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brabant
27/4/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Raoul,
Quand on prend la peine d'aller voir qui est Guimard ce texte prend une sacrée allure surréaliste. Merci pour ces images nervurées, vitrifiées et mécaniques significatives d'un style que je verrais très bien confié à un Tardi. Fascination/Répulsion. Enchantement/Dépaysement. Voyage exotique dans le temps. Baroque et immortel. Parenthèse à l'approche de midi dont je choisis de retenir (a contrario) la nostalgie. ça existe encore le Dubonnet ? Témoin d'un certain art de vivre... ou de mourir (si l'on veut y voir les têtes de cerbère avant l'enfournement). Parenthèse sur un pan de mur, un coin de table !... |
Fattorius
27/4/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Eh oui, il y a une poésie de ... hé hé!, et celle-ci est bien rendue, pour autant qu'on la trouve: à la première lecture, le texte m'a paru bien obscur. Savoir qui était Guimard (au vers 1) m'a éclairé et guidé dans ma lecture. Joli coup, donc, tout en images bien trouvées. Bravo aussi pour les néologismes (grincerenifle, outre-sombre).
Merci pour l'instant poétique à l'heure de l'apéritif... |
Anonyme
27/4/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Raoul,
Vieux parisien exilé en province, mais toujours amoureux de sa ville natale, de ses rites et de ses dédales, de ses souterrains, catacombes et de ses renaissances au jour, je me suis retrouvé avant hier et dans le ce bon vieux métro, qui a pour moi des allures de paradis oublié, à la lecture de votre poème. Il s'en passe des choses dans le métro, on y voit des scènes cocasses, burlesques, touchantes. C'est toute une humanité que vous avez su évoquer avec bonheur. J'ai aimé l'aspect allusif du texte et les images si parlantes à l'initié. Merci PS : je regrette le style Guimard, les wagons rouges (1ère) et verts (seconde), les banquettes en bois et le poinçonneur des Lilas. |
Arielle
27/4/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Guimard" sésame de ce poème sans lequel on rate le portillon ... à moins d'être Parisien, peut-être ?
Relu à la lumière de ces nervures on descend dans un univers glauque et étouffant mais plein de jolies trouvailles que j'ai appréciées avec un bonheur de touriste provinciale. C'est vif, nerveux, "ça tambourine" mais quel bonheur de retrouver "une happée bleue à l'air libre" |
Anonyme
28/4/2012
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Un voyage dans la Capitale pour la provinciale que je suis. Je suis allée fouiner le net pour apprécier cet écrit.
Visite bien agréable, le guide a un style que je recommande. |
Anonyme
1/5/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un texte qui grouille d' images plus originales les unes que les autres. La fin me fait penser à un dessin de Sempé dans lequel on voit la mine défaite des travailleurs passant devant les mannequins toujours réjouis et souriants des affiches publicitaires.
Beaucoup aimé : pas de hoquets pendant le trajet. Salut et merci : Je fais gaffe à la marche en descendant du train. |
Charivari
7/5/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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effectivement, j'ai dû aller voir qui était Guimard pour apprécier ce texte...
très original, avec des mots valises excellents, comme grincerenifle, "outresombre". très bonne idée d'avoir aussi réutilisé la vieille pub "Dubonnet". Un peu moins convaincu par "ne mets pas tes mains sur la vitre…/ pourrais te faire pincer très fort." au milieu de ce surréalisme et de ce lexique très travaillé : je comprends un peu ce que vous avez cherché à faire en glissant du langage oral, mais à mon avis pour que ça fonctionne, il faudrait le faire plusieurs fois. En tout cas, un texte très original avec une ambiance étonnante. Une réussite pour moi. |