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Corto
7/7/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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On vit avec ce poème la tempête des sentiments.
Les images sont bien choisies et évocatrices. J'ai aimé dès la première strophe ce raccourci fulgurant entre "kermesse" et "torrent de larmes". Et puis ces gargouilles dont on ne sait jamais si elles vous protègent ou si elles sont le danger extrême. Bien aussi pour cette "douleur insensée dont le déluge me lave". Au cœur de ce tourbillon les deux dernières strophes vont vers l'avenir mais les sentiments et les espoirs restent en "tempête semblable". Un beau moment de vérité, de vécu juste un peu impudique mais dont le partage apporte quelque sérénité. Bravo. |
papipoete
7/7/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour RuedeC
J'étais si heureux ; aucun nuage entre toi et moi, puis cet orage qui ce jour noie mon coeur sous un torrent de larmes ! Réfugié au mur de l'église, je me confie à Dieu ; m'entend-il ? gagnerai-je un jour son Paradis où jamais les éléments ne se fâchent ? NB je dirais, en connaissance de cause " c'est trop beau pour être vrai ! mon bonheur va-t-il durer éternellement ? " et patatras, la tuile ! et bientôt tout le toit qui sur la tête tombe inéluctablement... et au bout du tunnel, que jonchent ronces et épreuves diverses, la lumière un jour se rallume... NB une histoire de coeur assez banale en somme, que tout un chacun connaît un jour au moins dans sa vie ! Et l'on se rattache à ce que l'on peut ; un ami, une icône, un arbre tatoué de deux coeurs enlacés... Une réflexion où la parole se fait douce ou bien hurle au Ciel ; " pourquoi fais-tu cela ? que t'ai-je fait pour mériter tel supplice ? " dans le seconde strophe, " j'admire " me semble inapproprié, convient plus à un état de béatitude ? la dernière strophe est mon passage préféré |
Vasistas
10/7/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Salut,
Oui gros temps, j’aime bien ce poème, tous éléments sont amplifiés par le choix de vos mots. Le ressenti des émotions et le sensationnel de la scène se mêle très bien et se nourrissent l’un l’autre. Belle opposition des gargouilles qui se noient et du feu des corps. Je ne saisi pas très bien la 5 ème strophe. Ce que je comprend c’est qu’il a des choses qu’on ne peut oublier, qui reviennent comme les orages d’été, une bonne rincée ça réveille à la vie, il y a un certain climat, océanique ? Il n’y a pas ponctuation et c’est très bien, à part ce point final inutile à mon avis. Bon moment de lecture, merci |