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Robot
18/2/2018
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La faute de conjugaison au 9ème vers "que je protégerons" - protégerai - gâche l'ensemble de ce qui aurait pu être un bon texte.
Je ne note pas. |
Damy
18/2/2018
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J'aime beaucoup le rythme musical et votre poème, Ramana, se prêterait bien à une chanson.
Seulement, il est long et je n'en ai fait pour l'instant qu'une lecture rapide. Il mérite mieux et j'y reviendrai. La boue tache sans fin Mes pieds indifférents Qui laissent au chemin La mesure du temps, Jamais ne s’arrêtent. est une strophe qui me parle intimement. |
Anonyme
18/2/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Si la première lecture est assez ardue, il est bon d'y revenir avec une attention sensible ; ce que je fis.
" Chaque épreuve est une fleur que tu sèmes ". J'ai trouvé intéressante la façon de traiter les différentes épreuves de notre parcours ; " celui que tu vois à travers le filtre de ton âme du moment ". D'abord, le froid de l'âme, assimilé aux assauts de l'hiver. Puis la lumière qui fait " tomber le manteau ". Une allusion à la chute des murailles de Jericho. " Il n’est jamais perdu Le pays que l’on aime, Chaque déconvenue Est une fleur qu’on sème Immanquablement. " C'est ce passage que j'aurais bien vu en chute ; avis très subjectif, bien sûr. |
Melusine
18/2/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'ai aimé cette poésie dans son ensemble , même si elle reste inégale d'une strophe à une autre. Ce texte aurait peut-être gagné en intensité en étant plus condensé.
J'ai vraiment aimé les strophes suivantes : "La boue tache sans fin Mes pieds indifférents Qui laissent au chemin La mesure du temps, Jamais ne s’arrêtent." "Le manteau est tombé Des épaules de l’homme, Et son chapeau ailé Est devenu tout comme Un morceau de ciel." "Ses pieds se sont ancrés Dans la terre sans fond, Comme un arbre sacré, Son feuillage fécond Abrite les elfes." |
Anonyme
21/2/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Malgré plusieurs lectures, ce poème ne parvient pas à me faire ressentir de l'émotion.
La lecture n'en est pas désagréable, les mots se lisent aisément, mais ils manquent de conviction, de puissance. Je ne perçois pas la grandeur incontestable de ce "pays que l'on aime", celle qui fait s'installer ce bien-être, après l'avoir enfin trouvé, après l'avoir perçu comme '"l'unique". J'aurais aimé un poème plus marquant, plus tranché, bien plus intense dans son élocution, pour pouvoir partager "le pays" qui devient "ce pays". Je me suis senti perdu, dans ce dédale de détails pas toujours "saisissable". "Ce pays", où enfin tout devient possible, où l'avenir s'annonce prometteur, est trop évasif. |
Eki
8/3/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'ai aimé l'eau du ciel en furie.
Peut-être aurais-je supprimé la dernière strophe qui me semble en trop. Ce n'est que mon ressenti. Eki aime pour la douceur |