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Damy
2/1/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Sonnet prosodiquement et musicalement presque parfait, n'eut été ce vers trahi par un fausse note à l'hémistiche :
"Les eaux qui pleuvent sur / le monde avec bonheur". N'étant pas très cultivé en mythologie, j'ai consulté Wiki et j'en conclue que vous êtes peut-être le frère d'Osiris ^^ À la lecture du premier quatrain, je me suis dit qu'Isis allait symboliser la femme afghane (voile noir), mais il n'en est rien. L'oxymore "terrible sagesse" rend Isis à la fois redoutable et raisonnable. L'on est partagé alors entre le sentiment de devoir fuir et celui de pouvoir être rassuré. Isis est évoquée comme salvatrice de la planète (mais je ne vois pas sur Wiki la moindre référence à ce pouvoir). J'aurais personnellement choisi Aphrodite. Je retrouve au dernier vers la dualité d'Isis attirante et "foudroyante". Alors peut-être s'agit-il d'un poème bipolaire ? |
BlaseSaintLuc
3/1/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Je pourrais mettre une pièce sur qui est derrière ce texte, mais en EL, il ne faut pas jouer aux devinettes, en tout cas, j'aimerais voir un jour cette personne sortir de sa zone de confort pour tâter du libre ou du contemporain...
Bien et le texte ? Lyrique, beau, pur, un rien plus sombre que d'habitude, c'est un pli que notre inconnu (e) prend, ces derniers temps... Harmonie cosmique, je dirais que tous les " Chemnis" ne mènent pas à Rome, mais ce texte lui sûrement vers les ailes de la gloire. Même si je me trompe sur notre (?) c'est sacrément bien imité peut-être un disciple alors... |
Donaldo75
4/1/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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J’aime bien ce sonnet de par sa tonalité très classique ; évidemment, le thème exposé va dans ce sens et s’accommode bien de cette forme. Par ailleurs, même si certaines formulations, liées à des choix pour rentrer soit dans la métrique soit dans la rime, alourdissent la composition (par exemple, dans le premier vers du premier tercet) l’impression d’ensemble me fait penser à celle de ces tableaux du dix-neuvième siècle dont beaucoup décorent les châteaux français ; ils donnent le la de ce qui fait la grandeur de l’édifice, par l’intérieur, rappelant une époque certes révolue mais encore présente dans les esprits. Je ne sais pas si cette image est claire mais elle m’est venue instantanément à l’esprit.
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Boutet
11/1/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Je trouve la syntaxe torturée par endroit et c'est dommageable à la lecture de ce sonnet : vers 3 et 6 et l'inversion du vers 9 n'arrange pas les choses.
Finalement, une invocation bien étrange. |
Provencao
11/1/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Ramana,
"Quand soulèveras-tu, solitaire déesse, Isis au cœur de feu, pour moi ton voile noir, Afin que de mes yeux à tes yeux en miroir, Par un décret du sort, je meure ou bien renaisse" Sublime poésie où j'y ai lu une quête incessante pour imaginer et dévoiler où tout commence. Sans cela, se dérobent l'émotion, la pureté, le dessein du moment, l'émotion d'un ailleurs. Demeure encore en vos vers et la volonté de vivre et d’aller de l’avant. Profiter de l’instant, se délecter de ce qui s’offre à soi. Et " ouvre-moi ton empire ". Au plaisir de vous lire Cordialement |