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Ora
5/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Je trouve votre poème magnifique, de par sa musicalité d'abord. Je l'ai lu à voix haute et suis parvenue à m'enchanter moi-même au son de vos vers :) Je m'y suis sentie comme dans un conte, comme s'il m'était donné de déchiffrer les lignes d'un vieux grimoire oublié qui nous raconte la vie sur les rives d'un monde imaginaire et bien réel pourtant. Un magnifique voyage vraiment que vous nous offrez avec la plus grande délicatesse et aussi la plus grande maîtrise. merci!
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Anonyme
30/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Je trouve que la forme est une performance, avec ces vers qui augmentent d'une syllabe à chaque strophe 2/3/4/5/6/7/8/10 et inversement ; ce, sans ne jamais nuire à la musicalité ni au sens du poème. De fort belles images tout au long de ce texte.
ce passage entre autres : " La grenouille Au marais Qui bredouille Sous les rais De la lune Importune La nuit brune En sa paix." A mon avis, une réussite. |
Anonyme
1/12/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas
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je crois que le poème d'aujourd'hui se doit à plus de recherche de sincérité. Les poètes actuels parlent d'eux et osent se déclarer humblement à la recherche de quelqu'écrit universel... ce qui est sans nul doute une utopie à long terme mais une exigence sur le plus court. Ici ce qu'on nous donne à lire est un exercice sans plus. Je n'y ai entendu aucun message ni ressenti de "passage d'émotion".
Bref c'est vide. Artificiel, dénué. "Mais l'oiseau chante et la forêt s'impatiente"... (pour ne citer que cet exemple). What else ? |
leni
1/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est n exercice d'écriture qui ne sent pas le travail et qui est magnifique de sonorité
J'aime ce passage tout en images Qui peut, mieux que la flore, Accueillir au matin Les vagues de l’aurore ? Le fragile destin Des plantes éphémères Pousse ces passagères À contempler, austères, La voûte de satin. Merci pour e moment subtil Salut cordial Leni |
Michel64
1/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Ramana,
Je ne suis pas friand, d'habitude, de ces mises en pages disons contemporaines. Souvent elles perturbent la lecture. Mais j'avoue qu'ici, et après l'avoir lu à voix haute, votre poème, m'a beaucoup plus. Vous décrivez ici avec un grand sens de l'observation et de poésie le cycle des jours. J'aurais pu me passer du génie qui survient au plein du jour (et de l'elfe un peu plus loin). La nature contient du "merveilleux" sans en rajouter, mais là je pinaille un peu. Les citadelles de l'aigle sont elles les montagnes ? C'est comme cela que je l'ai compris...et apprécié. Bref, du bon et beau travail Au plaisir de vous relire. Michel |
TheDreamer
1/12/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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"Un génie est là dans l'ombre flottant" : et ce génie c'est Victor Hugo !
Oui, c'est bien de l'avoir cité, car, votre poème m'a immédiatement fait penser par le choix du rythme de départ à son poème "Les Djinns" extrait du recueil "Les Orientales" paru en 1829. Je cite la première strophe de celui-ci : "Murs, ville, Et port, Asile De mort, Mer grise Où brise La brise, Tout dort." Las. Certains passages me semblent perfectibles. J'en saisis à peu près le sens, mais, la formulation me laisse sur ma faim ; comme ici : "C’est la pointe Du jour gris, Qui s’accointe Au mépris D’une étoile, Et se voile En sa toile, Incompris". Le fond est par trop décousu pour donner le sentiment d'un discours suffisamment pensé. J'aime... un peu. |
plumette
1/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Ramana,
je voudrais saluer le travail que représente ce "à la manière de" dans la forme. Voilà tout de même une sacrée contrainte qui plus est s'inscrit dans une longueur inhabituelle. il faut tenir la route! Et je trouve, à ma mesure de non spécialiste, que ça tient la route. Evidemment, il faut prendre son souffle et revenir sur ce texte, en savourer la progression des vers dont le nombre de pieds augmente avec la levée du jour, croissant, décroissant, rien que ça!!! j'ai presque plus accroché avec la décroissance... allez savoir pourquoi! un bon moment pour moi, avec le sentiment d'avoir appris quelque chose sur la forme. Merci |
papipoete
1/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Ramana,
Le poète prend sa plume pour écrire un mot, puis un chapelet qui monte jusqu'aux cimes, entraînant dans on sillage autant de touches de couleurs de plus en plus lumineuses ; Puis du sommet, l'écriture entreprend la descente vers la fin du jour, " quand fille du soir s'habille de noir, la belle recèle en elle l'espoir " et l'auteur referme son encrier, pour la nuit ... NB ne serait-ce que pour l'exercice de haute-voltige que vous avez choisi de réaliser, je vous félicite ; et pour l'imagination qui habite vos vers, soyez sûr que j'aime leur contenu ! J'ai tenté de suivre V. Hugo, en commençant mon texte et le finissant par un seul pied ; hélas, présenté à Oniris, celui-ci n'eut pas l'honneur de paraître . |
Ioledane
1/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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C’est un joli défi que vous vous êtes lancé, et que vous avez relevé avec grâce et brio !
Parvenir à reprendre la structure de l’original, c’est déjà techniquement une prouesse en tant que telle ; mais le faire avec fluidité, élégance et richesse des images, c’était une vraie gageure. Certains passages sont peut-être un peu moins réussis ou évocateurs que d’autres, mais je n’ai pas envie de les relever tant j’ai été conquise par l’univers que vous avez si joliment dépeint. J’ai beaucoup aimé ce ciel d’été, merci pour cette très belle lecture. |
Lulu
1/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Ramana,
j'ai bien aimé ce poème et ce jour d'été que l'on pourrait décliner à l'infini. Il s'agit de contempler, mais en rendre compte n'est pas toujours aisé. Ici, je trouve que le pari est réussi. J'ai été touchée dès les premiers mots, les premières strophes, notamment les trois premières dans lesquelles j'ai trouvé beaucoup de délicatesse. La strophe que je préfère est la première. Elle est à elle seule tout un poème. Tous mes encouragements. |
MissNeko
1/12/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Superbe poeme tant sur la forme que sur le fond. J ai un penchant pour les strophes aux vers courts : les rimes sur de si courts vers donnent une impression de rapidité, d accélération.
Je le suis sentie happée par la lecture de ce texte. Il y a quelque chose d enivrant. J ai adoré la progression d'une journée qui s accompagne d'une progression dans la forme des strophes. Une véritable perle ce poeme. Bravo !! |
Anonyme
1/12/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonsoir Ramana,
Quelle merveilleuse surprise que ce poème à la structure habilement agencée. Les strophes à deux syllabes sont mes préférées, et je les remets ici pour mieux m'en imprégner : Encore, La nuit Dévore, Sans bruit, La plaine Où graine À peine Un fruit. Quand fille Du soir* S’habille De noir, La belle Recèle En elle L’espoir. Absolument sublime, Wall-E |
archibald
4/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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A la lecture de ce texte, je suis allé me (re-re-re)plongé dans les Djinns. J’en ai tiré la conclusion que tu écris moins bien que Victor Hugo. C’est le lot de quelques auteurs sur ce site.
Nonobstant, quel boulot ! Combien de temps t’a-t-il fallu pour écrire ça ? (à Hugo, la journée du 28 août 1828). Les rimes sont de belle facture, même pour les di- et trisyllabes. Tu as su construire le crescendo/decrescendo sur le fond comme sur la forme. D’un point de vue littéraire, ça tient parfaitement la route. Tu auras toujours contre toi l’hostilité de ceux qui considèrent la poésie comme une activité absconse sans rime ni raison, mais tu as mon admiration pour ce travail que je mesure à sa valeur. Deux plumes pour le moment, je trouve ça trop peu. |
emilia
3/12/2016
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Un grand mérite à souligner que la réalisation de ce défi aux contraintes exigeantes ponctué d’agréables images portées par la musicalité des rimes et qui retiennent l’attention : « Oh ! faites que jamais ne passe/ Sa caresse, comme une grâce/ En l’éther du ciel abyssin »… / Au rythme majeur de l’astre qui danse… / Un génie est là, dans l’onde flottant »… ; une belle inspiration digne de cette « harmonie / D’un soir d’été » …
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Jema
6/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est une musique, une symphonie, un début simplement joué de quelques instruments puis une montée en puissance avant que l'orchestre entier interprète votre oeuvre, puis tout redevient calme... et le silence de la nuit m'envahit. Très beau texte et quel exercice de style.
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