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BeL13ver
6/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Voilà un poème bien ivrogne comme il le faut ! L'apparente médiocrité de ces vers permet d'enchanter le lecteur et restitue bien le discours sans queue ni tête d'un homme ivre ! On prendrait presque en pitié ce pauvre gars qui n'a même pas l'air de se rendre compte qu'il parle en alexandrins.
Pas de moments particulièrement géniaux dans le style ou l'impression laissée, mais beaucoup de passages détendent et permettent d'esquisser un sourire bienveillant pour André sans snonnets/chansonnet/Sansonnet. Il ne se souvient plus même précisément des vers de Corneille "N'ai-je donc tant vécu que pour cette infâmie ?" Un moment détendu, de tranquillité, un petit rayon de soleil dans ma journée poétique. Un petit bémol cependant : si j'aime beaucoup ce poème, je le trouve un peu trop long... |
Zoe-Pivers
11/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il a quelque chose, à mes yeux, de terriblement touchant ce rêveur.
Beaucoup de vers fluides qui coulent comme une liqueur en bouche, le lecteur se laisse avoir, il boit ces vers qu'on lui tend puis la lecture se met parfois à tituber et se prend les pieds sur certains vers. Est-ce à cause d'un "saoul entendu " ? (le lecteur interprète :) C'est pas glamour de s'affaler sur le comptoir, pas vendeur le parfum nicotine, le cheveux long crasseux... Et pourtant le charme opère. Puis il y a pour moi des découvertes comme Archiloque, apophtegme et thrène. J'ai beaucoup aimé ce poète écorché qui en vers aime trinquer, avec son lecteur. Merci Zoé |
Brume
15/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Pas facile d'être poète. Encore moins quand le cerveau est étourdi par l'alcool. Le portrait d'André n'est pas laid. Il a un beau langage et ses jeux de mots comme par exemple "saoul entendu" ont de la classe. Le changement de rythme est un beau contraste. Dans la première partie le rythme est plus alerte. Et à partir de "Ô rage Ô désespoir..." la ponctuation se fait plus rare, le rythme ralenti. Mais du début à la fin l'état d'esprit du narrateur reste le même : il en émane de l'amertume. |
papipoete
27/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Quidonc,
Votre texte fut présenté il y a quelque temps, je le commentai favorablement, mais celui-ci réapparut en espace-lecture, sûrement remanié ! NB je ne reprend donc pas mes dires ( que vous devez avoir conservé ), mais souligne quelques passages particuliers, le 3e tercet ; et plus loin " j'aurais aimé m'appeler Shakespeare , mais voilà ... " ce passage est fort touchant ! et le titre fort original ! |
Cristale
27/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un plus pour les rimes "flegme" "apophtegme", aussi pour "thrène" "entraîne".
L'auteur a du vocabulaire et le sens de la narration. Je lui dirais bien d'arrêter de boire, de se laver "Le cheveu long crasseux plaqué sur le visage" (rire!) et de continuer à rêver et de signer ses poèmes de son nom, le seul qui lui va le mieux : "André". Merci pour cette plaisante lecture. Cristale |
Pouet
27/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bjr,
Pour ma part j'ai vraiment bien aimé ce poème. Je pense toutefois que le terminer sur :" Mais des éclats de rires ne me reste que brisures." aurait été opportun car la suite n'apporte rien de plus et est à mon avis moins percutante. Mais bon quand j'écris je suis un peu pareil, j'ai du mal à m'arrêter parfois quand je suis lancé... Bref hormis cela j'aime beaucoup quoi. C'est simple, fluide et bien écrit, ironique à souhait. Et puis moi la poilade du titre "Entrez sans sonner" aveg l'akzent munichois me plaît bien mais bon je suis bon client faut dire à ce sujet. Au plaisir. |
Anonyme
27/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une auto dérision corrosive ; le ton est donné des le premier quatrain.
Vient ensuite cette allusion et jeu de mots fort bien tournés : ." On m’appelle archi-loque pas pour mes origines, Bien que tout comme lui je sois né à Paros, Mais pour mon apparence, mon parfum nicotine, Mon penchant excessif pour le whisky d’Écosse. " Malgré sa déchéance, dépravé par ses rêves non aboutis, le personnage engendre une certaine compassion. |
Louison
27/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir,
J'ai pris un grand plaisir à lire ces vers. Le poète qui cherche l'inspiration au fond des verres, qui voudrait tant la gloire même pour un moment bref est très bien décrit. J'aime particulièrement: J’aurais aimé, c’est vrai, des autres être admiré, Ne fût-ce qu’un printemps, ne fût-ce qu’avoir été. Aussi dans ma folie avec l’ami Bacchus, Je me mets à rêver que mes œuvres parussent. et: Mais des éclats de rires ne me reste que brisures. J'ai un peu buté sur: Alors je lève mes vers à l’illustre inconnu Les portant à ses lèvres récitera ma thrène, bien sûr la préposition "qui" devant "les portant à ses lèvres" ne serait pas jolie, mais j'ai trouvé ce vers un peu étrange de ce fait. |
Vincent
9/10/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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mais QUIDONC est-te vous ?
je ne sais pas pourquoi votre texte m'a échappé ce que j'adore c'est que vous ne vous prenez pas au sérieux et quoi-qu'étant ignare en poésie et en littérature vous avez réussi à me faire passer un bon moment avec vos vers à mon goût bien tournés et plein d'humour j'ai adoré |