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Anonyme
17/4/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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On a envie de trinquer avec vous.
J'ai adoré votre texte. Il est soigné d'une très belle écriture. Vous jouez bien de la métaphore. C'est un exercice très difficile car il est aisé de s'y perdre. Ici, vous en usez ni trop, ni trop peu. Bravo ! |
brabant
1/5/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Rainbow,
Je reprends le mot d'Iloa (trop tentant d'aller la lire car difficile de rester seul face à un tel texte), "Trinquons !" Trinquons à ces "Amours" où l'on s'aperçoit que c'est tout un peuple qui trinque - ;) - en juxtaposition de couples en fuites singulières - ;) - égoïstes et désespérées - mais dans désespoir il y a espoir, des espoirs, espoir fou - trahi ;) - sous le signe d'un hiératisme (forcément) dont le symbolisme est heureusement exclu (voire absent car ce texte est aussi nihilistement épicurien. Ben oui :D), à forte tonalité métaphorique qui témoigne ici de la fuite, et, pardonnez-moi, j'espère que vous prendrez cela avec tout l'humour et la distance qui convient, d'une évidente lâcheté. Non je ne n'ai pas dit "cocoonesque" même si l'on tente de détaler devant l'ascèse, sans grand espoir, "Trinquons !" Pour faire comme si ça tournait rond. Mais on sait bien que ça n'est pas le cas ! |
Anonyme
1/5/2013
a aimé ce texte
Un peu ↓
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L'amour glauque glorifié ou une recherche de gonocoques? Des amours à vomir!
L'ambiance est sale, malsaine, vaine. Hypocrisie ou désolant constat d'une vue personnelle, portée jusqu'au peuple (quelle ambition!)? Même résultat. Tiens, manque le noble sang. Celui qui me rappelle qu'en serrant ta main, j'entends ton cœur battre. |
phoebus
1/5/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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L'amour comme idéal existentiel, poussant à ne faire qu'un avec l'autre, ne serait-il qu'un cul-de-sac ou la drogue des masses laborieuses incapables de se hisser à la hauteur d'une vie sublimée ? Deux corps qui s'étreignent, vus sous l'angle de l'immanence matérialiste et le degré zéro de l'illusion sont sublimés par ce texte splendide. On ne sait pas si c'est grâce aux images auxquelles il renvoie ou la puissance des mots et par là , la précision et la justesse, qu'une lucidité à couper le souffle se dégage de ce texte et éclaire le reflet d'une société perçue sous l'emprise des sens et leurrée par un idéal qui lui sert de faux-fuyant.
Pour le coup, c'est ce texte qui tend vers la perfection. |
Pouet
3/5/2013
a aimé ce texte
Un peu ↓
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"Les murs suintent d'une sueur dégoulinante" est une phrase aux mots très redondants, l'entame ne me plaît guère.
J'aime "aux draps d'obscurité" en revanche "une journée d'une météorologie.." me parle moins je ne trouve pas cela poétique du tout. J'aime beaucoup le début du deuxième "paragraphe" jusqu'à "soleil noir" dont le cliché me rebute. Pareil pour "espoirs déchus". Sinon j'aime bien la suite jusqu'à "nous". La métaphore "comme lorsqu'on a les pieds sur la banquise et la tête sous l'eau" m'a fait sourire car je doute qu'on puisse l'expérimenter mais peu importe nous sommes en poésie. "russe la roulette, même pas polak" là en revanche je bloque vraiment. En dehors du caractère raciste de "polak" je n'ai pas vu le rapport ici. "les yeux clos dans le silence" résonne comme un cliché aussi. Un sentiment fort mitigé pour ma part. |
funambule
3/5/2013
a aimé ce texte
Pas
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Suinte et sueur, la clarté écarlate... une entame qui ne m'embarque guère, le "surjoué", l'écho "Rimbaldien" (si c'est correct) me font passer à côté. Du verbiage "dit" investi pour moi, sans réel intérêt... mais je constate que d'autres... mon ressenti est simplement indicatif.
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Anonyme
8/5/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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vos lire c est un voyage entre les tenebres et la lumiere,vous nous transportez vers votre monde des songes ou l amertume et l espoir se croisent sans se melanger
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Sansonnet
5/6/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je t'avais déjà donné mon avis dessus, alliant gêne et incompréhension, mais n'enlevant rien à la "beauté" que tu nous envoie.
bref, voilà que je peux donner ma note :) |