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Anonyme
8/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Belle ballade initiatique.
On retrouve tous les ingrédients, le fleuve, les rives, le chemin, encore faut-il harmoniser tout cela, pour ne pas tomber dans le trop convenu, et vous l'avez très bien fait. J'ai aimé le souffle que vous apportez à votre poème, où vous êtes cohérent(e) du début à la fin. Et l'incipit est magistral, cette phrase, qui en si peu de mots veut tellement dire. En tous cas ce fleuve qui représente le monde, et ces courants, et ce chemin au milieu m'ont vraiment séduit. |
Vincendix
21/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le monde est un fleuve qui n’a jamais existé !
Pourquoi pas ! Le descriptif est un peu surréaliste mais il est, pour moi, poétique et c’est déjà un point favorable. Et puis ce chemin de terre sur une ile menant à une cabane me plait particulièrement, je l’ai emprunté il y a bien longtemps… Quant à la forme, elle correspond à la catégorie indiquée et la lecture est agréable |
MissNeko
21/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un beau poème où le monde est représenté par un long fleuve : belle image !
J ai aimé la fluidité des vers et l ambiance à la fois légère et rude ( ce monde qui nous emprisonne ). J ai aimé le chemin de terre avec cette maison toute simple qui nous fait voir le fleuve différemment. Je pense que c est la clef de voûte du poème. La clef du bonheur dans ce monde ne serait il pas dans la simplicité des choses et rien d autre ? Merci pour cette lecture |
Anonyme
21/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonsoir Ramana... Un poème philosophique où je me suis un peu perdu sur ce chemin de terre, le chemin de la vie.
J'ai une préférence pour ce sizain à mon goût plus réaliste que les autre... Ce monde-là, c'est comme un songe Qui depuis Adam se prolonge Et n'a jamais tari son cours. C'est un torrent sans une rive Où s'arrêter quoi qu'il arrive Pour contempler le fil des jours. Merci pour cette lecture qui apporte matière à réflexion... |
Methos
27/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Magnifique transposition de notre destinée si particulière.
Elle est portée certes par le temps, mais aussi par le hasard qui fait bien les choses pour celui qui voit à travers la fenêtre de la cabane ! Heureusement que nous ne pouvons nous arrêter, pris par le courant malgré nos réticences. L'eau croupit si elle stagne, elle émet alors du méthane qui provoque des orages, donc de la colère, de l'amertume. S'arrêter c'est mourir en soi, c'est refuser le flux du monde, c'est refuser notre nature. "Jusqu'à la mort" comme disait les guerriers celtes, jusqu'à l'estuaire ! Ni crainte, ni hésitation ! Merci pour ce beau poème ! |
Zoe-Pivers
27/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ramana, votre poésie donne très envie de devenir sage...
J'aime beaucoup le visuel, l'écran n'est pas plat, il y a de la dimension, et de la matière. La disposition des rimes donne, à mon sens, du souffle, un souffle qui ne manque pas de poumons, avec tous ces êtres qui s'évertue à se frayer un chemin sur une route déjà tracée. Un seul chemin permet de sortir de l'illusion, d'atteindre la fenêtre qui nous ouvre à l'éveil, sûrement magique. J'aime beaucoup la présentation du sujet, et votre façon de le poétiser. Merci pour ce joli moment Zoé |