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Provencao
26/9/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Inexorablement
Indifférente Infidèle " Une tres forte allusion au mythe "Bardot" tout à fait légitime , à mon sens. La richesse de ce poème, ce sont ces images sublimes pour immortaliser cette beauté qui s'envole au fil des années. Je citerai : "La vie qui brûle La beauté que l’on possède Et qui s’en va inexorablement" Au plaisir de vous lire. Cordialement. |
papipoete
1/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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libre
Une " oie blanche " découvre, au détour de contrées ravissantes, un spectacle scandaleux ! NB 3 femmes sur une balancelle, fumant, et les seins nus en plus ! non mais quel scandale ! En peu de lignes, l'auteur ouvre une page de " Paris-Match ", où certains clichés sur la côte d'azur étaient autrement plus offensants que d'autres, tels ceux montrant le corps nu de femmes dans les rizières d'Hanoï, sous le déluge des bombes incendiaires ! papipoète |
hersen
1/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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j'aime beaucoup cette écriture, "La vie qui brûle... infidèle", je suis très sensible à ce thème qui ici ne s'embarrasse de rien et l'écriture est à l'image du fond, libérée. Donc très raccord.
Merci de cette lecture |
Anonyme
11/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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" Saint-Tropez – Paris-Match
Les seins nus comme un scandale Cigarettes et cocktails " Bien sûr, le mythe BARDOT; des films comme Dolce vita, Les tricheurs etc... qui commencent à abattre les tabous. En plus de rêver, les jeunes filles s'aperçoivent qu'il faut mettre les cols claudine dans la naphtaline (sourire). Surtout, la jeunesse prend conscience de " La vie qui brûle La beauté que l’on possède Et qui s’en va inexorablement ". 68 était en train de se préparer... |
leni
11/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour RSEBUD
La vie qui brûle La beauté que l’on possède Et qui s’en va inexorablement Ces trois vers m'ont frappé J'ai pensé à si tu t'imagines et ensuite tenté d'assimiler le reste Mais les contrées ravissantes sont parfois dangereuses et partout cigarettes et cocktails et la vie brû INEXORABLEMENT UN raccourci saisissant J'ai beaucoup apprécié salut cordial Leni |
solo974
12/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour rosebud,
J'aime cette poésie libre : les changements de rythme, les phrases nominales, tout contribue à rendre émouvante cette évocation de "la vie qui brûle". Bonne continuation et au plaisir, solo974 |
Vasistas
12/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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bonjour rosebud,
C'est magnifique, écrit en trois parties toutes différentes, mais toutes parfaitement juste, j'aime beaucoup la deuxième plus personnelle fraiche rivière placée au centre des deux autres, brasiers de la vie, l'eau et le feu ! Trois femmes sur une balancelle, qu'elle belle image, amie-ennemie ? et l'aspect inexorable, j'en ai la chair de poule. Indifférente, infidèle, comment ne pas l'être quand la vie brûle ... un grand bravo. |
Anonyme
13/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Comme d'autres j'ai pensé à B.B en lisant ce poème.
On parle ici d'une époque où j'imagine que l'on pouvait encore s'offusquer dès qu'un sein était montré. D'une époque où il était peut-être encore mal vu pour une femme de fumer. Et surtout d'une époque où l'on voulait bouffer la vie. Je pense par ailleurs un peu à Françoise Sagan après relecture pour l'élégance de l'écriture et le thème évoqué. |
FABIO
14/10/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour
Un peu court pour moi, j'étais très emballé par les images du début et l'équilibre de la rime mais ça se termine aussi vite que ca commence, c'est votre volonté mais ca manque de développement pour moi. |
Anonyme
14/10/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Je me serais volontiers contenté de cette finale
Saint-Tropez – Paris-Match Trois femmes sur une balancelle Les seins nus comme un scandale Cigarettes et cocktails La vie qui brûle Inexorablement Indifférente Infidèle Elle se suffisait à elle-même. Le reste - ce qui précède devrais-je dire - est assez superflu et plutôt mal fichu mais bon...par exemple je ne crois pas que la beauté s'en aille jamais lorsqu'elle existe. Madame Casadesus est partie à un âge fort avancé en n'ayant rien cédé au temps : elle était restée belle. La jeunesse passe inexorablement oui mais la beauté je ne le crois pas. Quant au quatrain qui constitue la proue de ce texte je le trouve un peu niaiseux si vous me permettez. Bref, je vais faire comme si je n'avais lu que la dernière partie et mettre une appréciation qui ne concerne que celle-ci Merci pour ce partage |
Robot
14/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je pense à cette chanson, cigarettes et whiskies et p'tites pépées.
J'aime bien cette page de magazine un peu jaunie par le temps baignée de nostalgie. Une époque qui se voulait à la fois prude et hypocrite... ... comme aujourd'hui ? |
senglar
4/3/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour rosebud,
Poème à la typographie pigeonnante agréable au regard... qui ramène au temps où tous les espoirs étaient permis. Le temps a passé ; les scandales aussi. La typographie serait-elle pour autant inversée si l'on réécrivait ce poème dans vingt ans ? Je ne le crois pas, les vieilles photos ont toujours vingt ans... et le regard porté aussi. Hélas... ou non... peut-être aujourd'hui n'y a-t-il plus rien à "découvrir" ; du moins n'est-on plus niais où Paris Match ne matche plus. Bouffée de nostalgie ! senglar jadis brabant :) |