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xuanvincent
14/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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PS : Ce poème mériterait à mon avis que d'autres personnes laissent leurs impressions.
Ce poème m'a paru d'un abord un peu difficile. Pourtant il parle d'enfance, d'un enfant au bord de la fenêtre, qui regarde. J'ai vu quelques belles images, ici et là, et une fraîcheur qui me plaît assez mais l'ensemble m'a laissé une impression mitigée. A partir de "notre héros s'appelle Doudou", il m'a semblé que le poème changeait de ton, devenait plus simple, presque un peu enfantin. Le thème choisi m'a plu. Dit avec un peu plus de simplicité, j'aurais sans doute pu apprécier davantage ce poème. Je pourrais imaginer ce poème, raconté avec plus de simplicité, dit un peu comme un conte pour un enfant (ou les plus grands). détail : "le vide plein de rêves épars" : cette image m'a paru un peu curieuse même s'il me semble pouvoir la comprendre. D'autres lecteurs pourront naturellement être d'un autre avis. |
hayley
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Voyeuse, je vous regarde et je vous lie "Sur le rebord de la fenêtre, la peau nue, offerte aux gerçures du sel".
Depuis toujours, vous semblez, Monsieur, traquer les mots, fantômes, anges ou démons, ils ont la vie que vous voulez bien leur concédez. Des mots bonbons agréable à suçer ! Des mots qui, souvent, en cachent d'autres aux labyrinthes des phrases. Comme l'arbre cache la forêt où « les lutins couchent contre la pierre où se défont les sacrifices » (1). Tel l'éléphant qui cache la montagne, qui cache la ville où joue l'enfant que vous êtes toujours. Ainsi, le bonbon cache l'émerveillement qui occulte l'œil, qui voile la pensée, pensée d'amour semée par le poète au fil des années. Et pour les voleurs de mots que nous sommes, vous savez vous faire, parfois « voyeur » et d’autre fois « exhibition ». Il y a de l’essence de la vie dans tous ces recoins de poésie, ou plus encore, de la poésie dans ces plis de la vie, là où l’on peut oublier milles choses, mais jamais ces moments fragiles de l’enfance, qui resteront à jamais gravés dans nos mémoires frustrées. Merci la vie et merci à vous poète ! (1) Votre texte « Souvenir de Luc » Hayley SOULED |
Anonyme
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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C'est ardu et magnifique...
J'ai vraiment aimé ce vers "L’enfance nue dénude le Réel." Le reste aussi même s'il faut s'accrocher parfois... Merci |
FABIO
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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C'est très bon mais trop long pour moi, de très belles déscriptions du cadre et de l'enfant mais pour moi il y'a un paragraphe de trop voir deux, je me doute que l'auteur a voulu donner un maximum de déscriptions pour tenir en halène le lecteur mais la je me suis perdu un moment....Toutefois ça reste très bien écrit, le choix des mots, les images invoquées m'ont rappelés a mes souvenirs de bambin. belle plume que la votre Reumond
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FredericBruls
15/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le génie, c'est l'enfance retrouvée à volonté, écrivait Baudelaire. Merveilleux voyage qui nous ramène vers la mer (mère ?) de l'enfance, qui nous donne à goûter la vie comme une friandise à la fois amère et sucrée.
Un commencement qui rappelle l'écriture exigeante et exégétique d'un Michel Deguy. Je me suis laissé bercer par la houle de ces mots, entre deux eaux. |
David
19/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Reumond,
Ça démarre sur une citation biblique, un extrait du psaume 8 : "Au chef des chantres. Sur la guitthith. Psaume de David." j'ai trouvé les références sur le net, et ça m'interroge un peu sur la fin du poème "À la guigui, à la guigui, à la guimauve", guimauve et Guittith, y aurait-il un parallèle, une parabole ? Peut être que je cherche un peu trop, n'empêche que mon passage préféré débute avec "Notre héros se nomme « Doudou »" |
Anonyme
19/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai trouvé une belle ambiance ici.
Une écriture très maîtrisée, de bon moments, en particulier la cinquième strophe ("Les poches sous les yeux[...]) Du moins aussi, pour moi, notamment la fin, gradiloquente, "Par l'Absolu lui-même". Sinon très dense, peut-être "trop" référencié... Mais certainement, un bien bon poème. |
An-Honyme
21/3/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Ardu... J'ai eu du mal à entrer dans le sujet... L'abus de ponctuation (toutes les virgules) scie le texte, en rend la fluidité mois évidente et il faut en faire abstraction....
S'il était possible de "l'alléger", ce texte prendrait plus de saveur. |
Pluriels1
25/3/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ah, quel plaisir! d'entrer ainsi - sur tes pas de mots -, à cloche-pieds, jouer marelle sur ton sable
...et ces(...ou cet) enfants qui conduisent nos chemins comme un envol - à fleur de ciel - en écrture! Mes Pluriels (...de mes sables d'avant). |