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David
19/12/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Raoul,
Le tableau cité est drôle, c'est trois barbus en fait, et des barbus sans moustache... Le poème lui-même a une super fin, que j'imagine à moustache justement, genre "brigade du tigre". C'est plein de fantaisie, des jeux de son et de sens pour une langue vivante, animée. C'est un peu sombre en filigrane, avec cette histoire de prostate par exemple (ou bien c'était une carte postale) la tentative de meurtre de la chansonnette et le quai des ornières. Le poème me fait penser à la poésie de Prévert, mais je ne me souviens plus bien s'il faisait aussi dans les légumes poétiques. |
Pimpette
19/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'adore!
ce filon poétique est rare sur Oniris...je ne veux pas le louper! Queneau n'est pas passé loin? "As-tu pris le temps de répondre à ta carpe prostate mon lapin ?" les trouvailles de vocabulaires sont réussies...On a du plaisir à la lecture! Et la poésie se glisse partout avec un sourire. je ne te dirai pas:_"Où étais-tu dans la nuit du quatre au vingt-deux ? Mais c'était entre Oslo et Romorantin...à peu près! |
papipoete
19/12/2014
a aimé ce texte
Pas
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bonjour Raoul; chaque poème qu'Oniris publie dans ses colonnes, a forcément séduit une majorité des membres du comité de lecture à l'aveugle, et c'est la première récompense pour l'auteur.
Pour les visiteurs assidus, ou occasionnels du site, ces textes n'emportent pas forcément l'enthousiasme, ce qui est hélas mon cas pour "interrogatoire"! J'ai du mal à saisir la subtilité de vos vers, et le sens du texte ne me saute pas aux yeux! (je ne doute pas que vous ayez mis toute votre ardeur) |
Agueev
19/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une folie totale, bien écrite, surréaliste et absurde. Cela change des trop nombreuses rengaines convenues.
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Myndie
19/12/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Quelle jolie poésie, inventive et légère, dont les traits stylistiques
rappellent la fantaisie de Prévert ou de Boris Vian ! Il y a de l'allégresse, de l'enjouement dans ce courant de paroles rapide et exubérant ; tout y concourt : le rapprochement inattendu des mots et des sons ( fleur de barbe, barbe drue, rhubarbe...), l'humour et le saugrenu des images (vos vies s'entrelardent avec « Courgettes et à demain »...) et le rythme vif qui donne à l'expression poétique la vitalité du langage familier. Pas de calcul pas de construction formelle qui étoufferait l'émotion présente mais au contraire un jeu verbal foisonnant qui fait de ce poème un enchantement. Jamais interrogatoire ne m'avait semblé aussi réjouissant ! |
Pussicat
26/12/2014
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Bonsoir Raoul,
ah quelle jolie fête ! entre Prévert et l'écriture surréaliste à la Breton, Eluard et Char... j'adore ! et puis quelle fin ! On en mange sans faim ! A bientôt de vous lire, |
Robot
30/12/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Incongrue mais plaisante cette suite de questionnements. En tout cas on ne peut pas dire que le texte un peu loufoque manque d'originalité. Oui Pourquoi pas. Le poème s'arrête avant que cela ne lasse.
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Anonyme
14/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un sacré interrogatoire tout de même !
Etant adepte des jeux de mots j'ai fortement apprécié la 1ère strophe. Je l'écris ici parce que j'en ressens encore le besoin, par pur plaisir : "As-tu cueilli la fleur de barbe de barbe drue, de rude barbe et de rhubarbe..." Cependant pourquoi n'y a-t-il pas de point d'interrogation à la fin de la question, alors que les autres strophes en ont ? Peut-être parce qu'il n'y en a pas non plus à l'avant-dernière ? Le dernier vers est sublime : "... dans la nuit du quatre au vingt-deux..." Une bien longue nuit, ai-je pensé ; une nuit sans fin, ou presque. Comme quoi l'absurde ne tue pas... |