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Anonyme
27/7/2012
a aimé ce texte
Un peu
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Un instantané pas si mauvais que ça, mais qui joue tout de même trop sur du déjà-vu: la famille réunie, la joie etc...
J'aurai apprécié justement que soit développé un peu plus cet été, que l'on connaisse les noms des membres sur le cliché, bref qu'à partir du cliché se réinventent ces étés de façon poétique. en fait il y a matière à faire un poème bien plus long, et l'ancienneté de celui-ci devrait inciter à le réécrire, à le faire évoluer. En terme de structure c'est assez agréable à lire. |
Marite
29/7/2012
a aimé ce texte
Bien
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Effectivement, une photographie d'instants figés sur la pellicule. Juste ce qu'il faut de mots pour faire surgir devant nous " Le bel été ... le bonheur palpable ... " Poésie très sobre par l'écriture mais chargé d'images du passé vécu.
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Anonyme
30/7/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une simplicité, un dépouillement, une absence de recherche de l'effet qui obligent le lecteur à se substituer à l'auteur pour éprouver l'émotion brute que ce dernier a pu éprouver en tombant sur ce cliché. La syntaxe, ou plutôt son absence (pas de phrase réellement construite mais une juxtaposition de flashes nominaux) évoque bien pour moi cette confusion des sentiments qu'on éprouve à revisiter une époque chère et révolue, une sorte d'étourdissement doux et un peu amer.
Je déplore l'obscurité de la première "strophe" qui gêne ou retarde l'appropriation du poème. Cela me touche mais mériterait peut-être une relecture et quelques remaniements. |
Pimpette
30/7/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime chaque vers de ce texte!
C'est épuré et rapide comme un clic d'appareil foto! L'auteur a trouvé juste la bonne manière de traiter son sujet et il y a quelques trouvailles délicieuses: Une belle attaque: "Le bel été celui qui ne dure que toujours et qu’on ne voit jamais "La télé gris et gris"...superbe! |
leni
21/8/2012
a aimé ce texte
Un peu
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C'est très court la description de cet instantané photo On aurait aimé connaitre un peu plus de ceux dont le bonheur est palpable le dimanche après-midi La finale en images mériterait d'être illustrée beaucoup plus C'est un peu trop schématique Ce texte mériterait
d'être réécrit |
brabant
21/8/2012
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Rosebud,
C'est bien ! Cette nostalgie, ce sentiment nostalgique sont restés palpables au travers de ces quelques vers. J'ai aimé particulièrement : "la télé est gris et gris" où l'on regardait ce que l'on pouvait, ce que l'on donnait à voir, parfois du gris, parfois du rose. Un divertissement sage, souvent ennuyeux, souvent culturel aussi (de qualité), toujours censuré à l'image du tailleur Courrèges cependant subtile invite à la transgression. Il y aurait bien d'autres choses à relever. Je n'ai pas compris : "les morts étaient jeunes", les miens étaient terriblement vieux et autoritaires, en fait peut-être surtout autoritairement vieux, vous m'y faites penser. |
LeopoldPartisan
21/8/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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vos souvenirs en noir et blanc, m'en on fait remonter quelques uns en couleur. Vous c'était en Alsace, moi quasiment aux sources de la Rhur. Même âge, même sentiment concernant les étés de notre enfance. Merci tout simplement.
Chez moi aussi, les morts étaient jeunes http://www.oniris.be/poesie/leopoldpartisan-ce-pere-absent-3487.html |
Charivari
21/8/2012
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour. Désolé, je n'ai pas accroché. Pour moi, c'est trop court, trop court et trop flou. Il faut dire que je ne lis jamais les "en-tête", ou alors après le texte, et sans cette introduction, je n'ai pas vraiment compris de quoi ça parle. Une fois lue, j'ai compris l'intention, l'idée, qui est assez belle, mais je trouve qu'il manque de détails pour que lecteur arrive à "voir" cette photo, détails qui n'arrivent hélas qu'à la toute fin. En ce qui concerne le style, j'ai trouvé l'expression approximative. Par exemple, je n'ai pas compris pourquoi les morts étaient jeunes comme les feux au bord du canal, ou pourquoi le film est rembobiné comme les feux du canal (les feux sont morts, ils sont rembobinés ?), ni pourquoi le noir et le blanc sont des bonheurs palpables.
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Anonyme
21/8/2012
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé. C'est élégiaque, poétique et assez stylé.
En peu de mots on retrace une époque, on dit des évènements sans les nommer, on voit une famille. A la recherche du temps perdu, tout est palpable, tout est évanescent. |
macaron
21/8/2012
a aimé ce texte
Bien
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J'ai aimé dans votre poésie sa forme un peu hésitante , comme si les souvenirs avaient déjà perdu un peu de leurs nettetés. Je trouve:"Les hommes comme penchés..." très visuel, un repas arrosé, une bonne ambiance familiale. Par contre:"comme les feux du canal..." plutôt énigmatique, mais cela ne me dérange pas trop, les souvenirs gardent un peu de leurs mystères.
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melancolique
21/8/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir rosebud,
Il y a de jolies choses de cette poésie, surtout le début que j'ai beaucoup aimé: "Le bel été celui qui ne dure que toujours et qu’on ne voit jamais" Mais je trouve qu'il manque quelque chose, peut-être un peu plus de détails, en tous les cas je ne suis pas très convaincue de la fin. Au plaisir de vous relire. |
Arielle
23/8/2012
a aimé ce texte
Bien
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J'ai d'abord pensé " trop court, trop vague" puis en relisant, les images sont venues. pour moi il s'agit d'un après-midi de pêche au bord du canal; les grillades du soir ...
A peine suggérés ces souvenirs permettent au lecteur d'y glisser les siens. Jai beaucoup aimé : "Le bel été celui qui ne dure que toujours et qu’on ne voit jamais" |