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Anonyme
28/12/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Texte désenchanté à l'écriture bancale (voulue par l'auteur probablement) et dont le champ lexical nous désarçonne savoureusement.
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Pimpette
11/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime cette maladresse voulue pleine d'humour!!
Exactement ce qu'il faut d'originalité lexicale, de trouvaille de vocabulaire "le désarmant sourire citron" que j'aurais aimé trouver moi même... EN particulier des mots qui nous sortent de l'ordinaire, ""des ciels colline, crépuscule, aube,vague, et toute la troupe"! Un beau coup de cymbale pour le final: "C’est la ballade maladroite, Des qui ne se comprennent pas, Saturne dévore ses enfants Allons, à quoi sert de rêver. |
hersen
11/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Et c'est dans cette bouche cousue,
Que cette mouche qu'est mon coeur Tourneboule et bourdonne en boucle Se refusant à être tout"... Voilà une ballade maladroite...très adroite ! J'ai aimé la balade entre vos mots, vos sons. De très belles trouvailles. Je vais aller lire vos autres publications sur Oniris, vous avez éveillé ma curiosité. Merci de cette lecture |
leni
11/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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bonjour Raoul
c'est joliment déjanté et j'ai ri tout du long Un peu surréaliste Avec des sonorités surprenantes qui jouent avec l'écho Que cette mouche qu’est mon cœur Tourneboule et bourdonne en boucle Se refusant à être tout. Intraduisiblei AH AH et N’ayant plus le palpitant fou Tu me désarmes et me désosses Aux pommes d’or de Carabosse. La vie à ton clapot chaloupe : C'est une petite merveille Bravo et Merci à VOUS Mon salut cordial Leni |
Francis
11/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Original et surprenant : " sourire citron, que cette mouche qu'est mon cœur, tourneboule, crumble de nicotine..." J'aime aussi le jeu des sonorités qui se heurtent ou se répondent. Lecture amusante, riche en découvertes.
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Vincendix
11/1/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Abracadabrantesque, déjanté mais pour moi ce texte est un peu lourd à « digérer », trop, c’est trop !
Je ne trouve pas le fil d’Ariane dans ce labyrinthe de mots et, pour ne pas me perdre, je passe de la première strophe à la dernière, c’est assez. |
Robot
11/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime bien cette impression d'imperfections volontaire, un peu comme le jeu d'un violoniste virtuose à qui on demanderait de jouer fausset. C'est l'originalité de cette ballade maladroite que j'ai parcouru avec plaisir.
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Anonyme
11/1/2016
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Si j'aime les textes décalés, un peu fous...oui ! Mais ici, je dois vous avouer que je suis restée hermétique. Vous passez d'une image farfelue à une autre, beaucoup trop rapidemment pour moi. Il y a plein d'idées que j'aime bien mais à la lecture, l'image n'a pas le temps de se former dans ma tête que déjà le vers suivant en offre une autre. Donc, pas le temps d'apprécier. Désolée. |
luciole
11/1/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Je suis un peu perplexe devant ce poème déroutant.
Peut -être n'ai-je pas bien saisi les images. Désolée. J'aime bien ce sourire citron. |
Anonyme
11/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un texte surprenant, mais pas inintéressant, ponctué par la répétition de cette phrase "Allons, à quoi sert de rêver", comme pour nous faire reprendre pied avec la réalité, il y a du bon à se laisser emmener parfois hors des sentiers battus, la découverte est richesse.
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Anonyme
11/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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La communication difficile entre deux êtres exprimée ici de façon assez particulière mais non sans charme à condition de ne pas se contenter de une ou deux lectures.
Un humour aigre-doux et des expressions surprenantes " Comme un Ankou de lune à l’œuvre Et son crumble de nicotine " " Et je me heurte aux moustiquaires Sirops et miels de tes fenêtres, À tes chimères enfantillages…" |
Anonyme
11/1/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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J'apprends ici et lis cet autre langage, pour dire autrement, et cela marche !
C'est brut mais surtout poétique (les découvertes sont toujours poétiques), comme si j'avais sous les yeux les premiers sentiments posés sur une feuille, ou une pierre, du premier quidam de la terre. Des runes, ou bien des vers, ont probablement traversé les temps ( car je les ressens), et puisque c'est l'émotion de l'auteur intemporel d’aujourd’hui que j'ai capté, j'ai lu et relu passionnément ce texte. Bravo ! (Oniris qui se ballade avec toi ne ronronne plus) Bravo! |
Arielle
12/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai profité de la balade pour aller survoler l'ensemble de vos textes parus sur Oniris. J'en reviens "comme un Ankou de lune à l'oeuvre" avec des étoiles plein les yeux.
Même quand ça frôle le cauchemar, c'est bon de rêver avec vous, sur des rythmes et des images en dehors des clous ! |
Pouet
12/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un poème d'amour (enfin ce que j'en ai saisi) décalé que j'ai pris plaisir à lire.
Une écriture inventive: "crumble de nicotine", "sourire citron" etc... J'aime particulièrement la troisième strophe. Et un "allons, à quoi sert de rêver" très poétique. Au plaisir. |
rosebud
13/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce que j’aime chez Raoul, c’est ce côté allusif et jamais démonstratif. Juste un effleurement, juste un truc comme ça, en passant, fais-en ce que tu veux. Raoul a le trousseau de clés dans sa poche qui ouvre toutes les portes qu’il garde closes. Mais il laisse un soupirail entrouvert pour qu’on puisse se glisser à l’intérieur comme des voleurs.
Et dans son barnum insensé, on trouve quelquefois de pures merveilles : la troisième strophe pour moi en fait partie : « Pioncer dix ans parmi les ronces , Le couteau des plaies retourné Cent et cent fois sur le métier… » On dirait du Bashung. Je suis sûr, Raoul, qu’après avoir écrit ça, tu as dû être satisfait de toi et il y a de quoi. Saturne dévore ses enfants et moi je pensais à Ugolin qui le fit aussi, et pour presque les même raisons – « Allons à quoi sert de rêver » - tu le sais bien, voyons ! |
Raoul
13/1/2016
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Chers vous,
Mes remerciements (partage de fruits secs et boissons fraîches) en discut' sur les écrits ;-) http://www.oniris.be/forum/merci-pour-la-ballade-t21443s0.html#forumpost280190 |
Pussicat
16/1/2016
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Commentaire modéré
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