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madawaza
8/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Les chevaux fous vont toujours plus loin, leur folie leur permet d'aller ailleurs et de trouver des "autrement". "hennissons"-nous chevaux fous. |
Proseuse
14/5/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Je n' y connais pas grand chose en textes de chansons , le vôtre est rythmé et entraînant, ceci dit il me semble qu' un peu de travail supplémentaire ne nuirait pas et même bonifierait la chanson , par exemple en réparant la répétition de " partout " dans le premier couplet ou la répétition du mot " bras" dans le premier et le troisième couplet , c 'est le deuxième couplet que j' ai préféré, mais vous aurez sans doute d' autres avis qui seront peut-être plus pertinent et judicieux que le mien ! :-) merci pour ce partage |
Robot
28/5/2017
a aimé ce texte
Bien
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L'idée est intéressante. Le temps de la jeunesse qui, si elle savait ... Je pense qu'une musique rythmée pourrait apporter à l'ensemble du récit la fougue qui manque un peu à la seule lecture.
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Donaldo75
28/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Queribus,
Voilà une chanson rythmée, telle une cavalcade, et riche d'images propres à la jeunesse et à la fougue. C'est réussi, on a l'impression que ce poème a été acrit d'une traite alors qu'une lecture plus minutieuse montre le travail accompli pour en arriver à ce résultat. Évidemment, l'image du cheval fou est forte et puissante, répétée intelligemment à travers un vocable adapté - ronde, animal, tournoi - et le poème négocie bien le passage à l'être humain, à travers les cinq derniers vers. Bravo et merci pour la lecture fougueuse, Donaldo |
papipoete
28/5/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Queribus,
L'homme assagi parle à son corps ; te rappelles-tu du temps où attelé à mon coeur, tu ruais, galopais à cent l'heure ? Rien ne nous freinait, nous avions vingt ans ! NB l'auteur manie les vers à la cravache et ponctue ses ruades d'images bondissantes, comme celles de la seconde strophe ! Mais jamais de coups tordus, rien de méchant, que du véniel en somme ! |
Anonyme
28/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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" Comme un arbre au printemps,
Au temps de mes vingt ans. " " Je fonçais jour et nuit Comme dans un tournoi, Impétueux et fier, Perdu dans mes émois, Filant comme l’éclair." voici bien décrite la fougue de la jeunesse, au temps où l'on es persuadé que rien ne peut nous arrêter, tel " un cheval fou ". Les hexasyllabes s'adaptent fort bien à une mise en musique. |
funambule
28/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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A l'ouest... et même aux trois autres points cardinaux d'ailleurs, rien de nouveau ! Et les chevaux fous rentrent au box, d'abord un sabot, pi deux, pi... on fait de jolis textes sur la fougue, les galops du passé, l'avoine avariée qui faisait un festin. Je crois que ça peut toucher tout le monde, le rythme est bon en plus. Un texte qui devrait sortir du corral facilement avec une petite zique dédiée.
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