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Lebarde
25/4/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une chronologie bien résumée de l'humanité dont on connait l'origine (Lucie ou Cro-Magnon?) mais dont on peine à imaginer la fin, tout à fait dans le thème du concours, mais pas trop dans l'esprit du titre "Le temps passe hélas", un peu décalé par rapport à l'incipit et au propos développé.
L'homme a tenté et tente en vain d'en maitriser l'évolution, mais sans jamais être totalement maitre de son destin, en lutte permanente qu'il est, à vouloir avancer, retarder l'échéance et empêcher les fous incontrôlables pouvant d'un simple geste conduire à son autodestruction. Oui bien sûr, mais pense-t-on à l'astéroïde, à la nuée ardente crachée d'un volcan majeur ou au cataclysme naturel exceptionnel qui sans prévenir, peuvent, dans l'indifférence générale de l'univers, anéantir d'un coup d'un seul, notre si petite et insignifiante planète. Pour l'heure, je n'ai rien d'autre à faire que vivre l'instant et applaudir à l'idée de ce texte qui force la réflexion et pousse à l'humilité. L'écriture fluide, peut être un peu prosaïque ne manque pas de poésie, pourtant j'ai une perception d'inachevé dans la ponctuation aléatoire et les majuscules curieusement utilisées qui me dérange et tempère mon enthousiasme. |
Cristale
27/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime beaucoup cette façon de résumer l'histoire de l'Humanité tellement réaliste malheureusement en la période actuelle.
"qui ne virent pas venir le petit psychopathe se hisser opiniâtre en haut de tous les ordres jusqu’au bouton fatal qu’un jour il appuiera…." Tout ça pour ça. Et tout recommencera avec quelques survivants... La fin du texte reprend l'histoire à son début et la magie opère. Oui, un récit agréable très cinématographique. Bonne chance pour le concours. Cristale en E.L. |
wancyrs
28/4/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Salut,
Le jeu de mot du premier vers m'a presque éjecté de ce poème, et le reste ne vole pas assez haut pour moi. C'est une narration que je ne trouve pas poétique du tout, juste une énumération de ce qu'on sait tous déjà. J'aime néanmoins le concept de revenir - à la fin du texte - à Lucie et Cromagnon, réalisant une boucle ; juste cela, pour moi, sauve l'ensemble et évoque une intention poétique. Bonne chance pour le concours ! |
Myo
28/4/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Ce texte manque de structure.
Cela ressemble plus à un récit sans réel rythme ni fluidité. Pourtant l'idée de base est très intéressante avec cette fin qui ressemble à un nouveau départ. Un écrit qui mériterait d'être retravaillé. Merci du partage Myo en EL |
Anonyme
13/5/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Je partage un peu l'avis de mon prédécesseur, il y a vraiment une idée intéressante de nous résumer le parcours de l'humanité à votre façon, mais qui mériterait un gros travail de fond au point de vue de l'écriture. Ne serait-ce que pour effacer le côté naïf. Lucie qui est datée de 3 millions d'années avant l'autre, je crois, et Cro-mignon qui doit osciller environ 25 000 mille ans avant notre ère, si ces deux-là veulent aller prendre un burger chez l'oncle McDo, il va leur falloir la voiture de Marty McFly (on a les références qu'on peut...) Mais je salue le vouloir de l'auteur(e) Et puis ça change un peu ! Merci Anna |
papipoete
13/5/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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bonjour
La vie écoulée depuis le premier homme, qui tel l'animal tuait les bêtes pour se nourrir se vêtir, et cherchait une compagne à conquérir pour agrandir la famille. Vint l'envie d'en avoir plus, plus grand troupeau, plus grand domaine en prenant aux autres... NB il fallut bien que le rêve de posséder, commença un jour ; sous la menace de pierres de bâton de flèches... jusqu'au bouton de la bombe qui réduit la terre en poussière ! je trouve que cette narration qui va crescendo, est très bien rendue, et l'on ne s'ennuie pas un instant, on tremble au fur et à mesure de l'évolution du temps ! La fin du récit qui réunit à nouveau Lucie à Cromagnon, est particulièrement bien amenée. en outre, ce libre est idéalement présenté ( majuscule en début de phrase et non de ligne ; une ponctuation juste ce qu'il faut, pour lire confortablement ) Une réussite ( le prix du concours en ligne de mire... ) |
inconnu1
13/5/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
Comme toujours je commenterai sur la technique et le style et sur le fond. Sur la technique, pourquoi commenter puisque vous choisissez la forme libre donc sans contrainte. ? Je commente parce que justement, vous vous mettez des contraintes sans vouloir l'admettre. Ou je me trompe lourdement ou vous souhaitez qu'on lise votre poème suivant un certain rythme en particulier avec des dodécasyllabes. Vous allez même jusqu’à insérer des chevilles pour tenir le rythme : « des chiens et puis des vaches et aussi des moutons », ou alors distordre la syntaxe « jusqu’au bouton fatal qu’alors il appuiera ». On n’appuie pas un bouton mais sur un bouton. Je ne peux alors m'empêcher de penser que vous utilisez les règles comme bon vous semble, un peu par facilité. Par exemple : "ils bâtirent des villages et firent des enclos". A deux reprises vous ne prononcez pas le e muet avant de le prononcer dans la deuxième partie du vers. Je suis un peu gêné par ce côté "j'utilise les règles quand elles vont dans mon sens". Je reste un adepte de "100 fois sur le métier remettez votre ouvrage" Pour ce qui est du fond, j'avoue être gêné par une vision un peu simpliste de la société qui risque de faire hurler les sociologues. Pour schématiser votre propos : l’homme et la femme se rencontrent, ils parcourent la terre, de manière nomade, puis domestiquent les animaux, ce qui les fait devenir sédentaires, ce qui crée la société. Ils s’enrichissent mais du coup, cela crée la révolte des nomades jaloux. Et comme la prospérité arrive, on fait des frontières, des royaumes… et comme il faut se défendre, on fait la guerre, donc on développe des armes jusqu’à l’arme nucléaire qui » amena la paix sur terre et comme une joie de vivre »… Bien sûr, nous sommes sans doute volontairement dans une caricature, mais je pense que la société et les conflits qui vont avec ont existé bien avant la sédentarité. N’oublions pas que l’homme est avant tout un animal, en particulier un primate qui a sans doute toujours vécu en groupe et que le conflit fait partie de la vie de groupe : conflit pour trouver la nourriture, conflit entre les mâles pour conquérir la femelle, conflit pour défendre son territoire de chasse. Donc faire peser la responsabilité du conflit sur la société moderne inverse la problématique sociologique. C'est pour moi l'erreur de Rousseau que j'admire pourtant que de penser que : "L'homme nait naturellement bon, c'est la société qui le déprave". Hélas non, l'homme est génétiquement déterminé pour vouloir devenir chef de meute et la protéger, ce qui est à l'origine de la jalousie et de l'esprit belliqueux. Malheureusement, c'est la loi de l'évolution suivant Darwin que j'admire aussi. C'est au contraire la société moderne qui peut tenter de limiter le côté "animal égocentrique" de l'homme pour lui faire découvrir des valeurs universelles. Je ne parle pas du vers sur l’arme nucléaire qui a amené la paix et la joie de vivre, car la menace nucléaire a surtout évité les conflits entre grande puissance, mais je ne pense pas que les vietnamiens, les irakiens… ont pensé que l’arme nucléaire les a protégés. Je ne parle même pas des guerres civiles… Alors, là où j’ai été séduit, c’est par l’éternel recommencement et l’optimisme que vous mettez dans votre pessimisme. Si un conflit arrive, on régresse mais la force de la nature fait que le monde se régénèrera. Bien à vous |
BlaseSaintLuc
13/5/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Ça c'est du journalisme d'investigation comme on en fait plus, de l'inventivité, de la formule, une recherche historique tel un WikiLeaks du lieu commun ,une performance qui laisse sans voix .
Trêve de plaisanterie, si je veux ce genre d'info ,je vais sur internet. PS : je modére un peu le commentaire, rajoutant que la vision d'ensemble du texte est très angélique, vision très simplifiée et hélas trop simpliste. |
Donaldo75
15/5/2022
a aimé ce texte
Pas ↑
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Le jeu de mots du début m'a fait penser à celui du film de Gérard Oury "La Grande Vadrouille" où Bourvil dit à Louis de Funès: "il n'y a pas d'hélice hélas c'est là qu'est l'os". Marrant, non ?
Sinon, il y a une forme professorale dans ce texte du genre mon professeur d'histoire en classe de cinquième; c'est louable mais elle nuit à la poésie dont elle ne développe pas le souffle. Peut-être que coller à tout prix au thème - une contrainte, je le reconnais mais c'est ça l'esprit du concours - a inhibé la dimension poétique. |
Vilmon
15/5/2022
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je ne sais pas. C'est un sommaire incomplet de l'histoire humaine. On voit l'évolution et le temps qui passe. Je n'ai pas senti de poésie. Il n'y a pas de recherche d'élégance à exprimer de façon originale. Et j'ai trouvé plutôt ordinaire de fermer la boucle en revenant aux origines. En fait on peut se questionner où trace-t-on l'origine de l'humain. Le Cro-Magnon est-il son origine ou la première cellule vivante? Vilmon |
Cyrill
16/5/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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J’ai bien aimé l’idée du poème, mais je trouve qu’il s’étire en longueur et en ennui pour moi, dois-je avouer.
Pour une poésie libre, il me semble que le dodécasyllabe est presque systématique, au risque parfois de chevilles grossières : et puis, et aussi, et enfin... Ce qui a pour effet un récit assez plat. Et puis « passe et lasse hélas » pour démarrer le propos… Je pense qu’il aurait mieux valu éviter ce jeu de mots si appuyé et légèrement essoré. |
Polza
16/5/2022
a aimé ce texte
Bien
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À la fin de ma lecture je me suis que j’aurais beaucoup aimé avoir le narrateur/la narratrice de ce poème comme prof d’histoire tant ça passe vite et fait moins de choses à apprendre du coup. C’est un des points qui m’a quelque peu dérangé dans ce texte. J’aurais voulu un peu plus de matière, j’ai eu l’impression de ne pas pouvoir entrer pleinement dans l’histoire, qu’il manquait des morceaux. En même temps, en guise de préambule « Le temps passe et lasse, hélas » annonçait la couleur. Je n’ai pas trouvé que le jeu de mots servait spécialement le texte, je m’en serais éventuellement passé sans aucun problème. J’ai beaucoup aimé la notion d’éternel recommencement qui vient conclure le tout en forme de boucle. «
qui ne virent pas venir le petit psychopathe » Je me suis dit dans ce passage qu’il y avait peut-être d’autres qualificatifs plus appropriés et expressifs que petit pour décrire un psychopathe. Finalement, bien que plutôt basé sur des considérations belliqueuses, j’ai trouvé ce poème plutôt frais et pétillant comme une bonne cuvée de champagne. Merci pour la coupe.
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