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Lulu
30/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une écriture thérapie peut-être ?
Ce que j'aime dans ce poème, c'est que pour ce thème qui inspire sans doute chaque poète à un moment donné, vous preniez le risque de quelques chemins ou tournures maladroites, et que vous avez su en extraire juste l'essence poétique. En effet, on entend bien la mélancolie, l'égarement, mais si cela est le sujet, le propos, il semble en définitive que ce soit votre esprit poétique, plus léger, plus agréable qui prime. Alors, pour cela, bravo. Merci pour cette belle lecture. |
Anonyme
30/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour rimbaud05- Ce poème me laisse entrevoir des blessures, un esprit tourmenté qui s'affole et qui n'est plus lui-même. J'ai bien aimé cette description sur la nature. et, "je n'ai plus la force de ma mélancolie"...Chemin égaré, esprit égaré...
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Marquisard
30/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Pas vraiment original mais somme toute assez bien mené, un petit moment de lecture ma foi bien agréable (j'avoue que sur le coup les deux premières strophes ont suffi à me faire arrêter la lecture, j'y suis repassé un peu plus tard sachant à quoi m'attendre, et là c'est bien mieux passé)
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Anonyme
30/7/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
désolé, même à le relire, moi j'ai un peu de mal. Déjà j'aimerais savoir si la ponctuation hasardeuse est volontaire et destinée à appuyer les pensées égarées du narrateur. Par exemple, je ne comprends pas le saut de ligne après les trois premiers vers ni la virgule qui suit Et : telle quelle la phrase ne veut rien dire (qui donc exhument les tragiques envolées ?...). J'aime bien en revanche la succession répétée des lieux (lacs, rivières,étangs..) qui scande les vers et donne un peu un effet de vent de traîne je trouve qui va bien avec le caractère un peu égaré du poème (la reprise de cette structure dans la 4ème strophe est bien vue mais les défauts de syntaxe ou de ponctuation s'y retrouvent aussi) quelques phrases maladroites (ébranlent le calme forcé d'un esprit torturé)ou expressions banales (l'orage qui tonne / rêves ailés). J'ai plus apprécié "je n'ai plus la force de ma mélancolie" Voilà, à mon humbe avis, quelques bonnes choses mais encore du travail. Bonne continuation. |
brabant
30/7/2009
a aimé ce texte
Bien
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Le moins d'abord: "exhument"? je cherche en vain le sujet sans voir non plus quel sujet sous-entendu je pourrais mettre.
Comment un "éclat éthéré" peut-il avoir un "craquement vif"? Même en poésie cela me semble contradictoire. Le plus: j'ai bien aimé l'emploi de "componction", difficile à placer dans un poème. Ce que vous avez réussi ici, c'est un tour de force. D'une grande habileté poétique! Le basculement dans la folie du dernier vers est très bon aussi, comme d'ailleurs, toute la dernière strophe où le dernier vers retourne les trois autres. Je vois des accents rimbaldiens dans votre poème. Votre texte est séduisant, la mélancolie y est aérienne, ce qui n'est pas fréquent et on devine que la folie y sera fréquentable. Si vous en parliez dans votre prochain texte? Un challenge? |
Anonyme
30/7/2009
a aimé ce texte
Bien
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Une très belle troisième strophe, d'une belle douceur, fluide et élégante. J'aime moins mais je les respecte, les propos sans mesure "brusquement", "de la folie" de la dernière. C'est que j'accorde au sens des mots beaucoup d'importance et j'ai du mal avec les propos si forts. pour le reste un ensemble qui se lit volontiers et sans heurt.
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Anonyme
31/7/2009
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai eu un peu de mal à trouver une quelconque originalité à ce poème. Ce n'est pas mauvais en soi, le rythme est bien présent, ça se lit.
Toutefois je ne suis pas parvenu à adhérer au fond, aux mots... Une prochaine fois. |
Anonyme
31/7/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Pas vraiment convaincu par ce poème.
J'apprécie le (trop léger) crescendo vers la descente mais ce n'est pas suffisant à mon goût. Le dernier vers de la deuxième strophe est maladroit je trouve car ils s'agit bien des rêves ailés qui exhument de tragiques envolées ? Donc il manque un lien quelque part dans la strophe. A moins que ce ne soient les rivières qui exhument de tragiques envolées mais dans ce cas l'énumération et les virgules portent à confusion. J'aime toutefois bien "Bourdonnent les destinées en l'essaim" et j'aurais apprécié d'avantage ce poème s'il avait proposé plus de formules dans ce genre. Plus rare et plus recherché. Et c'est ce qui manque un peu. |
David
4/8/2009
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Bonjour Rimbaud05,
Il y a une succession de son en é, à la rime ou à d'autres endroits où ils font assonances : "Doucement bercé, Par mes pensées" "Et, emporté par mes rêves ailés Par delà les champs, les vallées" "s'est égarée sur ce sentier" "Où le bruit des feuilles froissées et l'orage qui tonne Où le craquement vif d'un éclat éthéré" "le calme forcé d'un esprit torturé" "Ballotté au souffle de mes desseins Par delà les sens, les reflets et" J'ai découpé ainsi pour les faire ressortir, il y en a beaucoup, ce n'est pas un son très agréable en poésie, enfin plutôt, des mots de liaisons, des déterminants pluriels, des participes passés imposent déjà ce son, alors le voir repris en rime, en assonance, je trouve ça malheureux. J'ai d'autres mauvaises impressions, au début : "J'erre, Doucement bercé, Par mes pensées, par mes chimères Et, emporté par mes rêves ailés" "pensées", "chimères" et "rêves" sont synonymes, le poème commencent par cette énumération, là aussi, je trouve cela maladroit. C'est un trio de synonymes, enfin c'est moi qui les lit comme cela, il y a d'autres trio juste après : "Par delà les champs, les vallées et clairières Au-dessus des lacs, des étangs, des rivières" Les relier les uns aux autres, faire ressortir et utiliser ce point commun aurait donner du relief par exemple. "Componctions" est un mot assez précis, un regret en lien avec le divin, mais ici je le trouve peu expressif, quelle nuance apporte-t'il, alors qu'il est à la rime, mise en avant. Le dernier vers : "Et succombe aux vagues de la folie." il reprend une expression convenue, assez répandue. Avec les sonorités maladroites et le sens soumis aux rimes, j'ai vraiment trouvé que l'écriture manquait d'aplomb, de savoir ce qu'elle veut, dans ce poème là. |