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cherbiacuespe
24/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Confronté chez moi à la tramontane, terrible en hiver, pas mieux en été, voilà un sujet qui me parle.
"Le monstre est droit", oui, c'est tout à fait cela! "Guerrier déchaîné qui mord", "ennemi des vivants", des images ou la réalité? Je vous laisse deviner ce qu'en pense ceux qui doivent supporter le phénomène. Oui, ce poème touche très bien la cible visée. Les mots convoqués pour faire démonstration font mouches dès le début, on s'y croirait! J'adoube pour ma part le style, c'est très bien écrit, très efficace et cela sonne bien à l'oreille. |
papipoete
28/8/2019
a aimé ce texte
Bien
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classique
il peut être votre ami avec son souffle quand la chaleur nous étouffe ; il devient ennemi quand le feu il attise jusqu'au bord des maisons ; pour qui n'est pas d'ici il devient insupportable, le Mistral... mais l'auteur est du coin ! NB à lire ces lignes, je comprends que le poète ne compte pas ce vent parmi ses amis ! L'hiver, l'été tout le temps en somme, le Mistrau est redouté, " fait des siennes ..." Pour l'avoir enduré en vacances, je dois avouer que je trouve que ce souffle nordique, est lassant mais je suis étonné que l'auteur ( qui semble son riverain ) ne lui trouve aucun attrait ! Aussi le dernier vers me semble bien doux par rapport à l'ensemble du sonnet ? je vois des alexandrins sans faute papipoète |
Gabrielle
28/8/2019
a aimé ce texte
Bien
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Puissance et force du Mistral...
Le texte dépeint très bien ce souffle qui domine. Le vocabulaire, intéressant, renvoie sur des "assauts nerveux" symbolisant la colère de cet élément qui mord tout sur son passage. Remerciements à l'auteur(e) du texte qui évoque dans ce sonnet la puissance du Mistral, vraie force de la nature. Bien à vous. |
Corto
31/8/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Qui a subi les assauts du Mistral se retrouvera ici en terrain connu.
La première strophe est pleine de vigueur et montre bien qu'on ne devient pas ami avec ce personnage. Par contre la seconde strophe perd de sa force avec des expressions un peu trop calmes: "Il va son long chemin" ou "exhale ses discours". Le V10 semble maladroit: "surtout les jours d’été" parait incongru après qu'on ait évoqué "Par les grands froids d’hiver". Au V12 j'aurais vu une expression bien plus forte que "souffle infini". Quant à "qui défait visages et cheveux", cela évoque plutôt une caresse que la violence du Mistral. En définitive le but du poème est original et bienvenu. Mais je trouve que les images choisies ne rendent pas bien compte des furies du personnage. Merci pour cette aventure. |
Miguel
18/9/2019
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Modéré:commentaire trop peu argumenté.
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Anje
17/9/2019
a aimé ce texte
Bien
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Je ne suis pas convaincu par l'idée d'un vent uniquement violent, méchant, monstrueux. Ce guerrier déchaîné, ennemi des vivants n'est-il pas connu pour donner au ciel provençal un bleu de carte postale ? Et s'il pousse les flammes jusqu'aux persiennes, ce n'est pas lui qui les allument. Ou bien le mistralet n'est que son petit frère dont on lira un autre sonnet ?
Mais ce sonnet ne cherchait pas à me convaincre. Il n'expose que l'image du mistral forgée dans le cœur du narrateur et il a réussi. Le dixième vers me rappelle la phrase d'un présentateur télé disant en substance : "c'est comme çà tous les jours, surtout la nuit". Je trouve la tournure ambigüe et à la place de surtout, j'aurais plutôt écrit comme. Mais ce n'est qu'un avis d'amateur, passant en courant d'air, qui a pris plaisir à la lecture d'un sonnet prosodiquement solide lui a-t-il semblé. |
Anonyme
17/9/2019
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Le tercet final est la strophe la plus importante d'un sonnet. Du moins devrait être.
Le "monstre", "droit", debout" : des termes mal venus. De plus il paraît difficile de se dissimuler dans cette posture. Je préfère : Ennemi des humains comme de la vermine (bien qu'ennemi est lui aussi mal venu). Quant aux tercets, il faudrait les changer. Le Mistral n'est pas un cyclone, et il apporte plus d'avantages que de désagréments. |
Donaldo75
17/9/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Queribus,
Eh bien, que voilà un thème que je n'attendais pas ici ! Et en sonnet classique, de surcroît. J'ai trouvé le résultat agréable à lire, évocateur et en même temps plutôt sage. Je croyais quand même le mistral plus violent, du genre à rendre fada les pauvres êtres humains qui s'aventurent dehors lorsqu'il souffle à tue-tête. Mais je ne suis qu'un Parisien, un gars dont l'accent pointu ne chante pas le Sud, son vent légendaire et ses fleurs, alors je fais confiance au poète et laisse mes préjugés de côté. Merci du partage. Je vais fermer la fenêtre, au cas où le mistral s'aventure dans mon arrondissement. Donaldo "il vento del sud soffia a volte verso nord" |
leni
17/9/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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salut Queribus
J'attendais un souffle plus puissant C'est bien rédigéIL t y a de belles images Le géant invisible exhale ses discours Tandis que la Provence attend qu’il se termine. Sous son souffle infini, sous ses assauts nerveux, Le voilà qui défait visages et cheveux. En un mot comme en cent, le mistral fait des siennes. Le mistral c'est 3 6 9 Merci à toi pour cet exercice de STYLE |
troupi
19/9/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Plutôt bien amené ce mistral.
Il paraîtra peut-être un peu sage à ceux qui le connaissent bien car il ne défait pas que "visages et cheveux", il arrache des arbres souvent et c'est une autre histoire. Un sonnet bien sûr ne peut pas tout dire et celui-ci fait à peu près le tour du sujet de manière plaisante. |