|
|
Arielle
12/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'ai beaucoup aimé ce parcours d'un homme ordinaire qui tente d'oublier sa condition de "rampant" et rêve de s'élever, de "vivre plus fort"
Ce quatrain tout particulièrement emporte mon adhésion : "Mais je suis hélas un homme ordinaire De grande amertume et de peu de foi Qui tout près du sol se tient solidaire Et ne jette aux vents que son désarroi." Parviendra-t-il à ses fins grâce à "La douce magie ardente des mots" ? Je le lui souhaite. Le ton plein de sincérité est très vivant grâce aux questions que se pose et nous pose le narrateur. Je n'aurais qu'un bémol pour la construction du premier quatrain dont le dernier vers me parait mal embouché. Pourquoi pas : "Serait bien venue y danser la reine, j'aurais, plein de flamme, été courtisan" ...plutôt que ce verbe être à l'infinitif mais c'est à l'auteur de décider |
Pouet
21/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bjr, j'ai bien aimé le texte.
Notamment ces deux vers là, que je vais retenir, que je trouve fort bien trouvés: "Qui tout près du sol se tient solidaire Et ne jette aux vents que son désarroi." Je ne suis pas fan de l'évocation des trois illustres poètes à la fin mais bon, pourquoi pas. Une jolie écriture même si mon goût personnel m'amène à regretter un peu le manque (relatif) de "modernité" dans l'expression. Sinon, un poème empreint d'une certaine sensibilité, de sincérité et de réalisme. J'ai trouvé que l'ensemble sonnait "vrai". Cordialement. |
leni
21/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Un homme ordinaire qui n'espère pas changer sa condition
J aime tout particulièrement les deux premiers vers J'aurais tant aimé, dans la nuit sereine, Allumer des feux comme à la Saint-Jean. et j'aurais adoré...hélas!!! de grande amertume et de peu de foi... comme les chamanes, Invoquer la foudre et les éléments,...hélas! Mais que voulez-vous qu'un homme ordinaire Invente jamais pour vivre plus fort, Qui de sa prison, triste et solitaire, Voit se dessiner l'ombre de la mort ? IL y a peut-être un espoir Je ne serai plus un homme ordinaire, Car je sais comment dissoudre mon fiel, Tout comme Verlaine, Hugo, Baudelaire, Ont crevé le toit pour peindre le ciel. Espérons! JOLI texte en tristesse MERCI Salut cordial Leni |
Anonyme
21/12/2016
a aimé ce texte
Bien
|
<< Borné dans sa nature, infini dans ses voeux...>>.
Chacun de nous (humains) a rêvé, à un moment ou un autre, d'être ' quelqu'un ' comme on dit, ou réaliser de grandes choses. Et même si rien ne se réalise, être un homme ordinaire ne le déprécie pas pour autant. " Peut-être un espoir enfin de renaître ! La douce magie ardente des mots Qui vient me combler semble me connaître, Et telle une sœur me tire des flots. " |
Francis
21/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Au bout du ponton, l'homme ordinaire sème ses regrets laissés tout au long d'un chemin qu'il ne peut pas faire à l'envers. Mais près de l'embarcadère, il veut repeindre son ciel et fleurir la fin de son parcours .
J'ai beaucoup aimé cet homme qui ressemble tant à ses semblables. La dernière strophe laisse l'espoir éclairer la fin de ce voyage. |
thea
21/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
ah j'aime bien cet homme ordinaire qui rêve de crever le ciel
c'est bien écrit, cela se lit bien, un bon rythme, presque une chanson.. pourquoi pas ! Mes vers préférés : J'aurais adoré déployer mes ailes, Prendre mon envol par-dessus les monts, Là-haut dans le ciel croiser pêle-mêle Les esprits des vents et les moribonds. Merci |
Vincendix
22/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Ramana,
Entre la réalité et le rêve, il y a un fossé mais entre l’homme ordinaire et l’homme célèbre il n’y a qu’une passerelle seulement elle est étroite et pour la traverser il faut non seulement de la volonté mais aussi de la chance. Être sur la passerelle, c’est déjà une avancée en espérant progresser encore . |
Yavanna
22/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Dès la première lecture, ce texte m'est apparu comme une chanson. Et aux lectures suivantes de plus en plus... je trouve qu'il y a une indéniable et jolie musicalité, et une découpe en "couplets" et "refrains". J'aime beaucoup le rythme.
J'aime aussi ce récit tout en mots simples et épurés, sans prétention, qui résume pourtant quelque chose de primordial, en quelque sorte la quête de toute vie : y trouver un sens. Que ce sens soit l'amour, la grandeur, la spiritualité, enfin, toutes ces choses fondamentales qui nous questionnent profondément. Je ne dirais pas que je suis "d'accord" avec la conclusion... c'est comme si l'auteur estimait que l'on trouve son équilibre et son bonheur grâce à l'écriture et à elle seule, après avoir essayé tout le reste. Personnellement, même si l'écriture est une compagne d'importance, et qui rythme ma vie, elle n'en est pas le sens unique, bien heureusement, et elle n'est pas suffisante pour que je puisse me passer du reste :-) Cela dit, j'extrapole... on peut aussi interpréter la fin comme étant juste une transition... l'écriture est venue à temps tirer le narrateur d'un certain marasme, pour lui permettre d'exprimer son mal-être et, peut-être (mais ceci est laissé à notre libre interprétation), le conduire à dépasser ses frustrations pour pouvoir - enfin - accéder à une certain sérénité. Dans tous les cas... j'aime l'écho que ce texte a suscité en moi, tant sur le fond que sur la forme. |
Robot
27/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
C'est bien écrit mais je trouve que ça manque un peu d'énergie. Peut-être pour souligner "l'homme ordinaire".
Par contre la rédaction est agréablement musicale. |