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Anonyme
4/2/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une écriture travaillée à l'évidence, presque 'classique'.
J'ai aimé les 'larmes à l'envers' ou bien encore ce vers: 'J'ai croisé son bâton dans mes vieilles lectures', celui qui clôt le poème aussi:' Un sang empoisonné qui ne veut pas sécher.' L'intitulé qui tient en un mot (avec ce qu'il peut représenter dans l'imaginaire) ne me parait pas trop en adéquation avec une certaine habileté que j'ai trouvée dans votre façon d'écrire. Bonne continuation. Fowltus en EL |
Anonyme
24/2/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un très beau texte, par sa forme bien soignée, étrangement cela nuit un peu au propre du sujet, l"'Angoisse" se trouve minimisée par ce flot de mots "précieux". Is donnent cette forme sans faille, la lecture est aisée.
De petites phrases par-ci-par-là pointe un soupçon de cette dite "Angoisse". A mon sens, c'est vraiment trop peu même après plusieurs relectures. Un vague ressenti s'amorce, plus particulièrement dans la dernière strophe : " Aux chemins intérieurs retourne sur tes pas, Au parfum de l'enfance retourne jusqu'au chais, Il y reste là-bas, macabre placenta, Un sang empoisonné qui ne veut pas sécher. " Au vu de la teneur des propos, je perçois bien plus que de l"'Angoisse", c'est plus cinglant et bien plus marquant, cela se pressant comme une souffrance indélébile. |
Synoon
12/2/2018
a aimé ce texte
Pas
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L'angoisse m'est assez inconnue, ce poème ne m'est donc sans doute pas destiné. Ceci étant dit, j'ai du mal à me plonger dans ce poème, qui ne m'aide pas à appréhender cette sensation, qui ne m'en donne pas le ressenti.
"Au feutre de cette aube, elle tendra immobile," => le hyatus "tendra immobile" d'entrée de jeu m'a un peu fait tiquer (ça s'enchaîne mal à mes oreilles). "Nourris-t'en de lumière d'amour et de silence" => "Nourris-t'en" ou "Nourris-toi de lumière [...]" ? De quoi faut-il se nourrir ? J'ai du mal à comprendre la phrase. "Et quand vient la ténèbre ou bien quand vient la nuit," => j'ai du mal à saisir la différence (entre ténèbre et nuit). Et d'autres détails encore. Désolé par avance si c'est moi qui suis mauvais lecteur ;). |
Damy
13/2/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je m'y retrouve bien. Votre poème, SaintEmoi, me parle et il est ainsi le bienvenu dans ma solitude vespérale où "quand vient la ténèbre ou bien quand vient la nuit,
C'est la force qui gronde, c'est l'éther qui avance ;" Je suis ainsi en bonne compagnie. Angoisse m'interroge aussi sur le "retour" de la nature. Au passage, j'ai buté sur "jusqu'au chais". Je ne savais pas que "chais" avec un "s" était également du singulier. Merci pour cette agréable lecture. |
Queribus
19/2/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Je crois deviner deux choses dans votre écrit: -une très grande maitrise des règles de la prosodie rapprochant votre texte de la poésie classique -un côté abstrait voire précieux par certains mots qui le rendent difficile d'approche. Il me semble que la plupart de vos lecteurs ont ressenti la même chose. Plus de simplicité aurait été la bienvenue avec un langage plus concret, des mots et une expression plus accessible, c'est dommage. Bien à vous. |
Cyrill
20/2/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour avoir quelquefois connu l'angoisse, j'ai beaucoup apprécié ma lecture.
C'est une bien belle exploration de ses manifestations. Beaucoup de délicatesse pour essayer d'en cerner les tenants et les aboutissants. Ma préférence va à la dernière strophe, très forte. Il y a quelque chose d'une évidence ! Merci. |