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Anonyme
1/5/2018
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J'avoue humblement n'avoir rien compris.
J'avoue ne pas savoir mesurer l'Univers à son silence ni les aubes incarnées, ni les lacs intemporels j'avoue que Polymnie n'habite pas dans ma campagne j'avoue être daltonien achromatique |
Lulu
1/5/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour SaintEmoi,
Je suis manifestement passée à côté de vos allusions aux auteurs cités en incipit... mais peut-être est-ce un défaut de culture de ma part, alors que j'aime beaucoup ces poètes... ? En tout cas, je n'ai pas su d'emblée, et même en relecture, trouver une fluidité qui m'est nécessaire pour saisir l'ensemble. Ainsi, par exemple, je me suis demandée qui parlait et à qui, au niveau du dialogue. Qui est "il", par exemple, quand "Le jaune" dit "Mais il ne m'a pas vu" ? J'ai bien pensé à Lamartine pour l'image du narrateur assis "Sur un muret de pierres", et apprécié la première strophe, mais ensuite, je me perds dans la quête de compréhension de votre poème. Par ailleurs, je me demande ce à quoi renvoie l'expression "âmes attentives" ; seraient-ce nous, lecteurs ? Puis, qui "comprennent l'univers", là aussi, je ne suis pas sûre du sens... "Comprendre l'univers", cette expression me laisse perplexe, même si j'ai le sentiment d'être de celles et ceux qui sont attentifs... Enfin, je ne suis pas parvenue à déceler "certains secrets de ces vers", même si je perçois le côté appliqué de leur rédaction. Ainsi, je n'ai pu partager les sentiments du narrateur. Bien à vous. |
Anonyme
1/5/2018
a aimé ce texte
Bien
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Après les deux premiers quatrains que j'ai trouvés bien écrits, je me suis un peu perdu dans ce dialogue des couleurs. Je n'ai pas défini de relation entre elles et la dyschromie.
" ces géants maladroits et honteux ". Certes la dyschromie a des manifestations diverses, mais elle n'altère pas le talent du poète qui en est accablé. Les deux derniers quatrains comportent de belles images offertes par " La Terre ". |
BlaseSaintLuc
1/5/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'eu compris "celles qui de l'univers comprennent le silence" mais peut être aurais je compris à l'envers ?
Serait-ce le soleil qui transforme les choses (leurs couleurs) aux yeux des poètes ? Et la terre en dernier leur dépose un hommage . Les poètes eux disent, comment ils ont pris la lumière, restés dans l'ombre ou mal compris Le sens que j'y vois me plaît bien. |
Anonyme
10/5/2018
a aimé ce texte
Pas
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Aurais-je aujourd'hui des difficultés de compréhension, de poèmes en poèmes, je me heurte à l'hermétisme des mots.
Des lectures intenses ne suffissent pas. Les mots lus se replient sur eux-mêmes. Le poète tout à ses pensées transcrites en oublie parfois que le lecteur ne peut le suivre dans ses propos aussi riches soient-ils. Tant pis, ce sera sans doute pour une autre fois ... |
Dugenou
4/6/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
Je tombe sur ce texte un peu par hasard, et ce que j'en interprète est peut-être erroné, ... quoique : on retrouve le spectre de la quadrichromie, Cyan, Magenta, Jaune et Noir, avec, bien sûr, le Blanc du support d'impression (on l'oublie trop facilement : la feuille), celui-ci associé au Noir - métaphores du bien et du mal résidant en chacun. Et la combinaison du tout est notre chère planète, la Terre, soit, en reprenant l'allusion à l'imprimerie, une infinité de nuances. "Tout un nuancier", comme chantaient Les Innocents... Bref, j'ai bien aimé. |