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Anonyme
16/12/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Pour la discrétion comme la dernière fois, nous repasserons.
J'aime bien ce joli poème romantique aux images douces : Une brise soupire entre les feuilles molles; Les vagues bruissements éventés du buisson. ( entre autres). Bel enjambement de l'une Et l'autre. J'adore les âmes de guingois. Par contre la construction des deux derniers vers est à revoir. PS : si l'auteur retravaillait ces deux vers ultimes j'enlèverais le - de l'appréciation. D'autant plus que je n'avais pas vu que l'avant-dernier vers possède une syllabe de trop à moins que cette erreur soit à l'origine du changement de catégorie du poème ? Suite : même avec la correction du vers j'aurais mieux vu : L'aurore étincelante ouvrant l'heure hâtée Fera de ce silence un don en aparté. Mais évidemment ce n'est qu'une proposition. |
hanternoz
14/12/2013
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c'est un joli poème, ...à l'exception du dernier quatrain, des rimes en té masculines et féminines, ce n'est pas harmonieux.
cette heure hâtée c'est euh raté, une syllabe de trop. En repensant ces quelques défauts, le tout sera très bien. Les 4 premiers vers sont très beaux et proposent une belle sonorité. Cordialement Hz |
Robot
14/12/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bien apprécié les trois premiers quatrains. Dommage que le dernier ne soit pas du même niveau. Mêmes remarques que hanternoz sur la construction de certains vers. Rectifiez ceux-ci, votre texte devient un très bon néo classique à mon avis.
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Miguel
15/12/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce grand parc solitaire (mais pas glacé, celui-là) rappelle joliment Verlaine, et cette atmosphère intimiste est assez verlainienne, en effet. Les vers sont fluides et doux comme cette brise du premiers vers ; les quelques phrases nominales créent un minimalisme où les impressions sont livrées à l'état brut. Quel dommage que les treize syllabes de l'avant-dernier vers viennent jeter une fausse note dans cette belle harmonie ! Les rimes homophones du dernier quatrain ne me gênent pas ; on trouve cela chez tous les classiques.
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Miguel
18/12/2013
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Etant venu relire ce poème je constate que le vers 15 a été modifié et est devenu un vrai alexandrin. Je m'en réjouis.
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