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Lebarde
2/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Joli sonnet bien réaliste décrivant un orage d’été avec les violences et excès que la nature semble envoyer de plus en plus souvent ces derniers temps.
Les tableaux sont superbement observés et les images magnifiques: on s’y croirait. Et puis après le tonnerre, l’arc en ciel et le calme revient comme si de rien n’était, c’est l’ete! Sur la forme je ne vois rien à critiquer, belles rimes, belle prosodie très fluide à la lecture. Les pointilleux trouveront peut être quelque chose à redire, moi pas. Deux petites erreurs de frappe seront corrigées à la relecture! Merci pour ce très beau texte comme je les aime. Lebarde en EL |
Corto
2/7/2019
a aimé ce texte
Bien
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Tableau sympathique d'une scène d'orage vécue par le narrateur.
Néanmoins on constate quelques acrobaties destinées à assumer les rimes classiques comme "orage/enrage", "basson/frisson" etc. Cela nuit à la qualité de l'expression, mais...la règle c'est la règle ! On se sent un peu soulagé lorsque "Hoquetant les grands vents commencent à mourir" et on sera d'accord avec "Il est temps de sortir !" Scène assez connue mais qu'on prend plaisir à relire. |
INGOA
9/7/2019
a aimé ce texte
Bien
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Un orage d'été ma foi plutôt bien décrit. L'arc en ciel délivre l'autorisation de sortie. Il n'y a pas de grande prétention dans ce texte dont la sobriété reste l'atout majeur.
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daphlanote
10/7/2019
a aimé ce texte
Un peu ↓
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C'est une jolie tentative. Une jolie description en rythme mais peu fluide. Des inversions malheureuses et ça manque diablement d'images marquantes. C'est trop convenu et c'est franchement dommage à mon sens.
Bref, je me suis ennuyée. J'aurais aimé me voir surprise comme l'orage qui s'annonçait, mais rien de tout ça ne survint. |
Myndie
10/7/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
votre poème, de prime abord, m’a fait appréhender une sorte de banalité, de description météorologique, en raison du côté convenu de certaines évocations, comme : « le souffle d’ouragan déchaîné » « le tonnerre, l’éclair oeuvrent à l’unisson » « les zébrures de feu » ou ce vers « les foudres au dehors vibrent tel un basson » : parfois il vaut mieux préférer la métaphore à la comparaison pour fuir la banalité et enrichir le texte en fantaisie, en passion, en émotion. J’ai ainsi trouvé dommage qu’en traitant le sujet idéal, vous n’ayez pas choisi te tremper votre plume dans cette fulgurance explosive que vous décrivez. Car la nature, dans ses tourments, préfère les éclats au prosaïsme. Mais ceci ne vaut que pour les deux quatrains et le 9ème vers. Car ensuite ce sont de fort jolies images qui prennent le relais, celle par exemple des « rameaux délavés pris dans les tourbillons qu’agite la bourrasque » ou celle des grands vents moribonds qui courent en hoquetant. J’ai aussi beaucoup apprécié le travail d’écriture de ce sonnet de forme classique et sa césure idéale qui porte le souffle. Dans l’ensemble donc, j’ai trouvé cette lecture plaisante |
Donaldo75
10/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Rien à dire, voici un beau sonnet néoclassique qui claque bien à la lecture, avec des rimes agréables, de belles images fortes et acérées. Dès le titre, ça sentait la mousson. Bravo ! Don |
papipoete
1/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Robot
Le vent se lève alors que bientôt se couchent les peupliers...ça va barder ! le ciel entre en furie, c'est le blitz sur mon village ! Et ça crépite, et ça zèbre l'horizon, et la grêle s'y met ! Mon toit joue des airs de batucada ! Heureusement, je vécus ce déluge derrière ma fenêtre, comme narguant les éléments, qui peu à peu se calment ; Thor rappelle sa meute... NB l'auteur se fait à l'abri, au sec, narrateur d'un jour d'été quand après la chaleur écrasante, le ciel n'en pouvant plus laisse éclater sa colère ! Ce pourrait être un dessin animé, tant le décor bouge de toute part, avec le ciel " gentil " et le tonnerre " méchant " de service ! la première strophe lève en fanfare le rideau, et l'ultime tercet montre les soubresauts d'un moment effrayant ! au 4e vers, je vois un I et un E qui font mauvais ménage en " classique " ( qui/en ) Je vois ce soir une intervention de Marimay, disant que ce poème fut présenté en " néo-classique " ; aussi, ma remarque technique n'a plus lieu d'être ! |
hersen
1/8/2019
a aimé ce texte
Bien ↓
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Sur l'aspect poésie, je reste un peu en dehors;
C'est un après-midi d'orage décrit, mais pas ressenti. je pense qu'avoir utilisé le champ lexical de l'orage, j'allais dire rigoureusement exploité, on passe à côté des émotions; rien en moi n'a tremblé ou rugi, tu ne m'as pas à proprement donné d'images qui m'auraient laissée sur le flanc au sortir d'un tel orage; "Chez moi je suis resté". Je m'interroge sur l'inversion, non nécessaire, d'autant plus dans un texte assez prosaïque de description. "Alors naît l'arc en ciel ; il est temps de sortir !" rappelle nombre d'histoires enfantines; cela confère un joli petit côté naïf qui contraste bellement avec la force de l'orage. Merci pour cette lecture. |
Anonyme
1/8/2019
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour
Un orage avec déferlement mais sans passion, sans envolée lyrique, du tout venant, quoi : tonnerre, éclair, averses, ouragan, foudres, grêlons et l'arc en ciel pour terminer : ils sont venus, ils sont tous là. Que peut-on sauver de la banalité : Ces foudres qui vibrent tel un basson et ses grands vents hoquetant. Un texte à changer de catégorie pour commencer puis à sortir des ses clichés habituels (pléonasme). EDIT : comme le texte a changé de catégorie, j'efface mon introduction. |
marimay
1/8/2019
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L'auteur avait posté son poème en néo-classique. La catégorie a été changée par le comité éditorial qui n'a pas vu le hiatus.
J'ai remis le texte en néo-classique. marimay pour le CE |
STEPHANIE90
1/8/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Robot,
tous aux abris, l'été est en rage ! Je n'ai point été emballé par les multiples qualificatifs météorologiques de vos deux quatrains. Me suis presque ennuyée, heureusement, votre tercet final relève d'un coup le tout avec votre ballet fantasque : "Hoquetant, les grands vents commencent à mourir, Courent dans tous les sens en un ballet fantasque. Alors naît l'arc-en-ciel. Il est temps de sortir !" Je ne parlerai pas prosodie, je n'y connais pas grand chose. Merci pour la lecture, Stéphanie |
senglar
1/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Robot,
Où l'arc-en-ciel se mérite qui en un vers superbement final vient panser les plaies que le formidable orage superbement grondeur, "tonnerre... éclair... averses de mousson... souffle d'ouragan... foudres... zébrures de feu... grêlons crépitants... tourbillon... bourrasques" : "ballet fantasque" a eu 13 vers pour infliger. Sept couleurs pour se remettre de toutes ces plaies pires que les plaies d'Egypte, des plaies de monde finissant, sept couleurs seulement, oui, mais ce sont les couleurs de la lumière. Espoir ! Je sors avec vous Robot contempler cette naissance prélude à renaissance. "Bcp" pour : "Les foudres au dehors vibrent comme un basson." entre autres bien entendu :) Senglar |
solo974
2/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Robot,
J'aime beaucoup votre poème, au titre attrayant. J'ai particulièrement apprécié le procédé de la personnification ("D'un souffle d'ouragan déchaîné qui enrage", "Hoquetant, les grands vents commencent à mourir") et l'image du "ballet fantasque". Bien à vous et à vous relire ! |
leni
2/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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*bonjour Robot
ciel d'oragedont l'écriture est élégante imagée rythmée Les foudres au-dehors vibrent tel un basson. Des grêlons crépitants frappent sur les pavés Où s'en vont, dérivant, des rameaux délavés Pris dans les tourbillons qu'agite la bourrasque. Ces trois vers ont une belle sonorité du beau classique Merci SALUT AMICAL LENI |
Robot
2/8/2019
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Réponse à vos coms et remerciements ici:
www.oniris.be/forum/a-propos-de-l-ete-en-rage-t27218s0.html#forumpost373321 |
Pouet
2/8/2019
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Slt,
je ne sais pas si le "carcan" de la forme y est pour quelque chose et même si j'en apprécie le titre, je n'ai pas perçu d'originalité particulière dans ce poème, particulièrement au début. En effet, je me suis peu à peu "coulé" dans le texte pour finalement bien apprécier le dernier tercet. J'ai trouvé dans ces trois derniers vers un bon angle d'écriture ("hoquetant/courent/mourir"), une belle nervosité, une envie palpable portée par une bonne rythmique et j'ai eu envie de sortir avec l'auteur après l'orage. Sinon, pourquoi cette inversion en mode Maître Yoda: "Chez moi je suis resté"? Au final, il m'a tout de même manqué quelque chose (folie? tournures? métaphores? ...) pour que cet orage déclenche en moi une averse poétique. Au plaisir. |
cherbiacuespe
4/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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belle poésie d'un long moment de patience lors d'un phénomène toujours impressionnant et qui a toujours inspiré l'être humain. C'est parfois de la crainte, parfois de l'émerveillement. Ici, il semble que la crainte l'emporte, puis le soulagement.
Bien écrit et bon choix d'aménagement du texte. Cela glisse bien à l'oreille. C'est une belle inspiration poétique. |
Queribus
5/8/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Un sonnet de bonne facture où les règles de la poésie néo-classique sont respectées; toutefois, comme il faut bien trouver quelque chose, j'ai remarqué deux rimes à l'hémistiche , ce qui est à éviter, même en néo-classique, mais c'est là un tout petit détail: L’après-midi,d'été Venus accompagnés Des grêlons crépitants Où s'en vont dérivant En ce qui concerne le fonds, certains trouveront sans doute à votre écrit un côté déjà vu mais il en est souvent comme ça en poésie: on reprend les idées des autres et on les arrange à sa propre sauce.. En conclusion, un texte agréable à lire et une écriture tout à fait honorable. |
Miguel
12/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime bien les évocations de la nature; elles sont presque toujours riantes, et ce poème arrive au milieu de ce registre habituel comme l'orage de la Symphonie pastorale. On s'y croirait ; les rythmes et les sonorités créent une belle harmonie imitative, et je crois entendre au dernier vers les actions de grâce des bergers de Beethoven.
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Anonyme
16/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Une belle description d'un orage d'été, phénomène de plus en plus fréquent et de plus en plus violent. Rester chez soi jusqu'à l'arrivée de l'arc en ciel, libérateur. Un sonnet néo classique réussi , une lecture agréable. |