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Miguel
10/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une casuistique de jésuite pour donner raison à celui qui a tort ; mais l'exercice est réussi ! Ce petit sonnet d'octosyllabes, mélodieux et léger à souhait, est un excellent divertissement, encore qu'il empiète sur le sérieux de l'introspection.
J'aurais écrit "un si bel ouvrage". Mais cela n'empêche pas la pièce d'être brillante et plaisante. |
Anonyme
11/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour... Un sonnet octo syllabique où je relève que les deux tercets reprennent les rimes en "eur" ! Personnellement je n'y vois pas d'inconvénient. Autre remarque, pourquoi ce point-virgule à la fin du premier tercet ? Ca ne me semble pas opportun...
Le thème est léger mais ô combien humain, le poème limpide et certainement écrit par un homme qui s'adressant au Seigneur doit tout de même se sentir un tantinet coupable... Allez en paix mon fils, que celui qui n'a jamais commis ce pêché véniel vous jette la première pierre... Amen ! |
Anonyme
11/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quelle belle manière de se faire pardonner vous avez trouvé là.
La flatterie. ..rien que ça. Bravo. :-) |
troupi
13/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Oui, je les imagine bien essuyant "un soupçon de culpabilité" et judéo-chrétienne en plus.
En attendant j'ai trouvé ce sonnet assez savoureux pour avoir envie de vous le faire savoir, ce n'est pas si souvent sur Oniris que l'humour s'invite, on ne va pas le déplorer. Je ne suis pas spécialiste du classique mais je me pose la question : la répétition du mot "Seigneur" est-elle acceptable dans cette catégorie pour un sonnet ? |
madawaza
27/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour TRALALA
Que de mots Pour donner noblesse Au passant qui Ne suit que fesses. Je suis un suiveur, Sans cul...pabilité, Je suis un voyeur, Je le confesse |
Anonyme
27/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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" culpabilité Judéo-chrétienne " ? Que nenni !!
D'autant que la mode vestimentaire actuelle rend cette " chaloupe d'une diablesse " effrontément ostensible, oserais-je dire suggestive ? " Car c'est en grand admirateur De Votre talent créateur Que j'approuve si bel ouvrage ". Soyons bons faux-culs. J'adore ! |
Automnale
27/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Eh bien, je vais commencer par le négatif : ce texte est beaucoup trop court ! Il est tellement agréable à lire que je suis frustrée ! Ma lecture à peine commencée, hop, elle est déjà terminée !
Cela dit, cette confession est drôle, fort bien écrite, bien sentie. Il y a du Ronsard dans cette histoire. Et le charme d’un Prévert. Pauvre pécheur suit du regard, sur un boulevard, la chaloupe d’une diablesse ! En pensée, il la caresse, soupèse ses courbures. Certes, il ne s’agit que de la passion volage d’un lorgneur ! Et celui-ci sait si bien s’y prendre avec le Créateur que (moyennant peut-être un Pater) ce péché lui sera très certainement pardonné. Voilà un auteur qui, pour notre bonheur, ne manque pas d’humour… Je me souviens des deux tasses de café du matin sur un égouttoir… A présent, j’ai très envie d’en connaître bien davantage... A très vite, Ramana ! J’espère que « Les chaloupées », avec l’arrivée des beaux jours, ne vous retarderont quand même pas pour publier… |
Anonyme
27/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Le plaisir des yeux n'est pas encore interdit, Dieu doublement merci : pour les avoir créer et permettre de les regarder. Petit sonnet sympa, un brin coquin à la prosodie impeccable. Passion bien compréhensible à notre époque. |
Pouet
27/1/2016
a aimé ce texte
Pas ↑
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Petit poème ma foi bien sympathique mais vraiment sans plus pour ma part.
"Rien n'est plus doux à mon regard"... Cela pourrait entrer dans une anthologie de clichés. Je suis peut-être pénible avec ça mais rien ne m'agace plus que de lire des expressions toutes faites. Rien n'a vraiment retenu mon attention ici à part "Votre lorgneur" que j'ai trouvé rigolo. Une prochaine fois, j'en suis sûr. |
papipoete
28/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Ramana; qui n' a pas plombé son regard, sur la "belle" qui passe, et chaloupe à donner le tourni, même à un marin aguerri !
Votre poème est gentiment coquin, et la fin invite à se rendre au confessionnal, non point pour y confesser ce péché véniel, mais par l'intermédiaire du curé, féliciter le CREATEUR, de son grand talent de " sculpteur" ! NB au 1er vers du premier tercet, j'aurais préféré " si vous/me/croyez " Le 4e vers me semble mesurer 9 pieds avec la diérèse de " di/a/blesse ";( vous l'avez faite au 11e vers pour " pas/si/on " ) édit; hananke m'a fait remarquer à juste titre que "diable" était une exception et ne pouvait pas supporter la diérèse! je réciterai, à genoux, 10 pater et 10 ave! |
Anonyme
27/1/2016
a aimé ce texte
Bien
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Il a bon dos le bon Dieu !
Mais je me demande, s'il vous pardonne vos regards concupiscents, s'il vous pardonnera votre flagornerie et qui plus est de vouloir lui faire porter le chapeau... À vous relire. C. |
Vincendix
27/1/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Je vous rejoins dans votre prière, mon fils, ne rougissez pas d’être lorgneur, je vous donne l’absolution.
Maintenant je crois qu’il faut surtout remercier les parents et pourquoi pas le diable, la vue de ces démarches chaloupées incitent aux péchés capitaux que sont l’envie, la gourmandise et la luxure. Un sonnet agréable et réconfortant, aux antipodes de certains textes… Mais je n’en dis pas plus... Ô femme de Paris, tu es toujours la même, Tu as de la couleur et c’est tout un poème, Tu claques les talons sur mes vieux souvenirs, Mais j’ai encor pour toi, bien de secrets désirs. |
Arielle
27/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Les belles passantes d'aujourd'hui n'ont rien à envier à celles de jadis.
Au balancement du feston et de l'ourlet elles préfèrent d'autres arguments et leur chaloupée est diablement plus alléchante. S'il doit régler ses comptes avec le Créateur le lorgneur a toujours la ressource de suivre le conseil de notre grand Georges : "Pour chasser le démon qui habite ses fesses, Je lui vide un grand verre d'eau bénite dessus." ... et la messe est dite ! Mais votre petite prière dévoile, elle aussi, infiniment de charme et de séduction dans ses formes parfaites. Elle devrait attendrir la plus froide des divinités. |
Francis
27/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un petit sonnet qui nous rappelle que la beauté se retrouve dans l'allure chaloupée, les formes, les courbes féminines. Avec un peu de pudeur mais sans timidité, j'avoue partager votre passion pour si bel ouvrage !
Merci pour cette promenade bien agréable sur le boulevard des chaloupées. |
luciole
27/1/2016
a aimé ce texte
Bien
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Un poème léger et souriant que j'ai apprécié. Merci.
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Anonyme
27/1/2016
a aimé ce texte
Bien
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Cela sent quand même bigrement la naphtaline (la forme!?), mais le contre-pied ou la douce ironie de la dernière strophe, que je vois comme une petite mite résistante et espiègle, me laisse en fin de compte un agréable sentiment. Et puis c'est court, aussi.
Merci à vous. |
vendularge
27/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Court , efficace et sexy . Un petit côté "Don Camillo" qui me fait sourire...cool.
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Anonyme
27/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonsoir,
Mes bémols : Un peu de coquetterie de votre part dans l'emploi du très suranné "penser" (le mot était déjà vieilli en plein XIX ème s.) et dans la tournure archaïque : "Si m'en croyez".- Je déplore ces réflexes précieux des rimeurs classiques, qui mettent ainsi du grain à moudre sous la meule des contempteurs de la rime et des vers mesurés. Dommage pour la répétition de la rime en -eur dans le second tercet. Mais c'est joliment réalisé ; et le ton gentiment frivole est plaisant. Je goûte particulièrement cette rime Seigneur/lorgneur et l'esprit de la chute. Votre sonnet est un petit bonbon qu'on laisse fondre sous sa langue, le temps d'en suçoter les 14 vers. A. |
Anonyme
27/1/2016
a aimé ce texte
Bien
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Ma foi c'est joliment troussé. Rien de graveleux, que de la délicatesse teintée d'une douce ironie. Une scène de rue comme nous, les hommes, en vivons tous les jours... ou presque. J'avais moi aussi exploité ce thème autrefois, dans une forme radicalement différente. Si vous êtes curieux : http://www.oniris.be/poesie/jano-zigzag-4798.html
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jfmoods
28/1/2016
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La conjonction de coordination ("Mais"), qui sépare quatrains et tercets, signale la ligne de démarcation entre l'aveu et la demande de clémence d'un drôle de paroissien à l'argumentaire plutôt spécieux.
En effet, le locuteur s'exonère d'emblée du désir souverain suscité en lui (construction superlative : "rien n'est plus doux") en suggérant, de la part de la femme, quelque imparable sortilège de séduction (nom commun à visée dépréciative : "diablesse"). Le passage le plus savoureux se situe dans cette seconde strophe où notre homme, non content de se rabaisser devant son créateur afin d'en obtenir un regard compatissant (métonymie : "mon âme pécheresse"), prend soin de décrire par le menu, avec une certaine délectation rétrospective, la pulsion qui a traversé son imaginaire. La comparaison ("tel un hussard") est particulièrement évocatrice... Évidemment, c'est le "hasard" qui est responsable des tentations qui s'offrent. Il ne reste donc plus qu'à relativiser la gravité du péché. Ainsi, ce terme de "lorgneur" suggère-t-il, tout au plus, un regard un peu intéressé. Ainsi la diérèse ("passion") souligne-t-elle la présence d'une volonté passive. Ainsi le marqueur d'intensité et l'adjectif qualificatif qui l'accompagne ("si volage") visent-ils à minorer encore le poids de la faute. Sans compter cette tournure plutôt comique dans le contexte, l'instance suprême étant censée se reposer entièrement sur le jugement d'une de ses brebis égarées ("si Vous m'en croyez"). Tout cela pour en arriver à ce dernier tercet, tout en flagornerie, qui retourne la situation initiale, transformant soudain le pécheur en esthète, en contemplateur innocent des merveilles divines (recours au présentatif : "c'est.. que", groupe nominal à visée laudative : "grand admirateur", marqueur d'intensité : "si bel ouvrage"). Merci pour ce partage ! |
Nemo
28/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Couvrez ce sein que je ne saurais voir" disait Tartuffe en écarquillant les yeux !
Voilà un sonnet bien construit, comme je les aime. Je suis toujours admiratif de la science que l'on trouve dans les commentaires des lecteurs. Quant à moi, je me permettrai une critique quand je serai capable de faire mieux que l'auteur. Mieux ? Non, "aussi bien" serait déjà un exploit ;-) Merci du partage, Ramana. |
Anonyme
28/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un poème plutôt concis, mais d'une précision absolue ! Chaque mot est à sa place, soigneusement étudié et agencé avec élégance. Un exercice difficile pour décrire une situation qui aurait pu facilement déraper dans l'indécence. Or ici tout est juste et joliment dit, et avec humour, de surcroît.
Bravo pour ce travail d'orfèvre, Wall-E |
Ramana
30/1/2016
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Bonjour à tous et merci, je vous donne rendez-vous à cette adresse : http://www.oniris.be/forum/remerciements-pour-les-chaloupees-t21517s0.html
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Cristale
30/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Mes yeux féminins sont bien incapables du regard des vôtres mais le chaloupé de vos octosyllabes a fait des vagues sur ma sensibilité. Mais diable ! Pourquoi diablesse ? Déesse, oui :) Moi, c'est en grande admiratrice De Votre plume créatrice Que j'approuve si beau sonnet. J'aime votre penser. Merci Ramana. Cristale |
FABIO
6/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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Très original, très rythmé,on a forcément envie de savoir la fin.
le choix des mots et judicieux et tous sont a leur juste place. |
Lefablio
11/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Les quelques déhanchements(petites imperfections) de votre sonnet lui donne un charme fou!!! merci de nous prêter votre regard!!! Lefablio |
Lulu
27/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Ramana,
je n'avais pas encore lu ce poème que je découvre aujourd'hui. J'ai beaucoup aimé la simplicité de ces mots qui s'adressent en douce ironie au "Seigneur"... C'est très bien vu, plein de délicatesse. En faire des tonnes aurait peut-être nui à poème. Ici, vous allez droit au but, tous yeux rivés sur une "diablesse", mot que j'ai beaucoup apprécié pour ne pas redire une "passante", voire une innocente, plus commun... Et tout cela pour dire un essentiel : "les chaloupées"... Il fallait y songer... mais je ne suis pas un homme... |
Anonyme
6/6/2017
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Commentaire modéré
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