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LeopoldPartisan
17/10/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Ici ce qui me gène vraiment ce sont les rimes pour les rimes, ce qui donne à cet ensemble pseudo gothique un petit côté enfant de Coeur récitant une complainte d'un monotone absolu alors que l'on pourrait vraiment faire décollé ce texte sans ces contraintes qui après 3 ou 4 quatrains lassent un maximum et détourne le lecteur d'un contenu qui eut pu être vraiment interressant.
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Donaldo75
19/10/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai bien aimé le côté gothique de ce poème. Il est certes surchargé mais c'est assez courant dans le registre et la thématique exposé ici. Les alexandrins sont de bonne facture, il y a un vrai rythme et le poème ne parait jamais trop long. Le quatrain le plus emblématique de la tonalité l'ensemble, à mon avis, est le suivant: "Âge sombre pourtant, tu ne survivras point, Si profonde est la nuit, jamais elle ne dure. Lorsque c'en est assez, l'astre se lève à point, Son feu consumera le mensonge et l'ordure." |
Anonyme
1/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
C'est un bon texte qui se veut optimiste et visionnaire : le bien triomphera du mal, un jour ou l'autre; L'auteur semble en être convaincu. Tant mieux, cela nous change des sinistroses ambiantes. Âge sombre pourtant, tu ne survivras point, Un bémol pour le classique : je ne suis pas persuadé que blâme et lame riment bien ensemble dans le dernier quatrain. J'aime bien le quatrain des imposteurs, oui ce n'est pas ce qui manque à notre époque et même élus, ils se comportent comme des tyrans, qu'ils sont en réalité. Finalement, un bon texte en ce premier novemebre. |
papipoete
1/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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bonjour Ramana,
Que voici une belle leçon d'écriture où notre langue française est mise à l'honneur ! L'auteur tel un troubadour évoque le bien affrontant le mal, qui gagne une bataille mais jamais la guerre, car sa semence ne meurt pas ! NB je voudrais relever des vers plus beaux que d'autres, mais cela relève du défi ; la 3e strophe est remarquable ! Votre texte est malheureusement intemporel, car les Huns, Visigots ont des successeurs barbus, rêvant du sang qui gicle du cou de leurs " Jeanne d'Arc " . Je ne vois pas de faute prosodique . |
Arielle
1/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bien que peu amateur de poésie classique j'ai beaucoup aimé le souffle épique de cette histoire de l'humanité qui s'enfonce dans sa nuit durant les cinq premiers quatrains avant de renaître en cinq strophes dans une aube nouvelle.
J'ai lu à haute voix avec un grand plaisir les vers parfaits de ce nouveau chapitre d'une Légende des siècles que je n'aurais pas imaginé apprécier avec une telle délectation. En tirant sa force du plus noir de sa nuit le dernier quatrain est une incitation tranquille à la résistance et à l'espoir |
placebo
1/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai aimé le texte ; le souffle ne m'a pas fait décrocher de ma lecture, et en relecture, les rimes sont riches.
"Le mensonge et l'ordure" : arrêté dans ma lecture sur ordure "Hommes simples et droits" : j'ai trouvé l'opposition mal/bien un peu trop catégorique, mais bon, c'est le texte qui est ainsi, ce n'est pas une dissertation sur le pouvoir :) "Du cycle bienvenu vous renaîtrez enfin" et "Nous éprouvons par vous, dépravés que l'on blâme," m'ont semblé plus lourd. De beaux vers. J'aime assez les appels à la nature, comme le cheval, la brise mutante, les corbeaux, etc. En lisant "le sage", j'ai pensé à Sénèque, qui essayait au sein de l'école stoïque de rester droit malgré les temps troublés de l'empire romain. Bonne continuation, placebo |
Vincendix
1/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Ramana,
Je ne peux qu’apprécier ce texte pour deux raisons, il est bien écrit et il traite un sujet important par un constat sans concession mais tout de même avec un certain recul. Une écriture agréable, des vers fluides et des rimes qui ont une belle musicalité malgré leur simplicité apparente. Concernant le fond, je cautionne, il faut se rendre à l’évidence, parmi les êtres humains, il y a toujours des bêtes immondes. Ils sont probablement nés avec de mauvais gènes et sont capables de gangréner des esprits faibles. Prendre un certain recul, ce n’est pas de l’égoïsme, il faut faire la part des choses à l’échelle de ce que nous sommes et apporter du bonheur autour de soi. Vincent |
Anonyme
1/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Depuis l'avènement des civilisations, existe-t-il un seul pays qui n'ait pas eu son (ses) " Prince des ténèbres " ?
Une diatribe contre tous les monarques, tyrans, empereurs, parvenus qui "vont porter au lointain La détresse et la mort sur d'innocentes scènes, Tandis que des démons à l'accent puritain Plaident l'humanité de leurs bouches obscènes. " Et puis quand même l'espérance d'un monde ... meilleur " Âge sombre pourtant, tu ne survivras point " |
Anonyme
1/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir Ramana... Une série de quatrains classiques sans la moindre faille quant à la prosodie. La rime n'est jamais forcée, les alexandrins sont de belle facture et l'ensemble se lit avec plaisir quand bien même, pour ma part, je préfère les poèmes un peu plus courts.
je ne m'étendrai pas sur le thème, tout a déjà été dit... Un ensemble un peu sombre sans doute mais la chute laisse quand même entrevoir une certaine espérance. Bravo pour le travail que représente un tel poème et bonne continuation dans la rubrique Classique que vous semblez affectionner ! |
Oslow
19/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Amateur de textes fantastiques, il va sans dire que celui m'a amplement convaincu.
Son classicisme lui confère une légère raideur, qu'il peut être facile de ne pas aimer. Moi, j'aime aimé, pour être habitué à de telles lectures. Le fil n'est jamais perdu et l'ambiance instaurée est assez puissante. Un seul vers, peut-être, m'embête par sa structure hachée : "Monarques et vassaux aveuglés, oh ! Combien,". J'ai beaucoup aimé le voyage. |
Queribus
28/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Le titre tout d'abord m'a fait penser à un film de Dracula mais il est vrai que nous sommes dans le même thème: celui du mal. La forme classique est parfaite et démontre une très grande maitrise de l'alexandrin mais comme il faut bien trouver quelque chose, je pense, mais ça a été déjà dit, que blâme et lame ne riment pas en poésie classique mais c'est là une faite si infime que personne (à part les fous comme moi) ne la remarquera. Le fonds, hélas, est éternel et tout a été dit dans les avis précédents; je pense que ça ne finira jamais et que le thème a encore de beaux jours (et de beaux poèmes) devant lui; ça ne fait rien, n'arrêtons jamais de dénoncer les fléaux du monde; on ne les changera pas avec des mots et des poèmes mais il bon d'en parler en permanence. |