|
|
Miguel
24/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Tout est charmant, mais il ne faudrait surtout pas réduire ce sonnet à quatorze vers : le quinzième est une si belle trouvaille ! L'opposition "prière-païen" exprime l'étendue des caprices de la muse, de même que "scène modeste ou grand tableau", métaphore picturale de l'écriture, fort bienvenue.
|
embellie
26/9/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Très bon titre pour ce petit poème primesautier, sous forme de sonnet, qui ressemble à une chanson. L'octosyllabe lui va bien comme il va bien à la plupart des chansons.
L'auteur nous parle de son inspiration, très diversifiée, donc riche, mais il ne se prend pas au sérieux. Il me semble qu'il voudrait nous faire croire que ses poèmes s'écrivent tout seuls. Il n'y est pour rien, c'est l'œuvre de sa muse ! Comble de la modestie. J'apprécie les deux quatrains présentant les mêmes rimes, ça fait d'autant plus chanson, et le vers supplémentaire à la fin du sonnet est croquignolet. En fait, il aurait pu servir de titre au poème. Merci pour ce sympathique divertissement poétique. |
Lebarde
26/9/2021
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Sonnet « espiègle » en octosyllabes sans prétention qu’on peut lire avec plaisir mais qui ne figurera probablement pas au sommet des choses à retenir.
Le sujet est légèrement traité avec des mots simples mais le dernier tercet m’est apparu superficiel avec des images peu cohérentes qui « succombe(nt) « « En suivant le vol de la colombe ». Je n’ai pas relevé de faute de prosodie mais je ne me suis guère enthousiasmé. Je reste sur ma réserve et je le regrette. En EL Lebarde |
Donaldo75
28/9/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Un sonnet sympathique, qui ne manque pas de charme. Il tourne joliment autour de son sujet et enlève le tout dans un vers final très imagé, le clou du spectacle à mon sens. Ce poème donne une version intéressante de ce qu’est la poésie, un art pas destiné à moisir dans les angles morts d’un vieux sanctuaire de règles millénaires ou dans les catacombes érigées par des générations d’adorateurs. J’aime cette vision du poète qui rêve, qui renverse l’ordre établi et trop longtemps suivi, qui s’envole. Elle me convient bien et donne envie de lire une telle poésie.
|
papipoete
5/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
bonjour Robot
Ma muse fait ce qu'il lui plaît, et invite ma plume à la suivre, tantôt papillon d'une fleur à l'autre, tantôt cabri sautillant de ci de là ; elle peut aussi suivre les lignes d'une page de missel, susurrant sa prière, pour mieux bondir tout en haut de cette barricade, et retomber par terre... c'est la faute à... NB comme un acteur capable de jouer le gentil, le méchant ; faire rire ou pleurer voici sous les yeux de l'auteur, une plume espiègle qui à volonté jongle avec les mots ! ma préférence va à la dernière strophe ( suivant le vol... ) Choisir entre diérèse ou synérèse, tu fis le choix de la synérèse, que je trouve préférable pour l'oreille ( é/ma/na/ti/on ) fait beaucoup trop " pré/ci/eux ! " Des octosyllabes ( ah mes octos ! ) sans faute habillent ce sonnet de belle manière ! Mes félicitations aussi pour la double parution ( nouvelle et poésie ) comme je le fis à un autre talent de la maison ! |
Provencao
5/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
"La rime en l’air, les pieds dans l’eau."
J'ai beaucoup aimé ce vers, qui à l'écart soudain de la portée, laisse percevoir, entendre une parole. Une rime libre par moments, pour peu que l'on prenne la peine de l'écouter et de l'apprécier. Et c'est précisément et rigoureusement parce que la rime est en l'air, que la poésie devient espiègle, se dépossède et se retire en quelque sorte en elle-même, que le mot usité en vient à s'offrir à sa puissance de l'accession, bien en deçà de la composition lexicale instituée. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Vincendix
5/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Robot,
Un petit texte bien sympathique qu’un troubadour (ou trouvère) aurait pu mettre à son répertoire. Votre muse s’amuse, ne se prend pas au sérieux, elle a bien raison. Le vers est austère ou espiègle, appliqué ou désordonné... Vincent |
Cyrill
5/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Je vois que je ne suis pas le seul à être emballé par le dernier vers (solitaire) !
Mais ce qui précède m'a bien plus aussi. La légèreté du ton, le balancement entre deux pôles forment un tout très chantant. On se plaît à fréquenter ta muse. Même lorsqu'elle se veut sérieuse, ça reste de la comédie, semble-t-il. Tu me la prêtes ? juste pour pas longtemps... |
Myo
5/10/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Une muse prolifique et qui n'a pas peur de tremper sa plume dans des encres bien diverses.
Sans doute parce que l'auteur qu'elle inspire a su lui laisser toute liberté. Un poème sympathique où se lit une certaine tendresse pour cette inspiration multiple. Le sujet n'est pas transcendant mais c'est joliment écrit. Merci du partage |
pieralun
6/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Ah j’ai vraiment aimé.
Une plume très légère, agile. J’aime plus particulièrement les 4 derniers vers: « la rime en l’air, les pieds dans l’eau » un peu Rimbaldien. |
emilia
7/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J’ai aimé ce côté espiègle de la poésie qui donne au narrateur ce ton impulsif et guilleret, le sourire aux lèvres, et livré à sa muse qui n’en fait qu’à sa tête, selon son humeur changeante, entre modestie et grandiloquence, pour conclure sur une charmante pirouette enfantine qui ne se prend pas au sérieux « La rime en l’air, les pieds dans l’eau… » et se récite en ritournelle…
|
GiL
7/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'avais croisé ce sonnet en espace lecture, je l'avais bien aimé et, par manque de temps, ne l'avais pas commenté. Je le regrette maintenant : j'arrive un peu tard, tout a été dit, et bien dit, qu'est-ce que je pourrais rajouter ?
– Gardez-la toujours imprévisible et versatile, votre jeune muse, Robot ! Je l'adore dans ce registre léger. Et, comme tout le monde, je lui tire mon chapeau pour ce quinzième vers où elle me donne congé sur un sourire qui va éclairer ma soirée... |
Cristale
8/10/2021
a aimé ce texte
Passionnément
|
J'adore votre muse !
Elle semble tellement indomptable qu'elle en est attachante. Et puis elle danse sur des octosyllabes aussi légers que sa robe de mousseline déchirée sous le vent (oui, je l'imagine ainsi) mais madame a la rime aristocrate et joliment variée. La chute est extra. Bravo Robot ! |
Annick
8/10/2021
a aimé ce texte
Passionnément
|
Bonjour ROBOT,
Fondés sur une opposition, les vers semblent rebondir et prendre plaisir à enfiler différents costumes. Espiègle, en effet ! Une muse qui joue et se joue des mots. Ce poème ludique est plaisant à lire. Léger ne veut pas dire superficiel. Le vôtre est construit de manière originale, l'idée est intéressante et la poésie bien présente. J'ai particulièrement aimé : "Suivant le vol d’une colombe Le poème rêve ou succombe, Rebelle anarchiste, étourneau. La rime en l’air, les pieds dans l’eau". Bravo ! |
inconnu1
12/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Tout a été dit sur votre sonnet néoclassique. Rien à ajouter, si ce n'est que, comme beaucoup, j'ai aimé la rime en l'air les pieds dans l'eau.
Bien à vous |