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Miguel
7/9/2020
a aimé ce texte
Pas
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On commence classiquement par "Vous habitez chez vos parents", on ne tutoie pas (enfin, de mon temps ...) Timide et en plus maladroit, ce personnage ne convainc pas. Trois infinitifs à la rime en "yer", ça fait un peu facile, et les rimes du 1er tercet ne respectent pas l'alternance; quelques vers n'ont pas le rythme voulu. "Sans atermoyer", "sans autre état d'âme" me semblent un peu prosaïques, et la chute , avec son image de forge, un peu plate. Désolé de vous paraître si grincheux. Je souhaite à ce texte des lecteurs plus réceptifs.
Miguel, en EL |
Gabrielle
8/9/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Captif de ses sentiments et de sa timidité...
Un sujet qui encourage à aller de l'avant et comme il en est question dans la dernière strophe de ce sonnet l'espoir est appelé à renaître chaque jour... L'auteur nous renvoie sur un joli récit d'une amourette qui naît, meurt, puis renaît chaque jour, mettant en exergue ce qui compte pour les coeurs (ici les timides amoureux). Une jolie histoire qui incite à vivre le présent et à faire renaître chaque jour l'espoir qui fait la vie.... Merci à l'auteur(e) de ce conte qui renvoie un peu sur le merveilleux de la vie et sur les choses essentielles. |
papipoete
16/9/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Quidonc
" il voudrait bien, mais n'ose point " le timide maladif, amoureux de cette danseuse qui enflamme son regard et écrase son coeur de guimauve. Mais ce n'est que partie remise ( après s'être blâmé au tain du miroir, chez lui le soir ) et demain il retournera voir danser la biguine, cette femme qui se tortille et tord le courage du héros... NB " captif " de sa timidité est bien réel, et souvent cette geôle emprisonne bien des soupirants ! Quand enfin claque le déclic, que le pas est franchi, on se retourne sur soi ; que n'ai-je su ? quel temps de ma vie perdu ! Il y a plein de vers éclatants dans cette confession ( renonçant à l'amour, prend son coeur en fardeau ) par exemple je suis surpris par l'écriture de " atermoyer " qui se révèle exacte ! je vois un " néo-classique " parfait ! |
Anonyme
16/9/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Beau poème bien mené, narratif, régulier, qui nous quitte de façon flamboyante. La scène est un brin stéréotypée, pourtant difficile à décrire et vous avez réussi. C'est presque un exercice de style. Je note large parce que beaucoup de petits poèmes obscurs ont le don d'attirer les interprétations. Vous pécheriez par excès de clarté éventuellement. Des poncifs cependant : "réveiller l'espoir", "sans état d'âme" mais dans l'ensemble il y a une recherche.
Comburant et biguine : je ne connaissais pas, merci pour ces nouveaux mots, en ce qui me concerne. |
Lariviere
21/9/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Un poème plutôt bien mené où la forme colle bien (c'est bon pour la biguine?) au thème, et à l'axe de traitement choisi par l'auteur. "Il reviendra demain, car demain un regard Réveillera l’espoir et sans autre état d’âme Rallumera le feu que la forge réclame." Après toutes ces hésitations, voici une belle façon, sur fond et forme, de ponctuer le poème... Merci pour cette lecture et bonne continuation. |
Queribus
22/9/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Le sujet est très classique mais joliment traité dans une prosodie quasi parfaite. Les puristes noteront effectivement quelques petites fautes dans la forme(trois verbes en -yer, ce qui fait effectivement beaucoup, non-respect de l’alternance au premier tercet) mais ce sont que "broutilles" qui n'enlève rien à la qualité et au charme de l'ensemble et puis tout le monde connait les difficultés du sonnet. |