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Anonyme
11/6/2009
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
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Interminable et imbitable.
Didactique et désespérant. J'ai l'impression d'un vaste foutage de gueule. "Maître à pisser", "contre-pet" "calamboursins", calamburnes"... Sérieux??? Il y a de plus pas mal d'allusions sexuelles tout au long du poème. J'ai vraiment eu une sale impression en lisant ce truc. "Appétence de drogues"... C'est censé être drôle ça? Dédié aux enfants (fussent-ils de "l'âme") ça? Ha bon. Pitoyable. Dérangeant. Egocentré sous couvert d'une pseudo universalité... Affligeant. |
Marquisard
11/6/2009
a aimé ce texte
Pas
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Trop, c'est trop, je m'aligne sur le commentaire de notrac. et n'ai pas réussi à "tout" lire. il y a par-ci par-là de bonnes idées, noyées dans, j'allais dire une fange, égocentrée, franchement douteuse et plus que lourde.
Le pire reste qu'il y a du bon là dedans. |
Anonyme
11/6/2009
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Ce texte est exceptionnel, et j'espère que longtemps dans le paysage onirien, il fera exception. Si l'auteur est le démiurge d'un monstre poétique, il a parfaitement accompli sa mission.
Si c'est "ça" la poésie... Je reste très dubitative. En tous cas, je n'ai pas pu lire. |
victhis0
11/6/2009
a aimé ce texte
Vraiment pas
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je suis finalement rassuré : je ne suis pas le seul à déconsidérer la valeur littéraire de ce texte prétentieux, abscon, étiré à l'infini et d'un profond ennui. Rien de grave, je m'en remettrai vite, mais je conseillerai à l'auteur des lectures d'autres poètes afin d'y chercher des idées plus claires, plus intelligentes, que ce tas de mots foutraque à la portée limitée...
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LeopoldPartisan
11/6/2009
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Où suis-je ? Dans quel état j'erre ? Des jeux de maux ? Coton tige-je ? Je sais cela rend sourd!
Désolé mais là moi qui croyais que j'allais lire des bull's, des WIP ! Des CLIP ! CRAP ! des BANG ! des VLOP ! et des ZIP ! SHEBAM ! POW ! BLOP ! WIZZ ! ou encore des VLAM ! ça fait SPLATCH ! et ça fait CHTUCK ! Ou bien BOMP ! ou HUMPF ! parfois même PFFF ! revu et corrigé par un grand enfant. Je crois qu'il est encore un peu tôt de faire une analyse de ton analyse, vu que dans ta tête cela me semble encore un peu trop être des bull's, des WIP ! Des CLIP ! CRAP ! des BANG ! des VLOP ! et des ZIP ! SHEBAM ! POW ! BLOP ! WIZZ ! ou encore des VLAM ! ça fait SPLATCH ! et ça fait CHTUCK ! Ou bien BOMP ! ou HUMPF ! parfois même PFFF ! On se calme et chantons ce vieux Dutronc : allez vas y requépépête un peu après moi: Fais pas ci fais pas ça À dada prout prout cadet À cheval sur mon bidet Sinon panpan cucul. allez je zappe la cote.... |
Anonyme
11/6/2009
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Désolé Reumond, mais où se situe la poésie dans ce capharnaüm, cet empilage de mots plus vulgaires les uns que les autres ?
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Anonyme
11/6/2009
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
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Le cas Lambour, je crois que c'est le cas de le dire!!!
je rejoins les autres pour dire que c'est long, très très long, je n'ai pas pu la finir, c'est lourd, et surtout je me demande bien en quoi les enfants ( même de l'âme) sont mélés à tout ça. Si le but est de faire réagir, fais plus court, la ça fais plus .... |
Anonyme
11/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ouf, c'est dense et long... ça me fait penser un peu à du slam, quelques rimes par-ci par là. J'imagine assez l'auteur se défoncer au cannabis, mais vraiment je ne suis pas sûr ! Au final j'aime assez, on se perd un peu, mais c'est original et le fatras de mots et d'idées est assez en accord avec le sujet. Je ne sais s'il peut s'agir d'une thèse poético-psycho-philosophique sur le thème du calembour, mais pour se taper plusieurs "très faible" il faut être 'achement balèze, majesté ! et rien que pour cela je vous tire mon chapeau, bravo l'artiste ! Baudelaire : "Quand j'aurai inspiré le dégoût et l'horreur universels, j'aurai conquis la solitude"
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hayley
12/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Respectueuse des consignes, je ne parlerais que du texte. En vous priant de d’avance de m’excuser pour la longueur
de ma « démonstration » Il y a de la malice assurément chez l’auteur, il ne fait pas dans la dentelle de Bruxelles ni dans la finesse. Il est loin des niaiseries et « petits mots bêtes et délicieux » dont parlait Maupassant. Depuis quelques semaines mes petits neveux et nièces chantent à tue-tête « Les gros mots des tout-petits » de Titou le lapinou, un classique pour ceux qui comme moi ont de la confiture et des neveux. Nous autres les Titous et poètes on peut tous faire les fous, on a le droit de dire « des gros mots » à volonté. « Crottes de biques à ressorts, pipi d’chat pipi d’chat, prout de dinosaure, cucu caca boudin », c’est ça les gros mots des tout petits, et c’est ça que ce poème relève en tout premier, tout est dit en dédicace : « À l’enfant roi qui trône au milieu de nous, au Royaume des tout petits et des pauvres, pour lesquels les mots sont des doudous qui consolent des peines, nourrissent les ventres affamés de grands larges. » Il en est des mots comme de la lumière, ils peuvent être doudous, agressifs, délicats, éclatants, aveuglant à ne pas vouloir les lire ou crus à en faire mal. Mais ils ne sont que des mots qui apportent l’énergie, le rythme, le mouvement, le caractère et l’atmosphère d’un poème ou d’un tableau, mais ils ne sont que des mots, des couleurs ! Vaporeux, chatoyants, vibrants, tamisés, rayonnants, contrastés, intenses, ils éclairent et rendent les choses visibles. « Savez-vous écouter l’entre fesses des mots, ces cas d’étranges pathologies où les visages se torchent de vers contre des ciels céruléens » Dans les vents contraires, comme quand on rame à contre-courant, parfois on éclabousse. Ainsi le poète belge Jean-Pierre Verheggen, dans « pubères putains porches porchers stabat mater » (éditions Labor) parodiant « La Poésie » se rie de nos conventions, en passant par la perversion d'un langage par un autre il inaugure une « réécriture », expérience à laquelle j’associe ces « Monstres poétiques ». Le texte ci-joint nous « monstre » un peintre d’icônes (les enfants) iconoclaste. Car généralement la révélation ne peut se faire que dans les extrêmes, les tourments, et quand le suppositoire s’impose pour lutter contre la maladie on crie au « sodomite ». Pour « monstrer l’invisible ou l’indicible », les excès s’imposent au poète, l’énonciation se fait violence (à ne pas confondre avec la vulgarité, pour moi absente de ce texte). Les mots y sont des béquilles, des chaises roulantes des moignons « de cul-de-jatte » pour dire l’impossible dire, et « ça » souvent cela dérange comme le regard du handicapé peut déranger, surtout quand nos propres mots sont bien rangés dans les tiroirs sécurisés de nos expressions rassurantes. Ce n’est pas le côté « marabout de ficelle de cheval » de la forme qui me séduit, mais ce qui est dedans, derrière, au-delà des jeux de mots, j’y sens autre chose du vrai, de sincère, c’est ça que j'aime en somme dans la vraie poésie et en particulier ici, c’est du « très bon », du très fond, qui se cache dans ce manifeste que je qualifierais de Lacanien, dans le rapport pensée - langage, dont la présentation sous forme de fiche médicale est bien adroite, je dois redire qu'il est très bon ! |
Anonyme
12/6/2009
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Je vais également me cantonner à une critique de ce texte, même si je trouverais diablement intéressant d'en discuter sur le forum qui y est consacré.
A la lecture, j'ai bien sûr pensé à un long exercice d'écriture automatique avec comme guide le calembours, et comme thème l'originel. Les mots sont jetés comme dans un cloaque, et la promiscuité inattendue des mots permet au lecteur - si il veut se prêter au jeu - de faire surgir des sens, là où il n'en attendrait pas forcément. Cela m'a plu, même si à de nombreux endroits, j'ai décroché : parce qu'il est carrément solipsiste, ce poème m'a déplu presqu'autant qu'il m'a plu. Prêtant peu de confort à la lecture, ce poème m'a pourtant permis de m'amuser, et de plisser les yeux à certains passages équivoques. Je pense que j'y reviendrai à plusieurs fois, pour le plaisir. Mais vraiment, ce qui me turlupète : le sentiment que trop de clés m'échappent pour aborder ce texte. |
David
15/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Reumond,
Il y a ce passage : "Fantasmes ou phantasmes" ce sont bien deux mots français, et le second fait partie de l'explication du premier sur Wikipedia : "En français avant les découvertes de la psychanalyse deux mots existaient : phantasme, synonyme d'hallucinations, et fantaisie, qui signifiait entre autres la capacité à imaginer. Les premiers traducteurs des textes de Sigmund Freud ont choisi de traduire le mot allemand "phantasie" par un mélange de ces deux termes : fantasme." "Ce que patient joue sur la cithare à accords De Rogers" Pour ce passage là, aussi une intrigue sur le mystérieux Rogers, la clef c'est peut être la cithare : "Comment apprendre à jouer de la cithare, sinon en jouant de la cithare ? Et si on joue de la cithare, alors c'est que l'on sait déjà jouer de la cithare!" C'est d'Aristote, dans "l'éthique à Nicomaque", il parait... Pas de calembours mais pour la fantaisie, peut être un voisinage. "Rogers" est peut-être Carl Rogers dans le poème, et non pas un joueur de cithare comme je le croyais. Je le trouve drole ce poème, même avec son ton docte parfois, qui tient rarement jusqu'au bout de sa phrase, comme pour : "Tout psychothérapeute que j’essuie, rêve et cri" Et pas idiot sur le fond avec ce dernier vers qui résume le pourquoi du comment de cet enchainement de calembours où le sens semble si souvent passer à la trappe : "L’essentiel reste autant vulnérable qu’intraduisible." |
Caly01
15/6/2009
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C'est très très long, pour dire quoi dans le fond?
Des jeux de mots plus que passables. Je ne vois rien de bien transcendant dans cet écrit (décidément je dois être très hermétique aux vers libres) . Un seul mot pour résumer tout cela : calembredaine! Désolée |
brabant
16/3/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Texte nourri aux mamelles de Dolto, Jung, Lacan et consorts pour ceux qui ne sont pas cités, que l'auteur possède sur le bout de la langue et des doigts mais qu'il n'a manifestement pas digérés.
De nombreux passages et formulations remarquables voire jouissifs ; je suis bien conscient que tout fait sens et qu'il n'y a que peu de faiblesses mais le lecteur (touriste) que je suis n'a pas que ça à faire. Lol. A chacun sa logorrhée, fût-elle signifiante :) |