelconque. Et le texte le dit bien : Un renard, un agneau, des loups et des bergers, Recommencent sans fin les chants de l’existence Oui, un bon texte pour ce grand prophète ou génie. |
LenineBosquet
5/10/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour, j'avoue être un peu... perturbé. J'ai lu très récemment sur un autre site un poème faisant rimer La Fontaine avec prétentaine. Je crois d'ailleurs que ce poème avait été publié ici aussi mais comme son auteur s'est désinscrit, il a disparu.
Bref, pour vous dire que ça gâche un peu mon plaisir. Sinon, dans votre texte, j'ai apprécié la rigueur de l'écriture, la recherche de rimes, le fond quant à lui me laissant froid. |
Anonyme
5/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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Retour de la poésie. Il était temps...
Ce sonnet nous rappelle les fables d'Esope, traduites et interprétées par notre poète-moraliste. C'est bien écrit, simple et vrai. J'ai apprécié. |
Anje
5/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai bien aimé ce sonnet néo-classique et n'ajouterai rien sur le fond que d'autres ont bien commenté. Je m'interroge plus sur la raison de virgules séparant sujets et verbes à la fin des vers 1, 3 et 5.
Merci de ce bel ouvrage, sonnet en forme d'hommage. |
Anonyme
5/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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Les acteurs - humains et animaux - ainsi que les situations qui composent les fables de La Fontaine sont rappelés ici au moyen d'une belle écriture.
" Des puissants, des chétifs, passants ou passagers, Donnent un vrai spectacle aux gens sans importance Ou les grands de la Cour, dans le regard intense De celui qui regarde en coin ses usagers " une réflexion personnelle de l'auteur, intéressante. |
papipoete
5/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Queribus
l'homme de lettres parlant des humbles, des petits et des grands de ce monde, eut l'idée de les travestir en bête ; Sous les traits de l'agneau " innocence ", du renard " rusé ", du loup " sanguinaire ", l'histoire s'écrivit en fables que tout français connait ! NB le second quatrain est dans ce sens, fort bien écrit et décrit ! je m'enrichis une fois de plus d'un mot nouveau " prétentaine " ! Un sonnet qui sonne bien ! |
Anonyme
6/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un peu pédanteque, peut-être, je ne manque jamais de citer, dans le feu d'une conversation, les morales de la Fontaine qui sont des enseignements toujours actuels.
Je suis donc sensible à cet hommage. Une impression de facilité, d'harmonie, de fluidité dans ces vers où rien ne m'enthousiasme vraiment mais où rien ne me heurte non plus. J'aime bien ce sonnet sobre et très honorable. |