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Anonyme
18/12/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
N'ayant pas les mêmes croyances que vous, je ne discuterais pas du fond. Votre poème est très bien écrit et je pense qu'il mérite d'être lu. Le seul hic c'est.." Moi, les miens...." Dans mon éducation, on m'a toujours répété que la politesse voulait que l'on dise: "Les miens, moi..." Je sais que cela peut faire sourire et j'en ris d'ailleurs moi-même mais bon... :-) |
Robot
8/1/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Recherche sur une spiritualité humaine attribuée à dieu (un dieu) sans qu'on sache celui invoqué par le narrateur (peut être le suppose-t-il unique ?) Sur le fond la démarche est respectable même si on est pas obligé de la partager.
Je suis plus circonspect sur la forme. On part sur une cadence de 12 pieds avec parfois l'élidement des E mais par moment le rythme est faussé. Des tournures accrochent aussi. Mâchoire semble là pour la rime. Dans beaucoup de vers c'est bien souvent la rime qui guide la pensée d'une manière peu naturelle. La longue phrase qui achève la strophe une à partir de je garde aurait méritée d'être scindée. Je n'ai pas aimé non plus l'alliteration de l'avant dernier vers avec L'assonance "sain". L'effet de style est trop flagrant. |
Pouet
13/1/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Sur le fond, je ne sais pas.
Sur la forme j'ai trouvé de très beaux vers comme "Qui résonne dans les gorges comme l'impôt du ciel" ou encore les deux et troisième vers de la deuxième strophe. "Nous sommes monde exilé dedans ta création" aussi. J'ai trouvé sympathique les allitérations des quatre derniers vers. En revanche je n'ai pas trop vu l’intérêt de mettre Verlaine dans tout ça... Mais bon... Dans l'ensemble je n'ai tout de même pas trop accroché, il y a beaucoup de choses convenues là-dedans. Je reconnais toutefois la qualité de l'écriture. |
GilbertGossyen
19/1/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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J'aime beaucoup ce texte plein d'assonances et d'allitérations sur un sujet spirituel par excellence.
"Des récits de récifs, acérés par césures" "Frappés par le fracas de leurs phrases frêles" "Ô non… nous ne nierons, nos nonnes Némésis. Sain celui qui enceint passion sans être saint" Magnifique. |