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LeopoldPartisan
17/5/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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voilà qui on ne peut mieux tourné, cela semble couler de source tant les mots sont judicieusement maitrisés, tant les images semblent spontanées. Vraiment c'est pour ce qui me concerne du grand art et je n'hésiterai à comparer le petit maître de ces mots si doux à l'oreille et si fort à l'imagination (commenté en EL) à notre maître incontesté Paul Verlaine.
Bravo et à vous lire encore |
Proseuse
20/5/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Je suis un peu mitigée quant à votre poème et ne suis pas sûre d' en partager le fond ! il y a comme une idée de " fatalisme" dans vos vers qui me dérange un peu ! ( je suis une rebelle!) en ce qui concerne la forme j' ai été gênée par la construction de la première strophe ... arrêtée dans ma lecture par ce - retrouveront un jour enfin- où il m' a fallu rechercher le sujet avec le -qui est-ce qui ?- de nos leçons d' orthographe ! :-) j' aurais éventuellement organisé la strophe ainsi: Les eaux du fleuve savent bien, Qu' à l' orée de détours sereins elles retrouveront un jour enfin leur mélange de sel marin Bon, ce n' est bien sûr qu' un avis qui ne vaut que ce qu' il vaut et vous êtes bien le maître de votre poème ! Merci pour ce partage |
Marite
6/6/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Le thème de ce poème m'a attirée mais, quelques détails m'ont empêché d'apprécier pleinement le contenu des vers.
D'abord, la répétition des rimes en "in", "ain", "ein" m'a un peu lassée dans les trois premières strophes, heureusement que la suite y a échappé. Ensuite, pour certains vers il me manquait juste un mot : - (Elles) retrouveront enfin ... - Déjà (il) prépare (en) son sein (les) pousses ... pour la fluidité à l'oreille je préfère "en" à "dans" et "les" à "des". - Comme toi (elles) regagnent la mer |
papipoete
6/6/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Ramana,
Tout ce qui naît, vient à mourir, mais la résurrection vient pour certaines formes de vie . Le jour chaque matin ; le feuillage de l'arbre au Printemps ; la joie après la peine et hélas inversement ; l'appétit un lendemain de ripaille . De cela, votre poème traite dans ces vers . NB chaque strophe est une vérité fort imagée, mais la musique est un peu " crincrin " avec ses rimes jumelles des 12 premiers vers . |
Anonyme
6/6/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai buté, dans ce premier quatrain, sur : " retrouveront " qui, grammaticalement, nécessiterait le pronom personnel sujet: elles.
De même que dans le dernier quatrain "Sois serein comme les eaux claires,Comme toi regagnent la mer " cette construction m'a gêné. Les images sont belles et représentatives du fond. " Ami quand se pressent en toi Des vents de triste désarroi, Sois calme comme l’arbre et vois Ce qu’ils te découvrent de joie." le quatrain que je préfère. |
Michel64
7/6/2017
a aimé ce texte
Bien
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J'aime beaucoup le fond de ce poème qui appelle à voir plus loin que l'immédiat, à être positif et plein d'espérance.
Pour la forme, à mon avis, ça pèche un peu. D'abord cette série de rimes en "in" qui finit par lasser, puis des formulation un peu bancales comme : "Sois serein comme les eaux claires, Comme toi regagnent la mer" Ou difficiles à lire sans faire un hiatus comme : "Ami quand se pressent en toi" ou alors en sept pieds "press'en toi". L'idée est bonne mais la forme très perfectible. Peut-être un poème à reprendre Merci pour le partage |
Vincendix
7/6/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Ramana,
Quelques quatrains philosophiques sans grande prétention peut-être mais qui illustrent bien une réalité de la vie. Il faut rester zen dans les difficultés en sachant que la finalité de tout être vivant est inéluctable. Concernant la forme, ce poème étant classé en contemporain, je supporte les rimes plus ou moins réussies. Vincent |
Anonyme
13/6/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Il y a une certaine résonance dans ces mots-là, qui nous conduit vers une réflexion, et nous laisse à penser l'importance de la nature, qui peut être un guide, car elle ne manque pas d'une certaine sagesse.
Il y a dans cet écrit, une certaine philosophie qui me plaît, car elle est simple et vraie. Être proche de la nature, apporte beaucoup, savoir la regarder, être à son écoute procure un certain apaisement. Quoi de plus magique, que le jeu du vent dans les bambous. J'ai beaucoup aimé cette strophe : " Ami quand se pressent en toi Des vents de triste désarroi, Sois calme comme l’arbre et vois Ce qu’ils te découvrent de joie. " Un petit bémol, cette phrase m'a posé problème "Comme toi regagnent la mer", la formulation me semble un peu maladroite et rend la lecture moins fluide. Le fond comme la forme, dans leur ensemble m'ont beaucoup plu, il y a comme une petite mélodie qui me fait mieux entendre le discours voulu. L'homme et la nature, c'est une longue et belle histoire. |
Anonyme
13/6/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Très beau poème respirant la sérénité…
Seul bémol question forme (pour moi) la répétition de ‘comme’ dans le dernier quatrain. Les images telles que : retrouver leur mélange de sel marin en parlant des eaux du fleuve…glisser le soir dans le matin… ces visions de cercles, de retours, de recommencements, m’ont beaucoup plu. ‘Portant le parfum de la terre’ aussi… Et le fond dont j’aimerais avoir un peu de la sagesse… À vous relire. |