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Anonyme
13/8/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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En effet votre poème a quelque chose de chantant, me dis-je, son charme vient selon moi beaucoup de son rythme flottant et de son bref refrain variable ; la rime incertaine aussi me plaît : en un mot, je trouve l'ensemble cool malgré le sujet qui pourrait vite sombrer dans le sinistre.
Vous évitez cet écueil par des vers qui affichent un fatalisme souriant, détendu. La mort fait partie de la vie, de nouvelles générations arrivent. Ma lecture s'est révélée un agréable moment de fraîcheur. |
Anonyme
27/8/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Un bon poème, musical au ton apaisant, parfait pour débuter une journée. Les oiseaux sont partis mais seulement pour un temps, celui de la migration pour ceux à plumes ou de l’insouciance et de leur propre cheminement pour ceux à poils, mais nous les reverrons tôt où tard, car ils finissent un jour ou l’autre par revenir au nid primaire, ne serait-ce que pour se désaltérer ou chanter, même si le temps est fort capricieux…. Merci pour la lecture Anna |
Anonyme
27/8/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Un texte qui se lit un peu comme une chanson sur le départ des hirondelles. Et oui, tous les ans, elles se rassemblent sur les fils comme des notes de musique disait je ne sais plus qui, avant le grand départ pour un retour aléatoire. Je ne commenterai pas la prosodie puisque nous sommes en contemporain où tout est permis. J'aime bien ces réflexions sur le temps à la fin de chaque strophe. J'aime bien également le rapport avec les écoliers. Au final, un poème qui se lit avec plaisir. |
Miguel
27/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème frais avec des mots simples, des images gracieuses, et un sommet poétique, une merveille, un coup de génie, les "bouquets de refrains".
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papipoete
27/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Queribus
Etrangement, les oiseaux auxquels on s'était habitués ( à leur chant, à leur ballet de plein-vol ) sont partis pour d'autres horizons, dont ils reviendront la prochaine belle saison...et la rentrée scolaire qui voit nos petits, quitter le nid pour à l'école apprendre... à voler de leurs propres ailes. NB je ne peux m'empêcher de faire le parallèle entre ces deux " sortes " d'oiseaux, auxquels on s'attache, avant que de nous ils se détachent ! J'eus des oiseaux de plume, j'eus des oiseaux à cheveux, et quand les uns et les autres quittèrent le nid, mes yeux s'embuèrent bientôt... Pour les " seconds ", l'école ne fut point le plus dur, mais le chemin ; quand ma fille, puis ma petite-fille peu à peu me firent comprendre " tu peux lâcher ma main, je suis grande maintenant... " J'aime bien ce délicat mélange entre ces deux " points sensibles ", où nos coeurs sont mis à dure épreuve ( surtout nos petits avec leur gros cartable ! ) la 3e strophe de " mon " interprétation, est mon passage préféré. |
senglar
27/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Queribus,
C'est très joli, ça raconte la ritournelle des jours, la ritournelle d'une vie. Avec les retrouvailles et de nouveau la séparation et la naissance d'une nouvelle génération. J'ai lu ici un petit morceau d'éternité, beaucoup de bonheurs, quelques chagrins aussi parce que l'un ne va pas sans l'autre. C'est simple, c'est direct et ça va droit au coeur, là où le bât ne blesse pas. Merci pour cette leçon d'optimisme et de sérénité. |