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Anonyme
15/7/2014
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour Rainbow
Désolée mais ce premier commentaire ne sera pas positif. Mais quelle lourdeur dans vos phrases qui auraient pu facilement être évité: "C'est qu'à ce qu'il paraît l'on peut encore danser par-delà le soleil" 2 fois "qu'" très rapprochés dans cette petite phrase. La sonorité est horrible. "À ce qu'il paraît" est mieux et n'aurait pas eu de conséquence sur le sens de la phrase. "L'on peut encore..." la encore on ne peut s'exprimer comme cela en poésie, la phrase toute entière, c'est pas français. Celle-la c'est pareil même reproche: "À être deuxième, l'on voit moins de lumière; l'on peut encore jouer avec les ombres qui s'amusent en fond" C'est un langage parlé dont le vocabulaire n'est pas du tout soigné. Et trop de répétitions: "Des chiens de porcelaines se brisent dans l'horizon (à l'horizon) et éclatent." "Des chiens de porcelaines éclatent à l'horizon" aurait suffit. " la nuit n'existe encore qu'ici, au-delà ne vit que la nuit noire" Vous aurez pu trouver d'autres mots que "nuit noire" des synonymes il y en a tellement. Il y a encore d'autres que je ne vais pas relever. Et il me semble bien vous avoir déjà fait la remarque sur les grands nombres de répétitions que vous avez tendance à faire sur un autre de vos poèmes. Trop de lourdeurs dans les tournures de vos phrases, trop de longueurs, des phrases en trop qui ne me semble pas nécessaire comme: "La deuxième de l'alphabet; B juste derrière le A." Pourtant l'histoire est belle dont le sens m'echappe sur certains passages, pas du tout mise en valeur avec des images aux tournures bizarres, et trop de répétitions. Une histoire d'amour, des préjugés, des écorchés, mais pas du tout transportée. |
Robot
15/7/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Rainbow,
Dommage qu'au milieu d'éclats lumineux: "Ce fut une rencontre murmure" "Ils s’écharpent, crient, tiennent pour paroles des mots qui sont des miroirs brisés." la complication inutile de certaines phrases vient un peu gâcher votre texte. J'ai surtout relevé les tournures négatives qui alourdissent le récit alors qu'il est si simple de dire les même choses avec les mêmes mots en positivant les phrases: (par exemple) "La nuit n’existe encore qu’ici, au-delà ne vit que la nuit noire." garde tout son sens en écrivant - La nuit existe encore ici, au delà seule vit la nuit noire. - Je pense qu'il faudrait parfois scinder vos longues phrases, tenter de supprimer le coordonnant "et" chaque fois qu'il est possible. "B. et Kafuka, eux, nous oubliés, ils sont retournés..." construction pas très heureuse ce "nous oubliés" avec en plus le "ils" en rappel inutile. Je pencherais pour: - B. et Kafuka sont retournés... - Sinon, j'ai apprécié le fond de votre récit après l'avoir décanté de ses pesanteurs. |
Lulu
15/7/2014
a aimé ce texte
Pas
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Je n'ai pas du tout aimé ce texte aux tournures de phrases trop lourdes. "L'on, l'on, l'on..." C'est très très lourd.
D'autre part, je ne comprends pas grand-chose à l'ensemble. Je ne ressens aucune émotion et regrette de ne même pas trouver quelque musicalité à un ensemble qui aurait pu être porté (à défaut d'y trouver du sens), par les mots. La musique des mots compte énormément en poésie, notamment en poésie en prose. Or, je ne trouve ici aucun rythme sensible. Mon avis peut sembler sévère, mais j'ai relu ce texte plusieurs fois, et demeure toujours aussi perplexe. Je crois qu'il faut retravailler l'ensemble. Comme l'a dit Diva-luna, il y a beaucoup de répétitions qui alourdissent les phrases inutilement. Sans doute faudrait-il aérer le texte et préciser les personnages en étayant davantage les sentiments. PS : j'aime beaucoup le titre. |
Anonyme
17/7/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je ne sais pas pourquoi mais à la lecture de ce texte qui, oui, comme le remarquent d'autres commentateurs contient quelques imperfections, pas toujours car certaines sont, me semble-t-il des choix stylistiques de l'auteur ("se brisent dans l’horizon, et éclatent. ", par exemple. "Ils se chamaillent, se mordillent, se lèchent, puis cavalent à l’opposé ;", encore) est émaillé de très belles phrases et tournures.
Je ne cite que celles-ci qui me touchent particulièrement : - " rien ne sert de fuir, la Terre est ronde. Aux pôles de celle-ci ne subsistent que nos propres déserts, plein d’oasis vacantes. " - " Ce fut une rencontre murmure, de celles où l’on s’oublie dans le creux des reins l’un à l’autre." - " Kafuka, lui, vit à soi pour l’autre. Tous deux ne sont au monde qu’avec des rideaux tirés, et des volets fermés. Ils dessinent sur leurs corps des motifs incongrus et dérangeants." - " ils se suturent dans les bras de ceux qu’ils ont haïs. Le chemin esquisse une boucle, et l’on en revient aux départs à cependant une différence ; nous sommes des êtres disloqués."... qui dit si bien ce que nous connaissons tous, d'une manière ou d'une autre. Je vois en lisant des esquisses de BD de Bilal et de Druillet. Et cela me plaît. Je ressens aussi beaucoup de cohérence dans cet univers un peu apocalyptique... |