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Lebarde
1/12/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Après l'Afrique et ses paysages, voilà l'Afrique et ses hommes avec les us, les coutumes, les danses, les chants, les sons envoûtants, les croyances obscures, l'ambiance de la vie intense qui prépare à la mort annoncée.
Tout comme dans la première partie, l'écriture, coulée mais dense dans les descriptions, reflète superbement l'atmosphère sonore, colorée typiquement humaine de l'Afrique telle qu'on la connait ou l'imagine. La prosodie que je ne vérifie pas, me parait parfaite et quand bien même ne le serait elle pas tout à fait, avec ces dodécasyllabes bien rythmés construits uniquement sur deux rimes alternées dans le ton qui convient au propos. Encore une fois un très beau travail poétique que j'apprécie. Merci. Lebarde |
Anonyme
1/12/2020
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour
Perso, je trouve que les opus se suivent et malheureusement ne se ressemblent pas. Oh celui-là n'est pas mauvais mais autant l'autre m'avait transporté, autant avec celui-ci je reste à la frontière. Je pense que la construction du poème sur 2 rimes y est pour beaucoup. On est obligé de faire trop d'acrobaties pour se maintenir. Dommage, le texte commençait par 3 bien jolis vers : Les yeux clos sous les cieux quand le zénith bascule, Dieu que la nuit est longue à devenir demain Sitôt que les tam-tams hèlent le crépuscule Puis les acrobaties commencent dès le 4éme avec ses jours sans lendemain, et beaucoup d'inversions pour tenir le rythme. Je l'ai déjà dit pour d'autres auteurs mais 24 vers sur 2 rimes c'est le "casse-gueule" assuré. |
papipoete
1/12/2020
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Quidonc
la nuit qui s'avance sur cette terre d'Afrique, ne s'annonce pas sous les meilleurs augures, pour le héros qui voudrait bien s'endormir ! Mais ici, on chante, on joue du tam-tam, et l'on palabre de divers sujets... ce soir, l'on évoque ce lion affrontant un gamin... qui pourrait devenir Roi de la tribu... NB j'aime bien les poèmes à forme fixe ( maillet, gérardine, sonnet sauf le pantoum...auquel je crois avoir à lire ici. Il faut jouer avec une seule paire de rimes, et déplacer l'un ou l'autre vers, jusqu'à la fin sans que le rythme n'en soit défavorisé... Or, autant l'histoire est haletante, juste après la mise en place du " théatre " , le déroulé du spectacle est syncopé, avec ces vers qui reviennent... techniquement, je vois de corrects dodécasyllabes, mais quelques hiatus... mais peut-être avez-vous opté pour la forme " contemporaine ? " |
Donaldo75
5/12/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir Quidonc,
J'ai trouvé ce poème également très réussi. Quand je dis également, c'est en référence à la première partie que je viens juste de commenter. Je trouve que le pictural de la première partie est remplacé par du musical. Le film continue à se dérouler à la lecture mais là il est sonore. La forme reste toujours aussi soignée, agréable à lire et adaptée à ce récit dont les images continuent de parcourir mes synapses et d'en distribuer les effluves et les notes au reste de mon cerveau. Il y a des symboles ou des références qui me semblent familières et ne font jamais cliché tellement leur exposition est intelligente. Encore chapeau bas. Donaldo. |