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Corto
30/11/2018
a aimé ce texte
Bien
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Il semblerait qu'on soit ici dans un bel amusement littéraire avec délire à l'appui.
Chaque description est provocante tel ce diplodocus "mâchonnant la fougère dans l'open Space, la salle des machines où la cafétéria." Quant à la Grande Mafflue "Si elle choit, glissant sur une feuille d'automne, on vient à son secours sans rire". Bien sûr le Petit Lippu "empesterait le patchouli", quant au Marteau il "peut être un requin. Ou moustique marteau-piqueur." Ce "bestiolaire" est certainement conçu comme une avancée décisive dans nos connaissances trop limitées... |
Louison
2/12/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Peut-être n'ai je pas compris. J'ai eu l'impression d'une écriture automatique, de mots qui arrivent au hasard. Ce n'est sans doute pas le cas, mais je ressens un désordre et ne vois pas d'aboutissement.
Je suis navrée d'être restée de côté. |
papipoete
17/12/2018
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Raoul
Certes, nous voici dans un inventaire de bestioles, non pas de bêtes hormis le diplodocus débonnaire sans le moindre croc ! On sourit à la lecture de ces présentations préhistorico-contemporaines, et l'auteur a ainsi bien de l'imagination ! Mais j'avoue me perdre dans ces dédales ... |
giclamon
17/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est le ton retrouvé de l'Henri Michaux
du Voyage en grande Garabagne et d'Aux pays de la magie. |
Anonyme
17/12/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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J'ai eu l'impression de lire plus des fiches signalétiques qu'une poésie ; avec de l'humour, certes. Mais, hormis pour le " diplodocus ", il ne m'a pas beaucoup fait sourire.
Je n'ai pas adhéré à ces grosses joues qui fréquentent des grosses lèvres. Peut-être n'ai-je pas su lire entre les lignes... A vous lire une prochaine fois. |
Queribus
18/12/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
J'ai beaucoup apprécié l'humour de votre texte même si d'aucuns y trouveront un côté "catalogue" ou "encyclopédie au rabais"; il est assez rare de sourire avec les poètes, profitons-en donc. Le langage m'a semblé quand même un peu léché et parfois même à la limite de la préciosité; un peu plus de simplicité aurait été la bienvenue. En conclusion, j'ai trouvé ce texte drôle et agréable mais sans plus. |
Anonyme
19/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Raoul,
J’avoue sortir un peu de mon registre poétique habituel. Je n’ai pas suffisamment de références dans lesquelles je pourrais piocher pour comparer votre texte. Ce que je peux dire c’est que vous avez l’air sûr de votre prose et de votre ponctuation :) et n’hésitez pas à déconcerter. J’aime ça et je déteste les auteurs consensuels ou timorés. Je prends ce Bestiolaire comme des petits billets d’humeur. Si j’ai connu des diplodocus et des petits lippus, je suis un peu plus circonspect sur la grande mafflue et le marteau. Mais bon, je n’ai pas non plus une expérience quaternaire. Je ne suis pas fan de la poésie en prose et encore moins de la prose poétique, mais là, pour le coup, j’ai pu côtoyer les étoiles burlesques sans rimes ni raison. En tout cas j’espère que le Bureau des publications gardera toujours cet esprit ouvert à la fantaisie et à l’illusion. Au plaisir de vous relire. FrenchKiss |
Robot
28/12/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'ai retrouvé avec plaisir le caractère des quadriptyques. Je ferai cependant un reproche, puisque nous sommes en prose, c'est l'aspect explicatif trop prononcé.
Je m'explique par examen de l'alinéa "Diplodocus": l'expression "alors que pourtant" ne me paraît pas nécessaire. vous pouviez écrire plus légèrement ainsi: … le corpulent diplodocus n'a pas bonne réputation. Les gastrolithes de son horizontal estomac sont de merveilleuses machines, des machins dont on ferait bien de s'inspirer … Autre exemple pour la grande mafflue: Le texte serait plus aérien si vous écriviez ce passage ainsi: Plutôt que, "il arrive qu'on l'affuble" pourquoi ne pas dire simplement: "On l'affuble parfois." En résumé, supprimer tout les petits mots explicatifs, - alors, car, il est - en modifiant la structure des phrases. Utiliser l'affirmation plutôt que l'explication. Reste que le charme descriptif et l'imagination demeurent et que j'ai pris plaisir à lire ce bestiolaire. |