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brabant
14/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Ristretto, je relève deux très belles images, originales, créées, celles des mains et du drap. J'ai d'abord buté sur celle du wagon-boulets-riens, mais mieux comprise à la deuxième lecture. La fin à laquelle je ne m'attendais pas est aussi très bien.
Mais le reste est plus conventionnel. Bon c'est peut-être voulu pour faire un contraste. Je n'ai pas compris non plus l'emploi transitif du verbe haleter qui est intransitif me semble-t-il. Là-aussi est-ce voulu? |
Anonyme
14/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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On ne s'attardera pas sur l'emploi justifié ou non de la transition d'un verbe, selon moi, la licence poétique le permet. Mirage comme un avion-wagons. Les petits rien de ristretto sont comme une gorgée de café corsé, c'est court, c'est dense, c'est simple comme un matin. J'ai aimé ce vouvoiement pudique, ce mystère et ces mots qui se posent comme un rien.
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Lulu
14/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des mots denses, si suggestifs, comme j'aime. Pas besoin de faire plus long, quand l'essentiel est là.
Merci. |
lotus
14/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Si peu de mots et le mirage se dessine...
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widjet
14/7/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Quand ça ne traine pas en longueur, j'aime assez la poésie suggestive. Ici, gràce à des mots bien sentis et évocateurs, la chaleur est bien évoquée.
Après la lecture, on a juste envie de boire. Widjet (auteur déshydraté et commentateur isolé) |
Anonyme
14/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un très bon texte: résumer l'absence et la pesanteur de la chaleur en si peu de mots était un défi, il est jolimment relevé je trouve.
C'est à la fois léger et pesant, chaud et sombre... Un bémol: la mise en page est trop aérée je trouve pour ce sujet. |
Anonyme
14/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Concis et efficace.
J'aime bien l'utilisation transitive du verbe "haleter". Bien vus, les "boulets de petits rien", et les "heures asthmatiques". Pas la peine d'en faire plus long: la densité caniculaire est là. |
Anonyme
15/7/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Je note trois bribes...:
- la semaine haletait ses jours. - des heures asthmatiques - Attente chauffée au blanc du drap, Le reste manque cruellement d'originalité...: - Sous le souffle chaud de juillet, - chacun traînait ses wagons quotidiens, - Ses boulets de petits riens. - l'air épais, - égrener le chapelet - par delà les toits de la ville, - À la tombée du jour, plus rien ne bouge. - Aux soirs empesés, chaleurs emprisonnées. Images vraiment trop lues et ça donne un effet fluide mais déjà-lu, agréable mais pas surprenant. Oui, les mots chaleur air épais, asthmatique, chauffé à blanc, haletait sont bien choisis pour caractériser la chaleur, la canicule... Mais le mirage? Je ressens pas le mirage. Bof pour moi donc, y a de la matière, y a de l'idée mais je n'ai pas été emportée... désolée... celà dit, si tu l'avais appelé canicule, ça le faisait... ou pas... |
Anonyme
15/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
la chaleur et l'absence, toutes deux pareillement insupportables, j'aime beaucoup, et cette attente du retour, comme la promesse d'une fraicheur à venir...ça me parle. Bien joué. |
Anonyme
15/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Efficace. J'aime beaucoup le début et ses "boulets de petits riens".
Simple et poétique. Je vote pour! |
Meaban
17/7/2009
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j'aime beaucoup cette ambiance de latences écrasées de chaleur
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