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Goelette
20/3/2018
a aimé ce texte
Bien
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Texte charmant dont le rythme évoque joliment celui des danses où le narrateur sourit de ses maladresses "mon tango tangue" "charleston... en dévers"... Humour plaisant retrouvé dans le titre.
Dommage que l'expression "sans aisance" ne soit pas du tout euphonique ! Quant aux deux tercets, ils semblent un peu "légers" mais la spontanéité qui les habite est touchante justement par sa simplicité |
papipoete
27/3/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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néo-classique
j'aime la danse, mais sans toi mon cavalier, je ne danserais qu"en " rêve " ! NB votre poème me touche, car j'aurais voulu avoir votre partenaire, qui me prenne par la main et me dise << viens, je vais te montrer, t'apprendre, et bientôt nous ne ferons plus qu'un ! >> C'est simplement et tendrement écrit et ce couple sur le parquet, est tout simplement ... heureux ! votre " néo-classique " n'a aucun vers en travers ! papipoète |
Provencao
30/3/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Belle "contre-danse" nous invitant à la cadence de vos mots en ce "balet" un tantinet marionnette revêtant cet autre concept pour nous apprendre simplement qu'il nous faut accepter le destin et se complaire comme un acteur sur les planches et la scene de la vie... C'est ainsi que je ressenti ces vers :"Mon tango tangue sans aisance,
Mon charleston chûte en dévers. Je navigue par le travers Comme un vieux bateau de plaisance." Douce image du pantin ivre de vie, tiré par les ficelles invisibles du tourbillon, de la vie...: "Tu mènes la valse pour moi ; Je ressens tellement d’émoi Même si je reste à la traîne." Belle reflexion sur la maîtrise de soi. Au plaisir de vous lire. Cordialement |
Annick
8/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je dirai au narrateur : "perséverez, un jour viendra où vous saurez danser car vous avez le sens du rythme. Votre poème tangue bien." J'apprécie d'ailleurs la métaphore filée sur le thème de la navigation.
Ce danseur maladroit est attachant car malgré les difficultés à suivre sa belle, on voit bien qu'il ne danse que pour elle. La vie est remplie de ces différences mais qu'importe si on s'aime.... Un poème charmant où j'ai apprécié en particulier les deux premiers quatrains très visuels. |
Anonyme
8/4/2018
a aimé ce texte
Bien
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Par coutume, en danse de couple , c'est le cavalier qui guide la cavalière.
Mais pourquoi ne pas inverser les rôles de temps à autres ? C'est sans doute bien agréable de se laisser conduire. " Tu mènes la valse pour moi ; Je ressens tellement d’émoi " " Tes yeux brillent, tu me souris ; Tous deux nous sommes un peu gris… … Et le tourbillon nous entraîne. " Oui, ne passons pas à côté des bons moments, même s'ils font tourner la tête. |
TheDreamer
8/4/2018
a aimé ce texte
Bien
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Un sympathique sonnet de style marotique (ABBA ABBA CCD EED) en octosyllabes.
Ici il est question de la relation entre l'auteur du poème et une personne dont il nous indique qu'elle mène la valse. La danse semble ici utilisée comme une métaphore de la relation entre les individus. L'auteur/danseur nous apparaît emprunté, gauche disant lui-même ne "pas être un maître de danse" entendez par là être mal adapté à la vie commune et insiste dans le lexique "posant mes pieds à revers", "je ne prends jamais la cadence", "mon tango tangue sans aisance", "mon charleston chute en devers",... Dans le dernier tercet, l'ultime vers semble nous préciser qu'elle accepte la fragilité de son partenaire et "ses yeux brillent" "elle lui sourit" et se laisse entraîner malgré tout dans cette contre-danse. |
leni
8/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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BJOUR ROBOT C'est simple et drôle
Je n’ai rien d’un maître de danse. Si je virevolte à l’envers En posant mes pieds à revers Je ne prends jamais la cadence. le tpn est donne J'ai rigolé d'un bout à l'autre MERCI Le tango est une épreuve difficile car il faut passer sa marche arrière Vous m'avez fait rire tout du long erci et mes amitiés LENI |
LenineBosquet
8/4/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Robot,
J'aime bien ce poème, simple mais classique svp. On peut l'interpréter de différentes manières, moi j'ai choisi de le prendre au pied de la lettre et vois donc deux danseurs légèrement éméchés qui s'aiment et s'amusent. Et comme je suis moi même un piètre danseur, je me laisse conduire par ma partenaire dans le tourbillon de la danse... et de la vie ! Merci. |
wancyrs
8/4/2018
a aimé ce texte
Bien
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Salut Robot,
Le texte est mignon, et l'ambiance qu'il dégage est sympathique. Les tercets, selon moi, sont plus réussis que les quatrains, j'y décèle de belles images et une atmosphère envoûtante. Merci pour le partage ! Wan |
Anonyme
9/4/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une poésie gentillette que j'ai lu avec plaisir.
Écrite avec une pointe d'humour , ce qui rend ma lecture bien agréable de bon matin ! Merci pour le partage ! |
Anonyme
9/4/2018
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Bonjour Robot
Je m'en excuse par avance mais je me dois d'être désagréable en ce lundi matin : la poésie classique mérite nettement mieux que votre petit texte. Pourquoi ? Parce qu'ici c'est la fiesta du dictionnaire de rimes. Voilà le genre de poème qui va ravir les anti-classique. Je m'explique : Les pieds à revers : très bon avec envers mais ne veux rien dire. chute en dévers : même constat. Je navigue par LE travers : il me semble qu'on dit par travers. Heureusement que l'émoi existe pour une bonne rime bien grasse avec moi. Allez, quelques bonnes choses pour finir : Mon tango tangue sans aisance Comme un vieux bateau de plaisance. Continuer d'écrire en libre, cher Robot, c'est préférable pour le classique. |
jfmoods
9/4/2018
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Ce sonnet en octosyllabes est à rimes embrassées et suivies, riches et suffisantes, majoritairement masculines.
I) Un pas de deux délicat 1) L'inexpérience Appuyée par d'autres tournures négatives ("ne prend jamais la cadence", "sans aisance"), la litote du vers 1 met en exergue l'incompétence du locuteur. 2) Un mouvement désordonné Les compléments de manière ("à l’envers", "à revers", "en dévers") et la thématique maritime ("tangue", "navigue par le travers") confirment cette inaptitude. II) Une métaphore de la relation amoureuse 1) Des sentiments exaltés Quelques éléments soulignent l'intensité de cette danse marquée par l'ivresse ("tellement d’émoi", "Tes yeux brillent, tu me souris", "un peu gris"). 2) L'unité fuyante d'un couple L'équilibre entre les deux partenaires demeure impossible à trouver ("Tu mènes la valse pour moi", "je reste à la traîne", "Et le tourbillon nous entraîne"). Merci pour ce partage ! |
Robot
9/4/2018
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Anonyme
9/4/2018
a aimé ce texte
Bien
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C'est léger, bien agréable à lire et à relire. Je ne m'en suis d'ailleurs pas privé. Je relève un petit côté désinvolte qui me plaît bien.
Cette "Contre-danse", m'a fait penser à une "parade amoureuse", j'en aime la gaucherie qui rend l'ensemble des propos sympathiques et charmants. Le fond comme la forme, conduisent notre regard à découvrir un moment d'échanges cadencés, où la maladresse est un atout de taille. |
Anonyme
10/4/2018
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C'est une petite chose (aucune condescendance dans l'expression) qui se déguste rapidement et qui laisse sous la langue un agréable goût peu à peu dissipé.
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Anonyme
13/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il y a du joyeux à te lire, Robot !
Comment ne pas céder à l'attendrissement devant la scène proposée : un nounours tanguant et sa belle qui efface toute sa maladresse de son seul sourire, et la danse pour le coup, qui devient belle. On ressent fort le plaisir prit à écrire cette contre-danse, simple et si drôle à la fois. Merci pour ce ton léger, qui me donne des envies de me laisser prendre au tourbillon... Cat |
Lulu
14/4/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Robot,
J'ai bien aimé ce poème dont on sent que tu as pris beaucoup de plaisir à l'écrire. Cela se ressent vraiment : il y a la fois la forme choisie, le sonnet (on ne s'y adonne pas sans s'amuser), et les mots "Mon tango tangue...", par exemple. J'ai été touchée par les mots exprimant des sentiments, comme : "Tes yeux brillent, tu me souris" ; tout y est dit de l'essentiel de cette danse ou contre-danse. Enfin, j'ai trouvé mignon ce regard porté sur soi : "Je n'ai rien d'un maître de danse / Si je virevolte à l'envers"... On passe du "Je", par ailleurs, au "nous" dans "le tourbillon nous entraîne", et cela me semble de fait, entraînant. Personnellement, je préfère les alexandrins, mais les octosyllabes, ici, permettent d'aller dans le sens de la tonalité du poème "je virevolte" ; "le tourbillon nous entraîne". Bonne continuation. |
Anonyme
19/4/2018
a aimé ce texte
Bien
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Un charmant petit poème sans prétention qui réussit son objectif. On visualise bien ce couple unit par nombre d'années qui continue à s'aimer sur une piste de danse. Le mari est un peu gauche, son épouse prend du plaisir, et la valse emporte le tout.
Au niveau de la forme, les vers s'emboitent sans heurt si ce n'est ce « Je ressens tellement d’émoi » qui m'apparait plus faible que les autres. |
MioModus
21/4/2018
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Modéré : commentaire trop peu argumenté.
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Miguel
28/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quoique les remarques sur la facilité des rimes ne soient pas infondées, je me régale quand même de ce petit texte ; on pardonne les facilités à ce qui ne se prend pas au sérieux, comme cette autodérision nous lasse penser que c'est le cas. Tout ceci est "facile" peut-être, mais c'est ce qui fait sa légèreté, son charme, son prix. Et puis, le piètre danseur que je suis trouve là, si joliment dit, ce qu'il a toujours confusément éprouvé.
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erratum
1/6/2018
a aimé ce texte
Bien
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Hello, Robot ! (LoL)
Voilà une agréable invitation à danser en rond ! Joli sonnet en octosyllabes parfaitement écrit et rimé... Le sujet en est léger comme une valse de Vienne.. Les césures en sont absentes par endroits mais on se laisse entraîner par le rythme qu'on imagine à trois temps... Amicalement, D.G. |