|
|
Anonyme
12/1/2016
a aimé ce texte
Passionnément
|
Bonjour,
Je suis restée contemplative devant cette lecture. Exactement comme je peux l'être lorsqu'un tableau me touche, laissant les émotions se promener dans tout mon corps. J'ai particulièrement aimé la troisième strophe car j'ai trouvé son expression puissante. Parfois les poèmes méritent une lecture à voix haute pour vibrer. Le votre mérite le silence. Je vous dis bravo et un immense merci pour votre écrit. |
Anonyme
2/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Guerres ethniques, émeutes, mines anti personnel, répression ? Je ne suis pas parvenu à percer le fond de ce texte. Le titre ne m'a pas aidé non plus. Mais peu importe. L'ambiance pesante de mort est bien rendue avec en filigrane toutes les horreurs dont l'être humain est capable. " Épars, petits amas, des tissus déchirés,
Doucement mélangés au sable caillouteux, Adonnaient à ce deuil des linceuls ajourés " |
leni
2/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
C'est un texte bien écrit mais lourd Persiste pour moi une énigme
Peu importe cela peut-être n'importe où A un endroit où le vent a soufflé en tempête Cette description est sans appel u pied, un sol sableux évoquait le passé, Mystérieusement rouge, tracé d’orteils fiévreux ; Épars, petits amas, des tissus déchirés, Doucement mélangés au sable caillouteux, Adonnaient à ce deuil des linceuls ajourés. Bravo à vous et merci Salut cordial Leni |
Anonyme
2/2/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Vous dites en incipit que vous voulez montrer une atmosphère lourde et pénétrante…
Votre tentative m’évoque ou une scène de guerre civile ou un attentat (après qu'il ait été commis). Les cinq derniers vers sont énigmatiques, j’allais dire forcément, car même pour le reste du poème vous n’êtes pas très clair (pour moi). Du coup, je ne sais pas si vous êtes parvenu à votre fin mais pour ma part cela manque de clarté, et comporte quelques lourdeurs comme ces "célestes vapeurs" et aussi "Adonnaient à ce deuil…" qui me semble pouvoir être dit plus simplement et aussi plus poétiquement (si poétiser c'est étonner, éveiller, s'éveiller). Dit autrement il me semble que bien que vous vouliez décrire une atmosphère lourde et pénétrante vous devriez essayer d’être plus léger dans le choix de certaines tournures si vous voulez garder la faculté de pénétration. Mais c’est peut-être mon esprit qui est un peu obtus. J’assume cette éventualité. À vous relire |