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Vincent
15/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ils sont à l’image de leurs armes moisies :
Un lion couché à la crinière postiche, Un aigle déplumé aux ailes arthritiques. Mais un jour d’inaction ordinaire, alors qu’ils somnolent, Repus, inquiets, les fesses froides talées Sur leur trône de pierre qui leur donne la cliche, entre autres votre texte est éloquent le tableau est magnifique il est composé de dessins montrant ces braves rois et je suis très sensible à votre peinture j'ai beaucoup aimé |
Anonyme
6/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce texte était passé dans mon espace lecture et avait attiré mon attention. Ravi de le voir publié. Il y a un style et un ton ici qui me plaisent vraiment.
Il me rappelle un poème de Baudelaire - Je suis comme le roi d'un pays pluvieux - Qui sont ces monarques ? On pense à toutes sortes de "grosses légumes" en fait et pourquoi pas même aux stars fugaces de téléréalité. Bon là j'exagère. Peu importe, j'aime l'ambiance qui ressort de ce poème. |
Anonyme
6/6/2015
a aimé ce texte
Pas
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Je n'ai pas trouvé à ce texte un but véritable ; qu'une diatribe sans grand intérêt, même sans intérêt aucun, alourdie par des comparaisons assez malvenues, à mon sens.
Au sujet de ces Rois fainéants, je reprends l'expression de Coluche :<< Je ne suis ni pour ni contre, bien au contraire >>. |
Francis
6/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime cette plume qui désacralise le titre suprême. Sous les apparats, il n'y a qu'un homme avec un sceptre, une couronne mais aussi son arthrite, ses diarrhées, ses angoisses... Symboles du pouvoir absolu, divin, dans leur lit ou sur les toilettes, ce sont des mortels dont le règne est lié au contexte historique.
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Robot
6/6/2015
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A franchement parler, ce n'est pas le meilleur pamphlet que j'aie lu. Les dénonciations passent mal en poésie versifiée sauf si on sait y introduire des formules courtes et cinglantes:
"L'autre jour au fond d'un vallon Un serpent piqua Jean Fréron Que pensez vous qu'il arriva Ce fut le serpent qui creva." Voltaire "Je ne puis rien nommer si ce n'est par son nom J'appelle un chat un chat et Rolet un fripon" Boileau Pour moi, votre texte manque de force et ces rois fainéants pourraient dire "Même pas mal..." Par contre, je reconnais beaucoup de qualité à l'écriture. |
Anonyme
11/6/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Quel pamphlet !
Oui, ça m'a bien fait rire : ces bons rois fainéants à l'oeuvre... d'inaction ! Finement écrit, finement ciselé. Un grand bravo ! |
Pussicat
12/6/2015
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La difficulté avec ce genre de poésie, et que je n'ose aborder, est, pour moi, qu'il faut donner à la fois du souffle, du rythme, un style, des images force qui choquent et restent en mémoire, une poésie et du sens.
Je ne lis rien de tout cela dans votre poème pamphlet dont j'ai du mal à saisir l'objet. Je n'accroche pas du tout, à bientôt de vous lire, |