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Miguel
16/2/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Une élégie sur l'amour perdu, thème intemporel donc toujours actuel. Tant que l'amour existera il fera des heureux et des malheureux. Et toujours les malheureux éprouveront le besoin d'épancher leur peine. Voilà pourquoi il ne s'agit pas de dire que le thème est rebattu.
Ici, pour que le poème soit classique, il manque la régularité de l'alternance des rimes masculines et féminines, et il y a le problème de "pensée toujours", mais chaque strophe en soi a son charme, certaines davantage que d'autres. J'aime bien l'antithèse des deux malédictions. Dans ce contexte de coeur meurtri la strophe 5 me semble un peu incongrue. On n'en demande pas tant. |
Anonyme
28/2/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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La cinquième strophe façon « j'ai tellement rêvé d'elle que mes draps s'en souviennent » (j'ai oublié qui chante ça) apporte un subit changement de ton par rapport aux formules sans guère de surprises, mais non dénuées d'élégance, des quatre premières. Ainsi, j'aime bien par exemple que la froidure soit inodore et que les certitudes envolées conjuguent tout à l'imparfait.
Je crois que cette cinquième strophe me plairait par son contraste si elle ne comportait ce mot, « scapiflore », que j'ai dû aller rechercher, scrogneugneu ! Il me semble que j'aurais vraiment préféré vous voir assumer jusqu'au bout l'image évoquée et introduire dans vos lignes une « bite » ou un « braque » (rime féminine) de belle tenue. Mais en dehors de votre manque d'audace, somme toute, dans la cinquième strophe, comme je disais j'ai trouvé les expressions plaisantes (à part l'affligeante rime jours/toujours, cela dit elle fait peut-être partie de la blague), en outre le rythme m'a paru assuré et fluide. Le sujet ne me fascine pas mais je l'estime correctement traité. |
papipoete
28/2/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Quidonc
Je sais qu'elle ne reviendra plus, mais j'espère qu'elle reviendra... Je ne veux plus penser à elle, mais mon corps lui, s'en souvient et mes draps se colorent... NB Qui connut cette situation, ne peut que confirmer tout ce que vous écrivez ; on veut oublier, mais on ne pense qu'à cela ! Jusqu'au jour, où l'on se résout à ne plus conjuguer l'imparfait, mais le présent et le futur ! " je l'ai rêvée si fort... " il m'en fallut du temps pour comprendre ces paroles, tout comme " je t'aime - moi, non plus " Pas sûr que je puisse un jour placer dans un poème " scapiflore " ( même pas au scrable... n'en veut pas ) la 3 strophe est si vraie, qu'elle est mon passage préféré je ne vois pas la faute qui classe ce texte en " contemporain " |
Edgard
28/2/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Un joli poème un peu romantique douceureux, légèrement gangnan, le long duquel le lecteur se demande si ce n'est pas, bien qu'habilement torché, un peu miel sur tartine...
Mais voilà que de l'amoureux transi se révèle baiseur frustré...coup de pied dans la chaise. Frustré et qui culpabilise de n'être pas grand chose de plus...Belle galipette, rigolote. On ne la sentait pas vraiment venir mais en relisant...certains indices se révèlent. Le ton peut-être avec quelques mots familiers ou désuets qui se mêlent. Un jour de Noël en novembre C’est certain je l’oublierai. Humour. Il ne l'oubliera pas. Le "scapiflorage" a des beaux jours devant lui. Combien de pieds?: on lit "je l'oubli-e-rai"et ça confirme le ton plaisant, allusion aux vielles chansons... (Est-ce ainsi que le hommes vivent...et leur truc tout près les précède). Moi, je le lis comme ça. C'est mon droit, non mais!... J'aime parce que c'est bon d'arrêter un peu les lamentations. Si je le lisais sans sourire, j'aimerais moins. Gracias. |