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LeopoldPartisan
6/2/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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thème rabaché s'il en est, elle est partie et l'auteur se languit...
S'en suit alors les 3 états typiques (que celui qui écrit de la poésie et ne les a jamais ressenti se défonce) Solitude : ici c'est larmoyant et pas super original avec cette foutue lampe à souvenirs qui vous grille le someil. Fuite: direct au bord de la falaise, à je sais pas mais c'est un rien convenu comme endroit. Le narrateur n'a pas des potes qui l'enmène au troquet du coin ?? Dépression : là j'ai été complètement bluffé. C'est vraiment superbement écrit, c'est subtil avec des accents de vérité, c'est en plus d'une poésie vraiment contemporaine. magnifique partie à lire et à relire. perso je ne m'en lasse pas. Si les parties solitude et fuite avaient été de cet accabit cela aurait vallu un exceptionnel |
Pimpette
23/2/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Tout ici me touche...le choix des mots va direct au coeur et on partage un chagrin immense comme si il était le nôtre...
Vocabulaire simple et d'une netteté impitoyable...pas besoin de Calgon... C'est la première fois que je ressens fort un texte'Poésie en prose' qui me dérangeait habituellement...pourquoi?...un langage que je reconnais tout de suite:'encore une nuit sans toi'....tout simple et parfait... |
Lagomys
10/2/2013
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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J'ai été bouleversé par votre premier chapitre, "solitude", magnifique et déchirante douleur dépeinte de façon magistrale et je reste chaviré par vos larmes ancrées dans une poignante profondeur : "encore un rêve nu qui se vautre dans les cendres... je bois le réveil amer jusqu’à la dernière étoile... espérant que tu paraisses comme une aube fatiguée d’être bordée par le ciel... fatiguée d’être applaudie par les prisonniers de la lumière… ces exilés dans leurs lits aux frontières nocturnes tracées par le sommeil qui ferme nos yeux à double tour... encore une mort sans toi... sans ta main qui lira ma dernière volonté.". J'ai rarement lu évocation aussi belle… "par le sommeil qui ferme nos yeux à double tour " quelle image !!!
Ceci est d'une telle facture, d'une telle perfection, que le reste, bien que très élevé, me semble moins à la hauteur…un comble ! J'en retiens cependant des images d'une remarquable qualité : "chaque crépuscule est une douleur qui revient... un départ qui jette le hasard dans le ciel pour que l’oubli se perde dans un amas d’étoiles..." ; "j’enjambe la lumière machinale des phares faisant le tour d’une nuit pour trouver l’épave d’un rêve " (superbe !); "je coule… avec les dernières prières des naufragés dans le temple des sereines noyades " (sublime !) Juste une infime réserve : le titre, que je ne situe pas au niveau atteint par le poème, dont je ne saisis pas vraiment le sens, et que je peine à prononcer : Larmes zen nencre, pas joli, je trouve. À mon sens votre poésie n'est pas loin de l'excellence, il ne manquait vraiment pas grand-chose pour atteindre la note suprême ! Merci pour cette émouvante lecture Lagomys |
Anonyme
8/3/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Votre texte me fait penser au cheminement du deuil. Vous nous en décrivez trois étapes de fort belle manière. C'est peut-être bien parce-qu'il y a de l'ordre dans votre ressenti que vous ne vous perdez pas dans trop de pathétisme . Pour les étapes, vous n'êtes pas au bout. Alors peut-on considérer que ce texte n'est pas totalement abouti ? Tout comme Lagomys j'émets une réserve sur le titre. Dès que j'ai commencé à vous lire, je me suis dit " Merde, le titre! " Enfin, bravo à vous. |
Pouet
9/3/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Vraiment de jolies métaphores, j'apprécie ce genre d'écriture.
Texte touchant, une belle sincérité en ressort. Comme on l'a déjà remarqué, peut-être simplement le titre, pas très mélodieux, "Larmes d'encre" me parait gagner en sonorité mais sûrement perdre en originalité, alors... Bravo pour ce bien joli morceau. |
Anonyme
26/3/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'une des nombreuses (jolies) métaphores aurait fait un beau titre
Le reste est limpide, je le relis sans m'en lasser C'est le genre d'écrit qui ne gave pas. |