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Anonyme
22/4/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour, belle démonstration ! par l'absurde parfois (Tronquaient Euclide et Bonucci. j'ai trouve 3 pages de ce Bonucci dans le monde du foot, aurais-je dû aller plus loin ?)
Je suis fan de ce mélange des genres. Un seul quatrain m'a paru moins limpide, harmonieux et musical : "Les formules font ma noblesse, Plus qu’une probabilité, Elles sont aussi ma faiblesse, Principe de causalité." mais surtout à cause du "Plus qu'une probabilité" quand il convient de prononcer la finale du mot "plus", "pluss" pour respecter le sens que j'ai compris. CQFD, ma formule fétiche de ces derniers temps, j’ai donc aimé ce texte. Qui plus est, proposé en classique, les spécialistes confirmeront(ou non) le respect des règles. Le champ lexical est bien harmonieux, aussi, résolument matheux. Merci du partage Éclaircie |
Donaldo75
24/4/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est une démonstration réussie et en plus elle m'a fait rigoler, je l'avoue volontiers, avec l'introduction de Bonucci dans le monde des mathématiques. Parce que le Léonardo Bonucci, c'est un joueur international italien dont je doute qu'il connaisse Leonardo Fibonacci, le célèbre - mais pas dans le monde du sport - mathématicien qu'on lie justement souvent à Euclide dont il a repris les travaux.
Au-delà de cette bourde - je suppose que c'en est une - je retiens la volonté de poésie sur ce thème en l'utilisant comme excuse pour parler d'autre chose, d'amour, de ce qui rend la vie si palpitante. |
Robot
24/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un humour doux-amer pour ce texte ou les mathématiques rejoignent la poésie.
Je me suis demandé si l'entrée de Bonucci était une boutade. Je penche pour un jeu avec les "courbes circonflexes" comme celles d'un footballeur ratant son but. Il y a un rythme musical bienvenu. Un peu comme si une chimie réussie permettait le lien poétique entre les équations et les mots. |
papipoete
6/5/2021
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Quidonc
un jeu de mots avec chiffres et équations, tournant autour de cet objet du désir... une femme ! le héros ne se la pète pas, avec des mots surjoués, dans un cercle des plus chics, mais devant son aimée, le poète en savants calculs lui pose ce problème : " combien tu m'aimes ? - moi, je ne te le dis pas, mais te le prouve à ma façon ! " NB quand mon voisin me déclara, qu'il aimait les mathématiques au point d'en être artiste, notre auteur nous prouve que c'est possible, même en amour. Que le poète ne m'en veuille pas, si je suis " à l'ouest " de son idée, mais de Pythagore à Villani, il se put qu'on déclara sa flamme, en quotients, ou autre racine-carrée ? j'ai encore appris un mot français ( lemme )... que je ne suis pas sûr de placer dans mes octosyllabes " animaliers " ! à la 6e strophe, ne fallut-il pas une virgule après Bonucci ? Selon " ma " compréhension, la dernière strophe est ma préférée. Je doute que le poète voulut écrire en " contemporain ", avec toutes ces rimes au cordeau ; aussi, je vois le coupable au 3e vers de la 3e strophe...mesurant 7 pieds ! |
inconnu1
6/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Eh oui sans l'oeil acéré de papipoète, j'aurais parlé d'un contemporain sans faute mais le contemporain élide des e vraiment muets, mais pour le reste, on peut apprécier le travail et la richesse des rimes, ce qui n'est pas rien
Sur le fond, je ne rajouterai rien car tout à été dit sur l'originalité et l'humour du texte bien à vous |
Anonyme
6/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des nombres complexes et des formules tout autant. Quelques vers ont 7 syllabes (si j'appréci/euh ? la rythmique). Ce bagou n'est-ce pas une drague plutôt qu'une déclaration ? C'est joli pour un mathématicien d'avouer que la logique s'arrête à l'amour.
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