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Queribus
1/4/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
J'avoue que votre poème m'a laissé sur ma faim et sur le fonds et sur la forme. J'y ai décelé quelque belles images poétiques quoique à la limite de la préciosité mais le tout me semble un peu confus et manquant de rigueur. Je pense cependant que ce poème peut trouver son public et plaire à certains amateurs de ce genre d'écrits. Bien à vous. |
Marite
13/4/2018
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Pas vraiment simple dans l'expression ce texte. Certaines expressions me laissent perplexe : " instinct atome ... sus-pendaison ... puisqu'on ne peut se quitter même bêtes ...". Il me semble percevoir comme une envie de se confier de l'auteur mais en même temps le choix de ne se faire comprendre que d'une certaine partie de ses lecteurs. C'est dommage car, du coup, la complexité neutralise, dès le début, l'éveil et le ressenti de l'émotion par le lecteur qui n'est peut-être pas dans le "secret" ... De la prose oui mais de la poésie ? je n'ai pas réussi à la percevoir.
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Anonyme
13/4/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Il y a, dans ce texte, un fond intéressant et de bonnes choses ; mais la façon de l'exprimer, emphatique à mon goût, a tendance à noyer un peu le lecteur, avec certaines phrases interminables. C'est un peu dommage.
J'ai renoncé à effectuer plusieurs lectures. |
papipoete
13/4/2018
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bonjour Rectitude
Pour moi, le paradis est une oasis de plénitude, où règne une seule couleur ( bleue ou mauve ), où tout va bien contrairement à son voisin l'enfer, mal et tourments n'existent pas ... Le vôtre me semble bien trouble, et me fait songer davantage à un erg pierreux, où l'on trébuche et se relève le coeur en sang ... Mais d'autres lecteurs savoureront peu-être la profondeur de votre imagination ? |
Anonyme
13/4/2018
a aimé ce texte
Pas ↑
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Vous allez sans doute me trouver désagréable, mais j'ai trouvé votre monologue profondément ennuyeux.
J'ai courageusement fait plusieurs lectures de votre texte, je ne peux dire poème, cela en est très très loin, pour tenter d'en avoir une autre approche, mais il n'y a rien à faire hélas, car plus je lis, plus le côté fastidieux ressort. J'ai l'impression d'une succession de mots, de phrases qui n'aboutissent qu'à me faire tourner en rond, je ne saisis pas où veulent en venir ces " soi, vous (nombreux), moi, nous (nombreux)," encore plus déconcertantes survient aussi singulières qu’inattendues ces phrases " quand vous me faites pleurer à hauteur de vos bras, en conséquence d’une paires de cuisses sur lesquelles vient et glisse votre pouvoir sur moi. Si cruels que nous sommes. À nous rouler en clef de sol entre deux combats. À se combler mutuellement, toujours plus, toujours moins, au-dessus et en deçà d’une vieille et maudite illusion de soi... " J'avoue être dans le brouillard le plus total avec votre écrit, de ce fait le moindre ressenti est carrément impossible. |
lucilius
15/7/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Voilà ce que j'appelle un texte "comateux", où s'accumulent en alternance des bribes de raison et de déraison. J'ai beau le lire et le relire, je n'arrive pas à trouver la moindre corrélation entre le titre et le texte, ni à traduire la version de l'auteur ; et c'est ennuyeux lorsqu'un écrit me laisse perplexe… d'ennui. Je pense que bien des lecteurs ont été (ou seront) tout aussi abasourdis ou faut-il être sous narcotique ?
Petit récapitulatif : "instinct atome - inclination à l'autoconservation - le glas du courage - rendus de notre inconfort - Evènement imprévu survenu en sus-pendaison … " La crème pour moi : "quand ils veulent notre défaite, celle de deux nigauds noués à l'insoluble historiette, étranglés à son lacot d'amour…" mais aussi "quand vous me faites pleurer à hauteur de vos bras, en conséquence d'une paire de cuisses sur lesquelles vient et glisse votre pouvoir sur moi". Dans cette dernière, je comprends que son pouvoir sur vous vient et glisse sur sa paire de cuisse. Quelle andouille je fais ! |