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Charivari
19/11/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai beaucoup aimé.
C'est extrêmement original, et le ton est parfait, avec une pointe d'humour, de folie, de surréalisme, tout ça pour aborder un sujet de société, un constat accablant des plus terre à terre. Chapeau. Le style est minimaliste (ce qui est logique somme toute vu le sujet^^), mais il y a une vraie progression dans l'intensité, et le texte atteint son paroxysme à la fin. Bref, pour moi, c'est très bon. |
Marite
27/11/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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" C'est si petit chez eux ... " Ce vers qui revient en accompagnement des strophes d'inégale longueur est le "ciment" qui fait de l'ensemble un tableau réaliste. Voici de la poésie libre comme je l'aime. Pas de recherche de rimes ou de strophes régulières s'apparentant à un genre plus classique. Uniquement l'inspiration de l'instant couchée sur le papier. Merci à l'auteur !
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Anonyme
8/12/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai aimé l'intensité et la progression de ce texte. Un ras-le-bol à la promiscuité. Très belle écriture qui me rappelle un peu, en faisant un effet contrastant, l'oeuvre de Van Gogh: La chambre à coucher où confort, sécurité, tranquilité, ordre et paix régnaient.
Bravo! |
melancolique
8/12/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Raoul,
Ce poème est tellement beau...les mots sont simples, mais les images sont fortes et concises. Mon passage préféré est: "C'est si petit chez eux que tout se touche : le corps, le lit, l'armoire la valise du retour au-dessus et le plafond. La valise et la fenêtre, le réchaud sur le tabouret, le tabouret, le lit, le lit et le feu qui, en une flamme, consume le sommeil loué à prix d'or." Je vous remercie pour cette lecture. Au plaisir de vous relire. |
pieralun
9/12/2011
a aimé ce texte
Passionnément
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C'est touchant; de petits bouts d'émotion qui s'agglutinent au fil du texte pour en faire un gros bout.
L'émotion suspendue à chacun des mots, que l'on est amené à lire sans faire trop de bruit, du bout des lèvres. Finalement beaucoup plus efficace qu'une harangue d'homme politique ou de telle ou telle association des DDH. La poésie m'a fait prendre le parti d' "eux". Que peut-on demander de plus à un texte que d'être poétique et efficace? |
fouzh
9/12/2011
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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tres bon
une poésie qui traite sur les marchands de sommeil avec des images fortes un ton qui ne s apitoie pas,et une forme d humour tout au moin de derision qui fait mouche la consruction est rondement menée |
Anonyme
14/1/2012
a aimé ce texte
Passionnément
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L'accroche est superbement imagée
et cette reprise en leitmotiv très forte, texte fluide qui dénonce avec efficacité |
Anonyme
2/2/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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ça démarre comme un conte de fée, tragique, style le petit Poucet, ou la petite marchande d'allumette.
"C'est si petit chez eux que la vie reste dans les chaussures, posée sur le rebord." j'aime la façon dont le thème du mal-logement est abordé, c'est traité avec beaucoup de pudeur, et la répétition "c'est si petit chez eux.." ici me dérange pas car je le trouve musical. j'aime cette description si poétique (normal c'est de la poésie, mais je ne trouve pas de synonyme), on rentre dans un cocon et pourtant on sait que cette situation est loin d'être chaleureuse. vous avez trouvé cet équilibre entre le tragique et la légèreté. un bon rythme, la ponctuation est bien placée et donne le ton. une agréable lecture. |
fugace
13/11/2012
a aimé ce texte
Passionnément
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C'est un tableau de La Tour qui met en lumière chaque détails de ces vies de promiscuités, à la frange de la misère, sans grandiloquence.
Les objets apparaissent comme à leur place naturelle et hurlent l'indignité. Quel talent Raoul ! Sobre, pur, dépouillé, tout le non dit est suggéré dans la description. Merci, c'est beau, trés beau. |
pokilm
16/11/2012
a aimé ce texte
Passionnément
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Un texte qui secoue le lecteur et suscite, par des détails infimes, une très grande émotion. J'ai tout aimé : ce que l'on ne comprend pas immédiatement par la raison entraîne une rêverie d'interprétation qui parle au coeur.
Chanson pour l'oreille aussi. C'est quelque part entre Verlaine et Hugo dans la modernité d'Apollinaire. |