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poldutor
28/10/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour
Beau poème sur la tolérance. La façon de s'habiller est en général un signe de liberté, et c'est très bien, il faut cependant être sûr que l'on a la liberté de le faire, et que l'on ne cède pas à quelques dictats (et pas seulement de la mode) ! Il existe dans tout pays des lois et des habitudes qu'il est civil de respecter. "courte et courbes'' ne rimes pas il me semble, mais nous sommes en "contemporain" et cela doit être admis. Belle volonté d'apaiser "une querelle latente", exprimée avec talent et courtoisie. J'ai aimé. Cordialement. poldutor.en E.L |
Lebarde
30/10/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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« L’habit ne fait pas le moine »…quoique…d’ailleurs l’expression ne date pas d’hier.
Un sujet plus que jamais dans l’air du temps mais il faut bien parler de quelque chose et cracher ses rancoeur. Une manière subtile comme une autre de susciter le débat et vous vous y entendez mais je ne tomberai pas dans le panneau. Pour le reste l’écriture n’est pas sans intérêt et la lecture, fluide, est plaisante. En EL Lebarde |
Provencao
16/11/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Bonjour Saint-Emoi,
"Que la fibre soit belle, ou trop longue, ou trop courte, De coton ou de soie, plastique ou alpaga, Elle se met librement, suivant ou non les courbes, Qu’elle plaise à nos regards ou qu’elle ne plaise pas." J'aime beaucoup la fluidité et la légèreté de cette liberté du tissu . Belle tolérance qui s'inscrit haut et fort. Jolie poésie Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
17/11/2023
trouve l'écriture
convenable
et
n'aime pas
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bonjour SaintEmoi
L'on juge ( mal ) qui aujourd'hui, ne s'habille pas à notre convenance ( celle-là trop courte la jupe, une autre si mal fagotée ) et s'attire toute sorte de mauvais regard... NB sujet brûlant que celui-ci ! Cela risque de déraper, je le crains ! Longueur de jupe, au raz de... Décolleté, ohhhhhh ne sont que histoire de goût mais : en France, on se vêt comme bon nous semble ( voir la " fashion-week " reste à les porter dans la rue ) mais la tête enserrée dans une camisole noire, la femme française n'appartient ni à son homme, ni à quelque barbu que ce soit ! dans les rues de Thééran, on bastonne, on torture ces femmes qui veulent échapper à cet usage rétrograde ! Bien sûr que nos mères portaient fichu ou chapeau pour entrer dans l'église, mais que ! Dans vos lignes, à nos femmes " je ne dirai donc pas ce qu'il convient de faire " - si !!! porter ce que la LIBERTE permet ; c'est-à-dire, comme vous voulez mais pas selon ce qui rend esclave, soumise, et condamnée à servir un chef sous un toit ! Je ne parle pas de ces hommes, revêtant grande robe, et longue barbe , qui s'en viennent hurler " dieu est le plus grand... " Sujet risqué, dont l'auteur put émettre ce bémol d'importance. Votre texte, à cette nuance-là, put me plaire ; mais pesant sous cette équivoque, je ne m'avance pas. le 7e vers s'emballe avec ses 13 pieds |
solinga
30/12/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Merci pour cette lecture, pour la profondeur tolérante qui s'y manifeste, et la fluidité allante des vers, qui jointe au fond fait fort bel effet.
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